Extraits

Dans un monde idéal, j'aurais le droit d'être forte en apparence avec un intérieur tout mou, sans que personne ne joue au trampoline dessus. Mais dans le monde réel, si tu courbes le dos, y aura toujours un connard pour te monter comme une mule.

« 𝚃𝚊𝚗𝚝 𝚚𝚞’𝚘𝚗 𝚙𝚎𝚗𝚜𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚕𝚎𝚜 𝚖𝚊𝚗𝚒𝚙𝚞𝚕𝚊𝚝𝚎𝚞𝚛𝚜 𝚗𝚎 𝚜𝚘𝚗𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝚙𝚊𝚞𝚟𝚛𝚎𝚜 𝚐𝚊𝚖𝚒𝚗𝚜 𝚊̀ 𝚙𝚛𝚘𝚋𝚕𝚎̀𝚖𝚎𝚜, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚚𝚞’𝚊𝚞 𝚏𝚘𝚗𝚍, 𝚒𝚕𝚜 𝚜𝚘𝚗𝚝 𝚐𝚎𝚗𝚝𝚒𝚕𝚜, 𝚘𝚗 𝚕𝚎𝚞𝚛 𝚙𝚊𝚛𝚍𝚘𝚗𝚗𝚎𝚛𝚊 𝚝𝚘𝚞𝚝. 𝙾𝚗 𝚙𝚎𝚞𝚝 𝚊𝚟𝚘𝚒𝚛 𝚙𝚒𝚝𝚒𝚎́ 𝚍𝚎 𝚕’𝚎𝚗𝚏𝚊𝚗𝚝 𝚚𝚞’𝚒𝚕𝚜 𝚎́𝚝𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚙𝚊𝚜 𝚍𝚎 𝚕’𝚊𝚍𝚞𝚕𝚝𝚎 𝚚𝚞’𝚒𝚕𝚜 𝚜𝚘𝚗𝚝 𝚍𝚎𝚟𝚎𝚗𝚞𝚜 »

AAAAH, LA COLÈRE...

Y a-t-il pire sentiment que la colère ?

La vraie, la dure, la noire, celle où le monde réel devient le décor inflammable du sitcom de ton cauchemar.

Celle qui ronge tes entrailles sans pitié comme de la trempette sur un Looney Toons.

J'étais si seule... Et puis quand ta vie émotionnelle ressemble à une randonnée en tongs sur un volcan en éruption, la pire des tentatives de consolation ce sont les phrases toutes faites de gens qui s'en branlent de toi.

— T'es pas la première, tu t'en remettras !

— Tu sais, le meilleur remède, c'est le temps !

— Hey ! Un de perdus, dix de retrouvés !

— Albert Einstein disait : "La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre".

— Vaut mieux être seule que mal accompagnée !

— Tu sais, c'est la vie.

_Marcus :

Spoiler(cliquez pour révéler)J'en peux plus des filles qui me font des reproches tout le temps !

Spoiler(cliquez pour révéler)Niquez-vous !

Spoiler(cliquez pour révéler)Allez tous vous faire enculer !

Spoiler(cliquez pour révéler)Niquez-vous TOUS t'entends ?

_Chocolat:

Spoiler(cliquez pour révéler)Tiens tiens, ça recommence et ça empire ... Quelle surprise !

Spoiler(cliquez pour révéler)Et en plus, c'est la mort de la langue française ...

Spoiler(cliquez pour révéler)Faut que tu partes. Sauve-toi ...

Spoiler(cliquez pour révéler)C'est trop là, t'as rien fait bordel !

Spoiler(cliquez pour révéler)Si tu ne fais rien, tu vas crever ici !

_Sophie :

Spoiler(cliquez pour révéler)TU SAIS QUOI ?! TOI AUSSI NIQUE-TOI !

_Chocolat :

Yeah !

La douleur était toujours là, mai je la disséquais et la rangeais dans des petites boîtes avec des noms dessus, et ça m'aidait.

Pour moi, comprendre était un vrai soulagement, c'est la seule chose qui m'ait apaisée et canalisée pendant des mois.