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Si Léna était une fille comme les autres, j’aurais sûrement pu résister et me concentrer uniquement sur mes études et ma famille. Or, il y a quelque chose de différent chez elle. Un feu glacial qui brille dans ses prunelles et me retourne le bide. Une brèche qui a su m’intriguer… Une véritable fêlure à l’âme, invisible pour le commun des mortels mais que moi, j’ai su reconnaître entre mille. Car chaque jour, j’observe la même dans mon propre reflet.
Afficher en entier"- Je t'aime, Léna. Je suis tombé amoureux de toi, de ton courage, de ta force de caractère, de ta patience, de ta douceur.
-Je t'aime, Sacha. Je ne pensais plus pouvoir prononcer ces mots un jour, je pensais que l'amour ne m'effleurerait plus jamais la peau. Après ce que j'ai vécu, j'ai cru que la vie s'arrêtait.. mais elle n'a véritablement commencé que le jour où j'ai posé les yeux sur toi."
Afficher en entierLes promesses n'engagent que ceux qui y croient.
Afficher en entier- C'est ce feu qui brûle, là, quand je pense à toi. C'est mon souffle court, quand tu m'embrasses. Ce sont mes mains qui tremblent, quand tu m'effleures la peau. Tous ces petits détails qui me rendent dingue de toi.
Afficher en entierSi tu savais à quel point c'est lui qui me fait du bien, en réalité.
Afficher en entierElle s'appelle Sacha et rime avec protège-moi.
Afficher en entierNous sommes deux âmes brisées qui ont trouvé les pièces manquantes de leur puzzle intérieur chez l'autre. Des confidents.
Afficher en entier- Je ne peux pas te garantir ce que je ressentirais, moi-même je ne le sais pas. Ca me ferait peur, j'imagine. Ce dont je suis certain, en revanche, c'est que cette décision t'appartient à toi et à toi seule. Je n'ai pas mon mot à dire. Personne ne l'a. C'est ton corps, Léna. Ton choix."
"- Il ne serait pas heureux, moi non plus. Tout le monde en souffrirait et puis... il me rappellerait jusqu'à mon dernier souffle la nuit la plus horrible de ma vie. Je ne sais pas si je serais capable d'aimer le fruit d'un..."
"... viol.
Afficher en entier- Un monde qui fait croire aux femmes que c'est leur faute si elles sont agressées et qu'elles n'ont qu'à adopter une attitude correcte et cela n'arriverait pas. Là, en train d'être déchirée de l'intérieur par la barbarie d'un homme d'un monstre que je ne reconnaissais pas, je n'arrivais pas à accepter le mot «viol» parce que j'étais trop obnubilée par les conneries que la société véhicule.
Afficher en entier"Plus vicieux encore que le meurtre, le viol assassine une personne de l'intérieur, tout en laissant son enveloppe vivante.
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