Oneiris - Duologie + Novella [Heroic fantasy]

Postez ici tous vos écrits qui se découpent en plusieurs parties !

Question banale AF : quel est votre perso préféré ?

Alice
2
17%
Achalmy
2
17%
Mars
2
17%
Soraya
2
17%
Ace
0
Aucun vote
Zane
2
17%
Connor
1
8%
Vanä
1
8%
Wilwarin
0
Aucun vote
 
Nombre total de votes : 12
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

vampiredelivres a écrit :Je sens qu'Al va faire des conneries…

Reprenons poliment, bonsoir ! :)

Ahaha, mais c'est que Booknode se masculiniserait peut-être… ? Bon, à mon avis, faut pas trop se faire d'illusions, on garde une majorité trop écrasante de filles. (Et je ne parlerai même pas de Wattpad… :lol: )

Alooors, j'ai relevé plein de petits détails totalement absurdes et impossibles à relier (je crois que Daniel et sa lecture avec bloc-notes m'ont inspirée, en fait, tout comme nos discussions sur le Cycle), du coup, ça va être la fiesta du pavé. :lol:

Premier truc que je ne fais remarquer par écrit que maintenant, même si ça fait un moment que je le vois passer, tu aimes bien les subjonctifs imparfaits, toi ! Attention, ce n'est absolument pas une critique, j'adore l'effet. Perso, j'ai toujours tendance à y mettre du subjonctif présent, même si rigoureusement parlant… ben c'est faux. :oops: :roll: Du coup, bravo !

L'histoire du cercle d'eau m'a fait tiquer… parce que d'un côté, s'il l'a fait au raz du sol, l'eau devrait être absorbée, donc le truc rendu inopérant… et de l'autre, tu précises qu'il fait chaud et qu'Al sue, donc en plus, l'eau non absorbée devrait s'être évaporée depuis belle lurette. Oui je chipote, je l'assume totalement. :mrgreen:
« J’étais en train d’examiner ma plaie à l’avant-bras quand je sentis comme une brève piqûre dans le flanc. Aussitôt, j’attrapai Kan – que j’avais laissée hors de son fourreau – de la main droite er bondis sur mes appuis. »
Je crois que c'est la seule faute que j'ai relevée, accessoirement. ^-^

J'ai probablement zappé les mentions précédentes, mais le Saphir des Glaces, c'est quoi, un pendentif ?

« Son ton moqueur détendit la tension de mes épaules. » Pléonasme ! :P (D'ailleurs, pour l'anecdote, ça m'arrive souvent de l'écrire, celle-là, et à chaque fois, je reviens dessus et je galère pour trouver une autre tournure. ;) )

D'ailleurs, Vanääääää ! Et j'adore le système des oiseaux et bestioles qui servent de communication… mais du coup, écologiquement parlant, ça ne perturbe pas un peu les écosystèmes ? (Ouh làààà, je vais loin, moi, ce soir ! :lol: )
Et d'ailleurs bis, je ne sais pas si tu connais, mais dans ce chapitre, Mars me rappelle beaucoup Sparadrap, le prêtre dans la web-série Noob… En plus, les deux sont soigneurs, et connaissant ton amour du MMORPG… coïncidence ?
D'ailleurs ter, comme ça je pose toutes mes questions de références dans un seul paragraphe, Eon le dieu et Eon et le douzième dragon, il y a un lien ? :)

« son visage allongé comme une fougère autour d’une pierre » Je l'avais jamais entendue (ni lue), celle-là XD

Je crois que j'ai sincèrement peur pour Al, encore une fois. Bon, il est un peu plus intelligent qu'Alice lorsqu'il s'agit de ne pas foncer tête baissée, mais… en fait, non. Donc oui, je m'inquiète. Même si la présence de Vanä est assez rassurante, le fait qu'elle ne l'empêche pas ni ne l'accompagne ne présage rien de bon.

Breef. J'ai été trop inspirée, désolée. :lol:
À plus !
Oui, on est clairement plus de filles haha :D (sans parler de Wattpad...)

Oui, je vois que tu as été inspirée ! =o Merci pour ton enthousiasme :D

Plus que de les aimer, c'est la nécessité de les utiliser qui me fait mettre des subjonctifs imparfaits :lol: En vrai, je trouve ce temps vraiment super moche, surtout quand il y a des verbes à la 1ère personne, bweurk :| Yep, je faisais comme toi, mais, en pire, car je mélangeais les deux et Daniel m'a dit de choisir XD Mais mettre le subjonctif présent dans un récit au passé se fait de plus en plus donc ça ne me choque pas ;)

Alors, pour le cercle d'eau, j'ai mal expliqué, c'est ma faute ! Il est bel et bien en l'air, à une dizaine de centimètres du sol, et Al le renouvelle constamment pour éviter qu'il s'évapore =D Je vais rajouter 2-3 explications ^^
Oh, thanks, je corrige !

Le Saphir des Glaces, c'est effectivement une pierre précieuse =) (c'est la pierre bleue qui retient la tresse d'Al). C'est une pierre originaire du Nord ;)
D'ailleurs, dans la semaine, je posterai un petit récap' de l'univers, avec les diverses coutumes des peuples, quelques noms spécifiques...

Oui, pas bête :lol: Je cherche autre chose !

Haha, je savais que son retour allait te plaire :P Ça te semble incongru comme événement ou ça passe ? :)
Merci, haha, mais je pense pas que ce soit bien original x) Oula, non, t'inquiète pas ! :lol: Les Sages (les Orientaux capables de communiquer avec la faune) sont très sensibles au bien-être animalier et font en sorte de faire appel le moins possible aux animaux :)
Ah, non, pour le coup, je connais pas !
Alors, non, Eon ne vient pas de ce bouquin (je l'ai pas encore lu, il est dans mes envies, tu l'as lu toi ? ;) ), mais du nom du monde de Final Fantasy XV, qui, tu l'auras compris, est appelé Eon ^^

Moi non plus, mais je trouvais que ça décrivait bien l'aspect en bataille de ses cheveux, surtout qu'elle les a plutôt courts, mais avec des mèches qui partent à droite à gauche x)

Haha, j'imagine bien que tu t'inquiètes :lol:

Comme si j'allais t'en vouloir de me faire un super com :lol: Au contraire, merci beaucoup !
A bientôt ;)
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

DanielPagés a écrit :J'adore le système de communication par les oiseaux... et je ne suis pas inquiet pour l'écosystème comme Sarah !! :lol:
Je sens qu'il va se remettre dans le caca mais maintenant il y a du lourd pas loin avec tout-es ces sorciers-es qui traînent dans le coin ! Et bien sûr tu vas nous laisser oscillants au bord de la falaise un de ces jours... en attendant le T2 ! :twisted:
Continue !!
Les traditionnelles remarques à rajouter à celles de Sarah :

Alors, ma seule pise restait les ragots, - piste

j’obligeais Mars à vagabonder autour de la capitale - j'aurais mis le passé simple 'j'obligeai'

J’avais surtout été injurié aux deux épaules et au bras. - à ma connaissance 'injurié' n'a pas le sens de 'blessé' en français même si ça ressemble au mot anglais 'injured'

je me passai une main dans la nuque - étrange tout ces jeunes écrivains qui arrivent à mettre leur main à l'intérieur de leur nuque !!! :lol:

La seule trace qu’elle affichait, c’était une éraflure sur le bras – un dérapage sur un chemin boueux, m’avait-elle dit lorsque je m’étais enquis de l’origine. - 'de son origine' plutôt, non ?

les autres Sages et nous trois pourront peut-être arrêter ce qui est en train de se mettre en place. - heu... il me semble que c'est 'pourrons' puisque ça sous entend 'ensemble, nous'

j’avais fait une promesse à Alice et je la tiendrai. - 'tiendrais' il me semble

celui qui parcoure le plus rapidement les lieues - 'parcourt'

Le volatine l’observa à son tour - joli mot 'volatine', :lol: mais je ne l'ai pas trouvé dans mon dico

en réajustant son béret qui manquait de tomber de son crâne - 'manqua' ?

l’impatience de les confronter en face à face - Tiens déjà vu précédemment !! on 'se confronte à', on ne confronte pas quelqu'un... 'l’impatience de les voir se confronter face à face' par exemple

qui mangeaient ses pieds comme la lierre un mur. - 'le lierre'

— Alors tu me laisses en compagnie du bavard ?
— Oui. (Alors que j’arrangeai Eon dans mon dos pour qu’il ne me gênât pas, je pris un ton contrit : ) Désolé, Vanä. Tu… veux bien veiller sur lui pour moi ?

sur la forme du dialogue je le verrais plutôt comme ça (ça fait assez bizarre la parenthèse avec les deux points dedans) :
— Alors tu me laisses en compagnie du bavard ?
En arrangeant Eon dans mon dos pour qu’il ne me gênât pas, je pris un ton contrit :
— Oui. Désolé, Vanä. Tu… veux bien veiller sur lui pour moi ?

finit-elle par marmotter - ah !! 'marmotter' ! j'adore ! :lol: rien à dire j'ai vérifié, ça existe même si ce n'est pas courant !
Haha, oui, l'écosystème n'est en rien perturbé, je rassure !
"se remettre dans le caca" :arrow: Oui, ça résume plutôt bien :lol: Je pense pas que la fin du T1 soit traumatisante... On verra bien :D

Nan mais c'est pas possible ma relecture... Je pense que les chapitres sont encore trop frais dans mon esprit, je connais les phrases qui arrivent avant même d'en voir les mots, donc je fais pas assez gaffe :oops:

- Corrigé !
- Hum, je voulais pas le mettre en action de 1er plan, plutôt comme une action qu'ils répètent depuis quelques jours :geek:
- Ouuups, anglicisme :oops: Voilà ce qu'on obtient en voulant éviter les répétitions :lol:
- Ola, bizarre en effet ! :roll:
- En effet, je n'arrivais pas à trouver la bonne tournure, merci ;)
- Oui, c'est une erreur :|
- Oui, c'est "tiendraiS", merci !
- Yep, merci (pourquoi j'ai mis la forme subjonctive, mystère...)
- Rhô, voilà que j'invente des mots maintenant :lol:
- Oui, j'ai déjà fait la faute, je sais ! :oops: Toutes mes erreurs ne rentrent pas encore d'un coup, mais on va dire que je suis sur la bonne voie :lol: "les confronter" tout court, ça passe, non ?
- Arf, je sais que tu n'aimes pas les parenthèses au milieu des dialogues :evil: J'y change ('voyez pas d'inconvénients à ce que je parle comme ça ? :lol: ) pour toi, quand même ;)
- Oui, marmotter, ça vient de Sarah :lol:

Encore merci Daniel, c'est toujours un plaisir d'avoir tes retours ;)
J'espère que les salons se passent bien de ton côté ;)
Florance

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par Florance »

Yo !
Désolée pour ne pas être passé plus tôt. Si ça peux te consoler, lire la suite de ton histoire est la première chose que j'ai faite et que je ne le regrette pas même si je vais certainement manquer de temps.

Tout d'abord, ce "père" ! Dire que j'ose me plaindre du mien. Il est dur, mais il nous veut du bien (enfin je n'en suis toujours pas tout à fait certaine mais si mon prof de maths nous voulait en fait vraiment du mien, mon père aussi peut-être). Pour le pouvoir ! Ah le pouvoir ! Je me demande si c'est plus flemmard d'en vouloir au "père" ou au pouvoir. Même s'il parait qu'il reste de l'humanité en lui, là, je lui en veux très très fort. Malheureusement, je ne connais pas beaucoup de technique de torture. Pas assez en tout cas.
Et sinon, à chaque fois qu'ils parlaient de détourner Alchamy, j'élevais pleins de temple à la gloire de Mars le tueur de scénario. Je devine bien que dans les faits ce ne sera pas un si gros succès, mais cette satisfaction quand ils l'évoque.
Dommage que quelque part, à ma grande honte, je doutai un chouia de Mars. Et si... Mais pour l'instant ce n'est pas le cas alors gloire au Tueur de scénario. Même si le conte pouvait deviner que dans tous les cas, Alchamy reviendrait, le plan du Roi est eh bien... Voilà quoi.
Mais pour en revenir au conte, Ace me laisse vraiment perplexe. Comme il le dit, il est changeant, mais je n'arrive vraiment pas à le haïr. Il a des réactions qui me font espérer je n'ose pas dire quoi et de tout de façon c'est évident. Ce personnage me fascine. J'ai tellement envie de tout savoir sur lui, de le comprendre et si possibble qu'il comprenne que dieux ou pas, tuer une jeune fille, qui est plus avec tellement de potentiel, ce n'est pas génial.
Mon estime pour Alice remonte à mesure qu'elle parle. J'ai tellement l'impression qu'elle grandit et murit si bien en compagnie du conte que j'en serai presque désolée pour Alchamy le dévoué si on en apprenait pas plus sur Ace.
Enfin ce chapitre me donne tellement envie de lire l'intro. Mais il reste tellement long.

Pour le prochain chapitre, je n'ai qu'une chose à dire. J'ai l'impression que le grand Mars est un peu trop rabaissé.
Sinon avec tout le temps je n'ai pas tout retenu mais c'est cette fille la Sage à sacrifier c'est ça ? Ou Wil celui qui parle aux oiseaux et qui doit donc être sympa et adorable (et j'insiste sur le doit en dirigeant vers toi un regard... j'ai perdu le mot mais j'espère que tu saisis l'idée).
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

Florance a écrit :Yo !
Désolée pour ne pas être passé plus tôt. Si ça peux te consoler, lire la suite de ton histoire est la première chose que j'ai faite et que je ne le regrette pas même si je vais certainement manquer de temps.

Tout d'abord, ce "père" ! Dire que j'ose me plaindre du mien. Il est dur, mais il nous veut du bien (enfin je n'en suis toujours pas tout à fait certaine mais si mon prof de maths nous voulait en fait vraiment du mien, mon père aussi peut-être). Pour le pouvoir ! Ah le pouvoir ! Je me demande si c'est plus flemmard d'en vouloir au "père" ou au pouvoir. Même s'il parait qu'il reste de l'humanité en lui, là, je lui en veux très très fort. Malheureusement, je ne connais pas beaucoup de technique de torture. Pas assez en tout cas.
Et sinon, à chaque fois qu'ils parlaient de détourner Alchamy, j'élevais pleins de temple à la gloire de Mars le tueur de scénario. Je devine bien que dans les faits ce ne sera pas un si gros succès, mais cette satisfaction quand ils l'évoque.
Dommage que quelque part, à ma grande honte, je doutai un chouia de Mars. Et si... Mais pour l'instant ce n'est pas le cas alors gloire au Tueur de scénario. Même si le conte pouvait deviner que dans tous les cas, Alchamy reviendrait, le plan du Roi est eh bien... Voilà quoi.
Mais pour en revenir au conte, Ace me laisse vraiment perplexe. Comme il le dit, il est changeant, mais je n'arrive vraiment pas à le haïr. Il a des réactions qui me font espérer je n'ose pas dire quoi et de tout de façon c'est évident. Ce personnage me fascine. J'ai tellement envie de tout savoir sur lui, de le comprendre et si possibble qu'il comprenne que dieux ou pas, tuer une jeune fille, qui est plus avec tellement de potentiel, ce n'est pas génial.
Mon estime pour Alice remonte à mesure qu'elle parle. J'ai tellement l'impression qu'elle grandit et murit si bien en compagnie du conte que j'en serai presque désolée pour Alchamy le dévoué si on en apprenait pas plus sur Ace.
Enfin ce chapitre me donne tellement envie de lire l'intro. Mais il reste tellement long.

Pour le prochain chapitre, je n'ai qu'une chose à dire. J'ai l'impression que le grand Mars est un peu trop rabaissé.
Sinon avec tout le temps je n'ai pas tout retenu mais c'est cette fille la Sage à sacrifier c'est ça ? Ou Wil celui qui parle aux oiseaux et qui doit donc être sympa et adorable (et j'insiste sur le doit en dirigeant vers toi un regard... j'ai perdu le mot mais j'espère que tu saisis l'idée).
Wouh, c'est tellement touchant de recevoir des messages comme celui-ci... Merci beaucoup Inès, ça me touche vraiment, ça me fait rire, sourire, grimacer (mais parce que j'ai peur de tes réactions futures, haha !), c'est aussi amusant, car je te trouve très pertinente dans ce que tu me dis ! Puis, tu réagis un peu de la façon dont j'aimerais que les personnes qui lisent Oneiris réagissent haha =)

Tu as passé ton bac, du coup ? Ou d'autres épreuves ? Comment ça s'est passé ? Et, pas de soucis, même si tu n'avais pas commenté, ça ne m'aurait pas dérangé outre-mesure :D
C'est gentil en tout cas de penser ainsi à Oneiris ;) :oops:

Haha, tu as le droit de te plaindre du tien, il y a pas de soucis :lol: (Comment tu as fait pour rapprocher ton père de ton prof de maths la vache ? XD) Et, oui, j'espère que ton papa n'est pas comme celui d'Alice... :roll:
Oui, c'est normal de lui en vouloir, ça reste monstrueux ce qu'il prévoit de faire :| Pour la torture, vampiredelivres et Daniel ont eu plein d'idées, ne t'inquiète pas :lol:

"Mars le tueur de scénarios" :arrow: Celle-ci, on me l'avait jamais faite, j'aime beaucoup ! :lol: Arf, c'est normal de douter de lui, on ne le connaît pas encore très très bien ;) Et, comme tu dis, gloire au tueur de scénarios ! :lol:
Oui, le Roi devait bien avoir un plan sous le coude, il n'avait pas prévu que monsieur Al courrait à la recherche d'Alice... ;)

Héhé, si Ace te laisse perplexe et que, quelque part, tu n'arrives pas à le haïr, mon but est atteint ! :twisted: Je voulais pas d'un antagoniste manichéen pour lui, où on sait tout de suite ce qu'il veut, comment, pourquoi... Faut laisser planer un peu le mystère :) Le personnage d'Ace est peut-être le plus difficile à écrire pour moi, car je connais son rôle au fil de l'histoire, mais pas vous, et je dois faire en sorte de laisser des indices, mais pas trop non plus... Tout en laissant cette aura de mystère autour de lui ! Surtout, j'essaie d'en dire le minimum lorsque je réponds à vos commentaires, mais j'ai toujours le sentiment d'en dévoiler trop sur lui sans le vouloir :D

De même, je suis très contente que tu apprécies de plus en plus Alice. Comme tu dis, elle grandit à chaque chapitre et c'est un peu ce côté "évolution du personnage" que je voulais travailler avec elle sur le tome 1 (et à l'inverse, les tendances risquent de s'échanger entre les deux protagonistes pour le T2 :) ). J'espère qu'elle continuera de te plaire jusqu'à la fin ! ;)

Oui, le prologue est longuet, je confirme :lol: Ecoute, en ce moment, je suis sur une phase de correction de la partie, et je vais aussi faire le prologue, qui a encore un certain nombre de défauts. Je pourrais te prévenir une fois qu'il sera corrigé, si tu as envie de le lire ^-^

"Le grand Mars" :lol: J'adore !
Alors, il y a deux Sages qui entrent en jeu : Vanä et Wilwarin. Vanä est la guérisseuse qui s'est occupée d'Al après la bataille du camp dans le Nord, puis qui l'a accompagné jusqu'à la frontière. Ils se sont séparés chacun d'un côté, elle pour retourner chez elle dans l'Est, lui dans l'Ouest pour retrouver Alice. Sauf qu'à peine arrivée dans l'Est, Vanä a été prévenue par les autres Sages (grâce aux p'tits zoziaux :D ) qu'il se tramait de sales choses du côté d'Ace et d'Alice. Elle a donc rebroussé chemin pour rattraper Al et le prévenir. L'autre Sage, le plus jeune de tous, est Wilwarin, que l'on a pas encore rencontré =) Lui, comme il est encore assez jeune (il a 27 ans...), a pris la décision de quitter Enetari (là où siègent les Sages, la "capitale" de l'Est) pour suivre Ace à distance, le surveiller (toujours grâce à la faune) et pour retrouver Al pour qu'ils voyagent ensemble :)

Je crois que tu voulais dire "regard insistant" non ? :geek: Le message est passé :lol:

Encore un grand merci et à bientôt ! ;)
Florance

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par Florance »

louji a écrit :Wouh, c'est tellement touchant de recevoir des messages comme celui-ci... Merci beaucoup Inès, ça me touche vraiment, ça me fait rire, sourire, grimacer (mais parce que j'ai peur de tes réactions futures, haha !), c'est aussi amusant, car je te trouve très pertinente dans ce que tu me dis ! Puis, tu réagis un peu de la façon dont j'aimerais que les personnes qui lisent Oneiris réagissent haha =)

Tu as passé ton bac, du coup ? Ou d'autres épreuves ? Comment ça s'est passé ? Et, pas de soucis, même si tu n'avais pas commenté, ça ne m'aurait pas dérangé outre-mesure :D
C'est gentil en tout cas de penser ainsi à Oneiris ;) :oops:

Haha, tu as le droit de te plaindre du tien, il y a pas de soucis :lol: (Comment tu as fait pour rapprocher ton père de ton prof de maths la vache ? XD) Et, oui, j'espère que ton papa n'est pas comme celui d'Alice... :roll:
Oui, c'est normal de lui en vouloir, ça reste monstrueux ce qu'il prévoit de faire :| Pour la torture, vampiredelivres et Daniel ont eu plein d'idées, ne t'inquiète pas :lol:

"Mars le tueur de scénarios" :arrow: Celle-ci, on me l'avait jamais faite, j'aime beaucoup ! :lol: Arf, c'est normal de douter de lui, on ne le connaît pas encore très très bien ;) Et, comme tu dis, gloire au tueur de scénarios ! :lol:
Oui, le Roi devait bien avoir un plan sous le coude, il n'avait pas prévu que monsieur Al courrait à la recherche d'Alice... ;)

Héhé, si Ace te laisse perplexe et que, quelque part, tu n'arrives pas à le haïr, mon but est atteint ! :twisted: Je voulais pas d'un antagoniste manichéen pour lui, où on sait tout de suite ce qu'il veut, comment, pourquoi... Faut laisser planer un peu le mystère :) Le personnage d'Ace est peut-être le plus difficile à écrire pour moi, car je connais son rôle au fil de l'histoire, mais pas vous, et je dois faire en sorte de laisser des indices, mais pas trop non plus... Tout en laissant cette aura de mystère autour de lui ! Surtout, j'essaie d'en dire le minimum lorsque je réponds à vos commentaires, mais j'ai toujours le sentiment d'en dévoiler trop sur lui sans le vouloir :D

De même, je suis très contente que tu apprécies de plus en plus Alice. Comme tu dis, elle grandit à chaque chapitre et c'est un peu ce côté "évolution du personnage" que je voulais travailler avec elle sur le tome 1 (et à l'inverse, les tendances risquent de s'échanger entre les deux protagonistes pour le T2 :) ). J'espère qu'elle continuera de te plaire jusqu'à la fin ! ;)

Oui, le prologue est longuet, je confirme :lol: Ecoute, en ce moment, je suis sur une phase de correction de la partie, et je vais aussi faire le prologue, qui a encore un certain nombre de défauts. Je pourrais te prévenir une fois qu'il sera corrigé, si tu as envie de le lire ^-^

"Le grand Mars" :lol: J'adore !
Alors, il y a deux Sages qui entrent en jeu : Vanä et Wilwarin. Vanä est la guérisseuse qui s'est occupée d'Al après la bataille du camp dans le Nord, puis qui l'a accompagné jusqu'à la frontière. Ils se sont séparés chacun d'un côté, elle pour retourner chez elle dans l'Est, lui dans l'Ouest pour retrouver Alice. Sauf qu'à peine arrivée dans l'Est, Vanä a été prévenue par les autres Sages (grâce aux p'tits zoziaux :D ) qu'il se tramait de sales choses du côté d'Ace et d'Alice. Elle a donc rebroussé chemin pour rattraper Al et le prévenir. L'autre Sage, le plus jeune de tous, est Wilwarin, que l'on a pas encore rencontré =) Lui, comme il est encore assez jeune (il a 27 ans...), a pris la décision de quitter Enetari (là où siègent les Sages, la "capitale" de l'Est) pour suivre Ace à distance, le surveiller (toujours grâce à la faune) et pour retrouver Al pour qu'ils voyagent ensemble :)

Je crois que tu voulais dire "regard insistant" non ? :geek: Le message est passé :lol:

Encore un grand merci et à bientôt ! ;)
Avant tout... D'où tu connais mon nom ? Je ne pense pas te l'avoir dit.

Sinon, merci pour ton avis sur la pertinence de mes dire même si je ne vois pas en quoi.

Je suis bachelière avec la meilleure mention mais tout juste.

Pour le regard je ne suis pas certaine que c'était le mot que je cherchais mais le message est le bon.
Pou ce monde, je resterai fidèle au culte de Mars le Genial et le tueur de scénarios mais un ami des noiseaux ce serait triste qu'il soit méchant non ?
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

Florance a écrit : Avant tout... D'où tu connais mon nom ? Je ne pense pas te l'avoir dit.

Sinon, merci pour ton avis sur la pertinence de mes dire même si je ne vois pas en quoi.

Je suis bachelière avec la meilleure mention mais tout juste.

Pour le regard je ne suis pas certaine que c'était le mot que je cherchais mais le message est le bon.
Pou ce monde, je resterai fidèle au culte de Mars le Genial et le tueur de scénarios mais un ami des noiseaux ce serait triste qu'il soit méchant non ?
Oh, je ne l'ai pas dit ? Je lis dans les esprits ! :ugeek:
Sans plaisanter, la 1ère fois que tu es venue commenter sur Oneiris, j'ai fait un petit tour sur ton profil, pour te connaître un minimum (je fais ça avec tout le monde), et j'ai vu que tu indiquais ton prénom :D Mais si ça te dérange que je t'appelle ainsi, je peux rester sur "Flo", ça me va très bien ;)

Et bien, c'est juste que je trouve que ce que tu dis correspond bien à ce qui se passe dans Oneiris =)

Waouh, bravo !! Tu as passé quel bac ? :) Tu fais quoi l'année prochaine ? ;)

Oui, ce serait dommage qu'un ami des oiseaux soit méchant... Mais il n'y a pas de raison haha :D
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

Comme j'ai fini d'écrire un chapitre tout à l'heure, je peux en poster un nouveau pour vous... ;)
Une nouvelle ville est présentée dans ce chapitre, et j'ai l'impression que l'immersion n'est pas top, les descriptions trop floues... La cité a un côté "bazar" que j'ai essayé de transmettre dans les descriptions, mais c'est peut-être trop bazar haha. N'hésitez pas à me donner vos ressentis =)




Chapitre 16
Alice



An 500 après le Grand Désastre, 2e mois de l’été, Ma’an, Terres du Sud.



Après un peu plus d’une semaine de voyage, nous avions atteint Ma’an. Nous aurions pu rejoindre la ville bien plus tôt, grâce aux chevaux, mais le comte ne s’était pas pressé. Au contraire, il avait pris tout son temps, ralentissant la cadence lorsqu’il l’estimait trop rapide, proposant jusqu’à une dizaine de pauses par jour, nous laissant dormir plus que nous n’en avions besoin.
Loin de me plaindre, la raison de notre voyage ralenti m’avait tout de même intriguée. J’avais laissé un garde, exaspéré de la nonchalance du Noble et de ses mystères, l’interroger à ce propos. Le comte nous avait alors appris que les Samay étaient partis assez tard de Lissa et que nous devions faire en sorte d’arriver à peu près en même temps qu’eux à Ma’an. Après tout, moins nous passerions de temps dans la cité, mieux nous nous porterions.
La principale ville marchande d’Oneiris souffrait d’une terrible réputation. Ma’an s’était développée grâce à sa position idéale : située au bord du lac Ishalgen, sa facilité d’accès par mer ou par terre l’avait fait connaître de toutes les Terres. Les Occidentaux et les Sudistes avaient commencé à s’y rencontrer pour échanger des marchandises, puis c’étaient tous les peuples d’Oneiris et les navires aviriens qui avaient convergé vers la cité. Avec les décennies, le village marchand en bord de mer s’était transformé en bourg actif puis en ville à l’activité commerçante non négligeable. À présent, Ma’an et ses environs étaient la principale zone de commerce d’Oneiris.
Qui disait commerce disait lois. Qui disait lois disait infractions. Les marchés illégaux étaient presque plus répandus que les réglementés. Le Sud avait, bien évidemment, voulu contrôler Ma’an pour son bénéfice, mais la proximité de l’Ouest avec la cité avait rendu les négociations délicates. Sans compter qu’un certain nombre de marchands de Ma’an n’étaient ni Occidentaux ni Sudistes et renâclaient à appliquer des lois qui n’étaient pas celles avec lesquelles ils étaient nés.
Le commerce à Ma’an avait ses propres lois. Si l’on pouvait parler de lois. Les taxes qui devaient revenir au Sud étaient rarement appliquées et seules les monnaies avaient une quelconque valeur là-bas. La confiance était un confort que l’on ne pouvait pas s’accorder.
« Ma’an est une grotte qui brille beaucoup grâce à ses richesses, mais qui n’est réellement qu’un trou obscur empli de rats. Nous évitons de commercer avec ses marchands, mademoiselle, et seul un besoin urgent et absolu devrait vous mener là-bas. » Les propos de l’un de mes professeurs ne cessaient de tourbillonner sous mon crâne alors que nous entrions dans la périphérie de la ville. Les mains moites, le cœur battant d’angoisse, j’observai les habitations s’approcher de plus en plus de nous. Nous y étions. À mon grand désespoir.

Pour parvenir jusqu’à la cité marchande, nous avions bordé le lac Ishalgen. L’air nous avait apporté quelque peu de fraîcheur en même temps que les relents du poisson qui séchait sur de vastes zones couvertes de claies inclinées aux abords des villages.
À présent, des odeurs diverses me parvenaient ; assez désagréables pour la plupart. Fumée, sueur, peau animale en train de sécher, iode, poisson, plantes médicinales, chair en train de griller… Tant d’effluves que j’en avais du mal à respirer.
Accrochée à la ceinture du garde avec lequel je chevauchais, je libérai une main pour me couvrir le bas du visage. L’omniprésence de cette puanteur me faisait tourner la tête, sans parler du soleil tapant qui faisait onduler l’air et transpirer les chevaux. J’avais l’impression d’étouffer dans mes vêtements et je n’osais pas imaginer l’image que je devais donner. Je devais avoir piètre allure avec mes cheveux plaqués sur le crâne par la sueur, mes mains et mon visage noircis de terre et mes vêtements en mauvais état. Ironiquement, je me fondais bien dans la masse humaine qui se mouvait sans direction particulière, les groupes allant et venant à la façon d’une feuille baladée par le vent.

Nous passions inaperçus au milieu de la foule qui devenait de plus en plus compacte à mesure que nous nous rapprochions du port. Des hommes et femmes de toute origines déambulaient près de nous, en groupe, seul, à pied, chevauchant diverses montures…
Si les peuples et les accents me semblaient communs, j’entendis plus d’une fois des dialectes sudistes, dont un, dans de la bouche d’une femme, qui m’était complètement inconnu. Pourtant, l’un de mes précepteurs du château, un spécialiste des langues qui n’avait cessé de voyager que pour m’enseigner l’art du langage, m’avait présenté une grande partie de ces idiomes régionaux. La femme était grande, avec des membres musclés et, si elle n’avait pas eu la peau si sombre, ces cheveux frisés et ces vêtements légers, on aurait pu la prendre pour une Nordiste.
Au fil des années à seconder mon père lors des rencontres officielles, j’avais pu voir tant de cultures, d’accents, de vêtements et de traits physiques que je n’aurais pas cru pouvoir être aussi surprise au milieu de cette foule humaine, si semblable et diverse en même temps.

Comme les lourdes odeurs commençaient à me devenir plus familières, je pus mieux profiter du spectacle qui s’offrait à mes yeux. Ma’an n’était pas une jolie ville ; trop de cultures avaient voulu en faire leur nid. Mais c’était là son aspect le plus fascinant : tentes nordistes côtoyaient cabanes orientales au milieu des petites maisons de pierre occidentales et des habitations à ciel ouvert des sudistes. Sans compter les étranges bâtisses démontables aux toits en pente du peuple avirien.
La poussière se mêlait à l’effluve douceâtre du lac, la sueur des hommes à celle des bêtes et les étals se poussaient les uns contre les autres, se grimpaient dessus, avaient un pied dans l’eau ou penchaient de côté. C’était effrayant et merveilleux. Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation.

Les gardes qui chevauchaient près de moi semblaient tout aussi impressionnés. Ils observaient, la bouche béante et les yeux écarquillés, les armes que l’on échangeait contre des bijoux faits d’or et d’argent, de fer et de corde, les coquillages roses vendus pour une pièce d’or, des fruits, si colorés et odorants que mon ventre s’en creusa d’envie, échangés contre des poulets. Monnaie et troc se côtoyaient aussi naturellement que les peuples se mêlaient dans la presse de la ville.
Quant à mon père et au comte Wessex Bastelborn, ils ignoraient la foule et le lieu comme s’il s’était agi d’insectes. Devant les badauds qui nous dévisageaient et les commerçants qui nous hélaient, le Roi affichait une mine agacée et pressait sa monture d’avancer plus vite. Au château, il écoutait aussi le peuple, même s’il leur accordait moins de temps qu’aux Nobles. Ce qui n’était pas le plus sage à mes yeux, puisque ces derniers étaient souvent en conflit avec leurs voisins pour des terres, tandis que les gens du commun nous apprenaient des nouvelles qui, il me semblait, étaient plus graves : animaux malades, terres infertiles, recrudescence de morts infantiles ou de vols… Ici, mon père semblait avoir complètement oublié son cœur et méprisait aussi bien mendiants que marchands, hommes ou femmes, de tout âge et de toute origine.
Était-ce sa décision d’accomplir la Prophétie qui l’avait rendu aussi dur et froid ? Une pensée désespérée me tirailla l’esprit : était-ce le futur sacrifice de sa fille qui lui avait gelé le cœur ?

Le reflet du soleil couchant sur le lac Ishalgen ressemblait à du miel fondu. Le regard perdu vers l’horizon, je me laissai bercer par le rythme du cheval, par les appels des commerçants qui ne cessaient jamais, par les cris des divers animaux, par l’odeur de cuisine qui montait et masquait doucement les effluves moins agréables.
Une brise d’air frais bienvenue nous souffla au visage alors que le comte dirigeait notre groupe vers une allée où des cabanes à deux étages se serraient les unes contre les autres dans un équilibre précaire. Des habitants, sortis pour vider leurs ordures dans les bas-côtés, pour nettoyer des vêtements ou rincer des légumes, nous dévisagèrent alors que nous les dépassions à cheval. Mal à l’aise sous leur regard inquisiteur, je fixai la nuque du soldat avec lequel je chevauchais. J’avais hâte d’arriver à l’auberge où nous devions séjourner. La fatigue me collait à la peau comme de la sueur et la faim me faisait tourner la tête.

Après avoir emprunté nombreuses ruelles et allées, parfois si étroites que j’avais bien cru que les chevaux ne passeraient pas, nous débouchâmes sur une petite place avec un puits en son centre. Des écuries étaient installées sur le côté gauche, adossées à une bâtisse de trois étages aux fenêtres étroites, à la peinture ocre écaillée, et dont la porte était surmontée d’un panneau en bois signalant « La Rasade » en langue commune et en divers dialectes sudistes.
— Nous sommes arrivés, annonça sobrement Ace Wessex Bastelborn en se tournant vers nous, un sourire léger flottant aux lèvres.

Une fois descendus de cheval, et après les avoir confiés aux bons soins du palefrenier de l’auberge, nous nous dirigeâmes vers la bâtisse vétuste. Après avoir dormi tant de nuits dehors, je me fichais que ce fût un lit immense aux draps de soie ou une minuscule couchette mitée qui m’accueillît. Néanmoins, ce n’était pas le genre d’endroit où je m’attendais à rencontrer les Samay. Je me doutais que c’était bien pour la simplicité et l’anonymat du lieu que nous nous y rendions.
Lorsque nous fûmes assez proches de l’entrée, des bruits de verre et de couverts, des cris d’hommes et de femmes, le claquement des chopes et le son plus feutré des pas nous parvinrent avec la brusquerie d’une bourrasque.
Sans hésiter, le comte s’engagea dans l’entrée et y disparut, vite suivi de deux gardes, de mon père puis du dernier soldat. J’hésitai un instant avant de rentrer, levai les yeux vers le panneau de bois défraîchi, grimaçai devant l’odeur de bière et de sueur qui m’agressa les narines puis entrai. De petites tables en bois accueillaient des groupes d’hommes et de femmes de tout âge et de toute origine dans un brouillard invisible de chaleur. Quelques clients buvaient seuls, mais ils étaient rares. Un bar abîmé résistait aux coups de chopes des ivrognes sur le flanc gauche de la salle. Un jeune homme d’une vingtaine d’année au crâne précocement dégarni tenait un chiffon à la main, une bouteille d’alcool dans l’autre, prêt à resservir quiconque lui tendrait son verre. Des tableaux de liège accrochés aux murs et couverts d’inscription faites à la craie noire étaient parsemés de bouts de fer informes. Jeux de fléchettes archaïque ? Deux arches nous faisaient face. L’une donnait sur ce qui devait être les cuisines, l’autre sur des escaliers qui menaient aux étages.
Une petite femme avec un chignon de cheveux roux déboula de l’une des entrées, chargée d’un plateau recouvert de pain beurré et de deux bols de soupe. Elle le déposa sans délicatesse devant deux hommes aux visages tirés puis leva un nez constellé de taches de rousseur vers nous.
— Je peux vous aider ?
— Nous sommes là pour les Samay, répondit le comte en s’avançant.
L’aubergiste haussa un sourcil cuivré.
— Alors c’est vous ? (Elle nous tourna le dos en lançant d’une voix forte pour couvrir le tintement des couverts et les discussions : ) On m’a déjà payée pour vous offrir le couchage, le souper et du foin pour vos montures. Alors installez-vous, je vous apporte le repas.
Et elle disparut dans les cuisines sans un mot de plus. Je ne lui avais pas reconnu d’accent particulier. Le sien avait dû disparaître après des années écoulées dans des contrées étrangères.
Comme aucune table assez grande pour nous accueillir tous n’était disponible, nous nous séparâmes en deux groupes : les trois soldats d’un côté, le Noble, mon père et moi de l’autre.
Installés près d’une fenêtre, je gardai les yeux rivés vers l’extérieur pour éviter de croiser le regard implacable de mon père ou celui mystérieux du comte. L’un comme l’autre me révulsaient à cet instant.

Ma nausée et mon malaise se dissipèrent quelque peu lorsque qu’un bol fumant de bouillon de volaille, accompagné de riz, fut déposé sous mon nez. À ceci s’ajoutèrent deux tranches de pain beurrées, une chope de bière et une assiette commune de fruits secs en guise de dessert. J’écartai aussitôt l’alcool, guère attirée par la boisson mousseuse. Du coin de l’œil, j’aperçus un sourire furtif sur les lèvres pincées de mon père. Le Roi se fondait aisément dans l’auberge. J’en étais étonnée. Avait-il eu dans sa jeunesse l’habitude d’aller boire une chope avec des amis ?
Le bouillon de viande était réhaussé d’épices et d’herbes aromatiques. La sensation dans ma bouche de la chair tendre, du jus savoureux et du riz fondant avait quelque chose d’incroyable. Combler sa faim était d’une simplicité brutale, mais d’un soulagement intense. Sans me soucier du protocole, inexistant dans cette auberge simple, de la présence de mon père et du comte Bastelborn, j’avalai une grosse bouchée de pain, aspirai une cuillerée de bouillon puis soupirai de plaisir.
Lorsque je ralentis le rythme avec lequel j’avalais mon repas, je remarquai que mon père mangeait avec un entrain semblable au mien. Plus posé, Ace Wessex Bastelborn mâchait du bout des dents sa tranche de pain.
— Combien de temps nous faudra-t-il pour atteindre le Temple de Timoria ? s’enquit mon père après avoir terminé son bol.
— Il nous faut deux jours pour traverser la Zone Morte, commença le comte, les bras croisés sur la poitrine, l’air pensif. Une fois à l’intérieur du Noyau, la distance… est variable.
— La Zone Morte ? soufflai-je avant que mon père ne reprît la parole.
— Une étendue dépourvue de vie qui entoure le Noyau, expliqua le Noble en posant les yeux sur moi. Elle n’a pas de nom spécifique, on l’appelle bien comme on le souhaite.
— Pourquoi n’y a-t-il pas de vie ?
— Car cette zone permet au Noyau de garder son aspect mystérieux et divin. Sur des dizaines de kilomètres autour de l’enceinte, il n’y a qu’une terre infertile où ni faune ni flore n’existent. Un moyen de plus de repousser les humains du cœur d’Oneiris où les Dieux apparaissent.
— Comment savez-vous tout ça ? murmurai-je, stupéfaite.
— Alice, tonna mon père en me jetant un regard noir. Cesse donc de nous couper.
Intimidée, je déglutis péniblement en baissant les yeux. Mon père avait toujours été autoritaire, mais jamais violent. Si ce n’était à travers son ton méprisant et ses paroles dures. Néanmoins, je ne comptais pas tester les limites de sa patience à cause de ma curiosité.
— Alors ? reprit mon père d’un air agacé. Une fois la Zone Morte traversée, combien de jours de voyage pour atteindre le Temple de Timoria ?
— Je vous l’ai dit : c’est variable.
— Variable ? répéta le Roi d’un ton sceptique. Que voulez-vous dire ?
— Qu’il est impossible d’estimer le temps nécessaire. Le Temple peut changer de position, ou c’est la nature autour du Temple qui peut se transformer et nous désorienter.
— C’est une plaisanterie ?
— Pas du tout, mon Roi, se justifia le comte d’un air grave. N’oubliez pas que le Noyau est le domaine des Dieux. À cet endroit plus qu’ailleurs, leur contrôle est immense. S’ils souhaitent faciliter notre voyage ou, au contraire, le compliquer, ils le feront.
Visiblement dubitatif, mon père ne répondit rien et se passa une main sur la nuque. Était-il angoissé par les jours qui allaient suivre ? La perspective de trahir l’Impératrice avec l’aide de Dastan Samay le rendait-il nerveux ? L’idée de sacrifier sa fille lui rendait-il le sommeil agité ?
Pour moi, en tout cas, chaque minute était une angoisse permanente. Chaque bouffée d’air me semblait plus précieuse que la précédente, chaque sensation de mon corps, plaisante ou pas, avait un effet euphorique. Je profitais des derniers lambeaux de vie qui me restaient.
Si ma mort prochaine me rendait malade, je tenais quand même à jouir du mieux possible des instants de plaisir qui m’étaient accordés : un repas simple, mais bon, un vrai lit pour dormir, un peigne pour coiffer mes cheveux, un broc d’eau pour me nettoyer le visage, une fenêtre ouverte pour laisser l’air courir sur ma peau.

L’auberge se gonfla un peu plus de clients lorsque le soleil se coucha. Les habitués du soir envahirent la place, commandèrent des chopes, sortirent les jeux de cartes et les dés, parièrent sur le meilleur au jeu de fléchettes et se défièrent à « la rasade », d’où venait le nom de l’auberge. Le serveur disposait sur le comptoir vingt petites tasses dont lui seul connaissait le contenu. Le gagnant devait toutes les avaler d’une traite en limitant les pauses entre chaque. D’après ce que j’entendis, lorsque les premiers participants s’engagèrent, rares étaient ceux qui dépassaient les dix premières tasses. À croire que l’alcool fort était mélangé à des épices ou à des substances douteuses pour que des hommes et femmes habitués à boire fussent rebutés aussi rapidement.
Lorsqu’une fatigue lourde s’abattit sur moi, je m’excusai auprès de mon père et du comte et me levai de table. Alors que je me dirigeais vers l’aubergiste pour récupérer la clef de ma chambre, le Noble me rattrapa et passa une main amicale autour de mon bras.
— Par ici, Alice.
Perturbée de l’entendre m’appeler ainsi et de sa familiarité, je le suivis dans les escaliers. En silence, nous les montâmes côte à côte, jusqu’au dernier étage.
— Les Samay nous ont réservé les meilleures chambres, m’apprit-il en sortant une clef d’un pli de sa veste élégante. Au troisième étage, où le brouhaha de la salle commune se fait moins entendre.
— Quand avez-vous… commençai-je avant d’être interrompue par le comte :
— L’aubergiste m’a donné les clefs quand elle nous a apporté le repas. (Il déverrouilla une porte et la poussa, m’adressant au passage un regard amusé.) Mais vous étiez tellement occupée à dévisager votre bouillon que vous n’avez rien remarqué.
Je rougis de sa moquerie puis entrai à petits pas dans la chambre exiguë. Un lit, une table minuscule avec un broc d’eau et une chaise en mauvais état meublaient les lieux. Une odeur de sueur et de renfermé imprégnait l’air, mais le sommeil qui alourdissait mes paupières s’en moquait largement. Seule comptait la couchette installée contre le mur, avec sa couverture bleue et son oreiller.
Lasse de ma journée, épuisée de mon voyage et anéantie par ma destinée future, je me laissai tomber au bord du lit, délaçai machinalement mes chaussures puis m’allongeai. L’obscurité du sommeil me frappa brutalement.
— Bonne nuit, Alice.
— Bonne nuit, marmonnai-je, à demi endormie.
Avant de sombrer définitivement, je sentis la couverture me recouvrir et entendis la porte se refermer dans un murmure.

Le piaillement des oiseaux à l’aube me réveilla. L’esprit confus, j’observai les particules de poussière danser dans les rais de lumière qui filtraient du volet mal fermé. Les membres engourdis, je me redressai, me frottai les yeux puis baillai.
Après avoir retroussé les manches de ma chemise large et raidie de crasse, je récupérai l’eau du bol en terre cuite et me rinçai le visage. Je n’avais pas de pain de savon, mais le liquide frais sur ma peau était suffisant. Je pris aussi soin de me laver les mains puis me passai des doigts humides dans les cheveux pour tenter de les lisser.
Une fois ma toilette finie, je sortis dans le couloir, curieuse. Les soldats, mon père et le Noble dormaient-ils encore ? Alors que j’allais descendre à la salle commune pour prendre mon petit-déjeuner, une porte s’ouvrit à ma droite. L’air fatigué, mon père en sortait en nouant ses cheveux en petite natte sur sa nuque. À ma vue, il se redressa, le visage toujours fermé.
— Tu as bien dormi ? demandai-je d’une petite voix.
En guise de réponse, il haussa les épaules puis me dépassa pour descendre. Lasse de son mutisme et de sa froideur, je le suivis, les épaules basses.
— Le comte Wessex Bastelborn est déjà debout ? Et les soldats ?
— Oui, les gardes sont descendus tôt ce matin, notamment pour prendre place dans la salle commune et surveiller la rencontre. Quant au comte, il nous a devancés de quelques minutes pour recevoir les Samay.
— Tu lui fais confiance ? soufflai-je d’une voix méfiante.
— Pas totalement, mais, pour l’instant, je ne peux pas me passer de lui. Jusqu’à ce qu’on atteigne le Temple de Timoria, il nous accompagnera.
Je ne pouvais donc pas lui faire ouvrir les yeux ni tenter de le dissuader de réaliser sa folle idée. Nous courions au désastre : les Dieux allaient nous punir de l’arrogance avec laquelle nous allions nous présenter à eux. Les objectifs de mon père et de Dastan Samay étaient empreints d’égoïsme et de mépris pour l’humanité. Si je ne mourais pas avant d’être sacrifiée par mon propre père, les divinités protectrices d’Oneiris allaient mettre fin à nos vies.

Le bruit incessant de la salle commune nous parvint rapidement. C’était néanmoins beaucoup plus calme que la veille au soir. Une drôle d’appréhension monta en moi alors que nous débouchions dans la salle où les clients qui avaient dormi prenaient leur petit-déjeuner.
D’un coup d’œil, je trouvai le comte Wessex Bastelborn accoudé au comptoir, en compagnie de deux silhouettes drapées de capes couleur sable. Je reconnus assez facilement un homme avec des épaules larges et une femme à la longue chevelure brune.
— Allez, Alice, un peu de courage et de tenue, déclara mon père en posant une main lourde sur mon épaule. Il ne s’agit pas de n’importe qui, mais de la famille impériale.
Alors qu’il s’avançait, gardant ses doigts crispés autour de mon bras, il ajouta à voix basse :
— N’oublie pas non plus que tu es de famille royale.
L’anxiété me broyait le cœur lorsque nous nous approchâmes du comte et des Samay.



Dernière modification par louji le jeu. 11 juil., 2019 6:11 pm, modifié 5 fois.
vampiredelivres

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par vampiredelivres »

Coucou !

Je suis trèèès à l'heure, pour une fois :lol:
On va commencer par le plus simple, j'aime beaucoup ce chapitre. En ce qui concerne la ville, ça me va très bien, j'ai eu une plutôt bonne idée de son aspect et de la vie qui y grouille. J'aime beaucoup ta manière de mélanger descriptions visuelles, auditives et olfactives :)
Ace me perturbe toujours autant, je crois que ça ne change pas de d'habitude (et que tu aimes ça, en plus ! :mrgreen: ), donc on ne va pas faire beaucoup de commentaires sur lui… à part que j'ai bien aimé son « bonne nuit », c'était presque… mignon. :roll:

Je laisse le soin à Daniel de relever les éventuelles fautes, il semble avoir un œil bien plus aguerri et perçant que le mien :mrgreen:
En revaaanche, j'ai une petite remarque, qui porte sur l'expression « boire un coup », qui fait à mon sens très moderne, et si ce n'aurait pas été mieux de le remplacer par « boire une pinte ».

Deux petites questions finales, pour la route : Est-ce que le Noyau est inspiré de la région des Abysses d'Aion, avec l'œil au centre ? Parce que mine de rien, c'est la première chose à laquelle j'ai pensé… Et, seconde question, si les dieux sont encore assez puissants pour modifier l'espace-temps là-bas, est-ce qu'ils ne pourraient pas se contenter de faire tourner notre petit équipage de psychopathes en rond pour l'éternité ? (D'ailleurs, au moment où Ace a dit que c'est là-bas que les dieux ont le plus de pouvoirs, j'ai littéralement eu envie de faire un gros doigt d'honneur au père d'Alice, avec cette chanson en fond ! :lol: )

Voilààà, ce sera tout pour moi ce soir ! :)
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

vampiredelivres a écrit :Coucou !

Je suis trèèès à l'heure, pour une fois :lol:
On va commencer par le plus simple, j'aime beaucoup ce chapitre. En ce qui concerne la ville, ça me va très bien, j'ai eu une plutôt bonne idée de son aspect et de la vie qui y grouille. J'aime beaucoup ta manière de mélanger descriptions visuelles, auditives et olfactives :)
Ace me perturbe toujours autant, je crois que ça ne change pas de d'habitude (et que tu aimes ça, en plus ! :mrgreen: ), donc on ne va pas faire beaucoup de commentaires sur lui… à part que j'ai bien aimé son « bonne nuit », c'était presque… mignon. :roll:

Je laisse le soin à Daniel de relever les éventuelles fautes, il semble avoir un œil bien plus aguerri et perçant que le mien :mrgreen:
En revaaanche, j'ai une petite remarque, qui porte sur l'expression « boire un coup », qui fait à mon sens très moderne, et si ce n'aurait pas été mieux de le remplacer par « boire une pinte ».

Deux petites questions finales, pour la route : Est-ce que le Noyau est inspiré de la région des Abysses d'Aion, avec l'œil au centre ? Parce que mine de rien, c'est la première chose à laquelle j'ai pensé… Et, seconde question, si les dieux sont encore assez puissants pour modifier l'espace-temps là-bas, est-ce qu'ils ne pourraient pas se contenter de faire tourner notre petit équipage de psychopathes en rond pour l'éternité ? (D'ailleurs, au moment où Ace a dit que c'est là-bas que les dieux ont le plus de pouvoirs, j'ai littéralement eu envie de faire un gros doigt d'honneur au père d'Alice, avec cette chanson en fond ! :lol: )

Voilààà, ce sera tout pour moi ce soir ! :)
T'es globalement souvent à l'heure ! :D
Merci beaucoup, j'avais peur que ça passe pas ^-^ Oh, tant mieux alors, j'avais peur que ça fasse trop brouillon :)
Héhé, oui, j'aime bien qu'il perturbe un peu =D

Oui, pour l'expression, tu as raison, je vais changer, merci =)

Alors, pour le coup, je pensais pas spécialement aux abysses d'Aion en créant le Noyau... Mais plutôt vraiment comme une espèce de cœur de continent, un endroit un peu mystique qui serait le "centre de contrôle" d'Oneiris haha =D Mais c'est vrai qu'on peut faire le rapprochement !
Oui, ils le pourraient... Tu verras bien ! :D
(Waouh, c'te chanson, ça me rappelle mon collège x3 )

Merci beaucoup pour ton com, ça fait plaisir ;)

PS : tu postes bientôt la suite du Cycle ? :)
Florance

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par Florance »

" Aujourd’hui, Ma’an et ses environs étaient la principale zone de commerce d’Oneiris. "
Juste pour te parler du contraste entre "Aujourd'hui" et l'imparfait. Tu pourrais peut-être penser à changer la tournure ? Je n'en sais rien à toi de voir.

Cette ville à l'air d'être un joli ensemble de contrastes orienté vers le négatif. Un bazar qui manque encore plus d'organisation que moi teinté de ténèbres sous la forme d'une senteur nauséabonde, d'un patchwork disgracieux et du contexte de l'histoire. Conclusion, pas terrible comme grande ville. Mais quel est le meilleur entre une ville relativement uniforme mais tiré vers le bas et une ville avec de forte disparités mais qui a un coin respectable ? J'ai quand même l'impression qu'ils devraient donné un poil plus d'importance à l'hygiène. C'est une grande ville et marchande en plus. C'est si compliqué que ça ?

La dame que remarque Alice est qui ? Une passante un peu spéciale ou un personnage important ? J'avais en tout cas les yeux rivés sur elle quand elle est passé.

Le Noyau à l'air d'être une région joyeusement mystérieuse et sans dessus dessous. J'ai pensé aux pouvoirs sur la distorsion du Doc Strange. J'ai hâte qu'ils y soient même si j'espère qu'ils n'y arrivent jamais. Moi ? Contradictoire ? Mais quels sont ces inepties ?

Sinon les personnages.
Alice à l'air désespéré mais de façon optimiste. Elle n'a pas plongé dans la dépression quoi.
Le Papa. Tu laisses miroiter des moments où il a presque l'air de ne plus être un mec sans fille qui tient à trop image de méprisant hautain relativement normal. Genre cet air de famille lors du dîner.
Ace. Il a des moments tellement adorable. Typiquement quand il couchait Alice. On croirait à un gentil nounou qui aime Alice. Le guidage amicale. Le prénom. La taquinerie. Le petit mot. La couverture. Le fermage de porte tout en douceur. Et sa patience avant face à cette avalanche de question (même si elles étaient on ne peut plus légitime, si seulement on ne l'avait pas arrêter).
Et toi. Qui oses t'arrêter là !!!
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

Florance a écrit :" Aujourd’hui, Ma’an et ses environs étaient la principale zone de commerce d’Oneiris. "
Juste pour te parler du contraste entre "Aujourd'hui" et l'imparfait. Tu pourrais peut-être penser à changer la tournure ? Je n'en sais rien à toi de voir.

Cette ville à l'air d'être un joli ensemble de contrastes orienté vers le négatif. Un bazar qui manque encore plus d'organisation que moi teinté de ténèbres sous la forme d'une senteur nauséabonde, d'un patchwork disgracieux et du contexte de l'histoire. Conclusion, pas terrible comme grande ville. Mais quel est le meilleur entre une ville relativement uniforme mais tiré vers le bas et une ville avec de forte disparités mais qui a un coin respectable ? J'ai quand même l'impression qu'ils devraient donné un poil plus d'importance à l'hygiène. C'est une grande ville et marchande en plus. C'est si compliqué que ça ?

La dame que remarque Alice est qui ? Une passante un peu spéciale ou un personnage important ? J'avais en tout cas les yeux rivés sur elle quand elle est passé.

Le Noyau à l'air d'être une région joyeusement mystérieuse et sans dessus dessous. J'ai pensé aux pouvoirs sur la distorsion du Doc Strange. J'ai hâte qu'ils y soient même si j'espère qu'ils n'y arrivent jamais. Moi ? Contradictoire ? Mais quels sont ces inepties ?

Sinon les personnages.
Alice à l'air désespéré mais de façon optimiste. Elle n'a pas plongé dans la dépression quoi.
Le Papa. Tu laisses miroiter des moments où il a presque l'air de ne plus être un mec sans fille qui tient à trop image de méprisant hautain relativement normal. Genre cet air de famille lors du dîner.
Ace. Il a des moments tellement adorable. Typiquement quand il couchait Alice. On croirait à un gentil nounou qui aime Alice. Le guidage amicale. Le prénom. La taquinerie. Le petit mot. La couverture. Le fermage de porte tout en douceur. Et sa patience avant face à cette avalanche de question (même si elles étaient on ne peut plus légitime, si seulement on ne l'avait pas arrêter).
Et toi. Qui oses t'arrêter là !!!
Heyo ! =)

Yep, c'est vrai que ça fait bizarre... Je vais peut-être mettre "à présent" du coup ;) Merci !

Oui, beaucoup de contrastes... De là à dire que c'est vers le négatif... Ça dépend la perception de chacun =D C'est sûr que ça fait un peu bazar pas très beau pour Alice, qui est habituée aux belles demeures et aux villes plus organisées de l'Ouest... Mais d'autres pourraient aimer ! ;)
XD je crois qu'à leur époque l'hygiène n'était pas leur priorité number one...

La dame qui regarde Alice est une habitante sans plus d'importance qu'une nomination sur une ligne du chapitre 16 d'Alice :lol: A comprendre : elle n'a pas d'importance spécifique si ce n'est prouver que Ma'an est habitée haha

Oui, c'est exactement ça le Noyau ;)

Non, pas encore :roll:
Oui, je voulais pas le faire passer pour un monstre dépourvu de sentiments non plus ^^' Alors je lui accorde quand même quelques instants d'humanité héhé
Hahaha, oui, j'avais bien envie de lui donner un passage mignon à Ace, histoire de vous perturber encore plus :lol: J'ai réussi d'après ce que je vois :D
Oui, c'est vrai, c'est pas très gentil :oops: :roll:

Un grand merci pour ton commentaire, il m'a bien fait plaisir et sourire ;)
DanielPagés

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par DanielPagés »

Je m'aperçois avec deux jours de retard que la suite est là...
J'aime bien l'ambiance de cette ville et de ce coin qui pue la vie !
Car la vie, la vraie ne sent pas la rose où le déo !! :lol:

Voici mes petites remarques, comme d'hab : une belle collection aujourd'hui ! ;) Mais c'est bien parce qu'on apprend beaucoup comme ça (moi qui vérifie si je dis pas de c...., toi, et les autres qui peuvent en profiter aussi 8-) )

la raison de votre voyage ralenti m’avait tout de même intriguée. "notre"

Le Sud avait, bien évidemment, voulu contrôler Ma’an en leur faveur, "en sa faveur" ou mieux "pour son bénéfice" ?

en même temps que les relents du poisson qui séchait sur des étendages au gré des villages. (cherche google : séchage poisson, et séchage poisson portugal/images) pour voir à quoi ça ressemble. le mot étendage me gêne employé comme ça. On peut parler de zones d'étendage à la rigueur, l'étendage du linge... Mais pour le poisson on insistera plus sur l'objet de l'étendage : des zones de séchage du poisson...
On pourrait faire plus précis et écrire : en même temps que les relents du poisson qui séchait sur de vastes zones couvertes de claies inclinées (ou horizontales) aux abords des villages.

L’omniprésence des odeurs me faisaient tourner la tête (c'est l'omniprésence qui est sujet- faisait)
Mais tu pourrais remplacer "odeurs" pour éviter la répétition : L’omniprésence de cette puanteur me faisait tourner la tête

à dos de monture… ça fait un peu pléonasme : une monture c'est un animal qu'on monte sur son dos. en précisant ça passe mieux : à dos de kangourou (par exemple !:D)

dont un de la bouche d’une femme qui m’était complètement inconnu. attention à la ponctuation et dans la bouche serait mieux :
dont un, "dans" la bouche d’une femme, qui m’était complètement inconnu.

Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation. J'adore cette phrase, mais je suis pas sûr de comprendre tout à fait ce que tu veux dire (quel sens pour bazar ? bazar-affrontait ?)

Ils dévisageaient, la bouche béante et les yeux écarquillés, les armes être échangées contre des bijoux faits d’or et d’argent, de fer et de corde, des coquillages roses vendus pour une pièce d’or, des fruits, si colorés et odorants que mon ventre s’en creusa d’envie, échangés contre des poulets.
Là c'est le verbe "dévisageaient" qui semble bizarre : dévisager c'est regarder de manière soutenue un visage, la tête d'un être humain (ou martien, hein !) D'autre part : "dévisager des armes être échangées" ça me semble plutôt limite côté syntaxe. je préconiserais plutôt quelque chose comme ça :
Ils observaient, la bouche béante et les yeux écarquillés, les armes que l'on échangeait contre des bijoux faits d’or et d’argent, de fer et de corde, les coquillages roses vendus pour une pièce d’or, des fruits, si colorés et odorants que mon ventre s’en creusa d’envie, échangés contre des poulets.

L’un comme l’autre me révulsait à cet instant. comme c'est une addition (l'un + l'autre, en même temps) ton verbe doit être au pluriel : "révulsaient"

il n’y qu’une terre infertile où ni faune ni flore n’existent. manque "a" il n'y a

L’auberge 'se gonfla' un peu plus lorsque le soleil se coucha. Mmmmm... c'est quoi qui se gonfle l'auberge ou la foule des clients ?? :D

j’observai les particules de poussière danser dans les 'raies' de lumière. en général on écrit "rais de lumière"

puis nettoyai tant bien que mal mes cheveux avec ce qui restait d’eau
Un bol d'eau : elle se lave le visage, les mains, puis il en reste pour nettoyer les cheveux ? Moi je prends une douche avec une bouteille d'eau champoing compris dans les cas graves... mais avec un bol... elle pourrait se lisser les cheveux ou discipliner ses cheveux...

— Aller, Alice, un peu de courage et de tenue, - "allez" (là il mérite un bon coup de pied où ça fait mal :evil: )

mon père ne répondit rien et se passa une main dans la nuque. (Je me répète) : contrairement à la mode chez les jeunes auteurs on ne dit pas "dans la nuque", mais sur la nuque, en bon français. Un baiser dans le cou mais une caresse sur la nuque, OK ? :D
lisagarcia

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

J'ai lu le premier chapitre et je peux te dire que c'est exactement le genre de livre que j'aime ! j'apprécie déjà les personnages, juste une petite question ? Tu as déjà pensé à mettre ton travail sur wattpad ?
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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par vampiredelivres »

Ça dépend des fois, en fait… mais oui, j'essaie d'être à l'heure ^-^
T'inquiète, le gros avantage de ta description, c'est que justement, comme Daniel le dit, on comprend très vite que les grandes villes médiévales… ben en termes d'hygiène, c'est pas vraiment le top du top… :?
Rhaah, sadique XD

En fait, vu que ça fait deux semaines que je joue régulièrement, je crois que je fais les rapprochements inconsciemment… XD
Ah, j'ai hâte de voir ce que ces dieux réservent à notre petit groupe de psychopathes (Alice et l'Impératrice exclues) :twisted:
C'est vieux, hein ? ^-^

Mais de rien ! Et tu as eu ta réponse, quant au Cycle ;)
lisagarcia

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

Personnellement, j'ADORE le personnage qu'est Alice ! Je comprends la vision qu'elle se fait du monde, elle est naïve sans pour autant être nunuche. Je ne considère pas la naïveté comme un défaut mais plus comme un trait de sa personnalité. Elle est juste gentille, TROP gentille. Je la vois, plutôt, comme une fille qui reste enfermée sur elle-même, qui reste seul dans sa chambre pour étudier, LIRE...qui est mise de côté par ses parents parce qu'elle est différente. Et de ce fait, cela explique pourquoi elle n'est pas habituée aux intrigues et à l'hypocrisie de la cour. Je pense qu'elle a toujours été à part malgré la formation de son père à diriger, plus tard, le royaume.

En ce qui concerne Al, je me demande mais quand est-ce qu'il va passer à l'action avec Alice ??!!! On voit tous qu'ils se rapprochent ! En plus, elle vient d'avouer qu'elle était fiancée ( il n'y a eu aucune réaction de sa part, pas de jalousie, rien qui pouvait suggérer à Alice quelque chose :cry: ). Et quand elle lui dit qu'il est son ami : aucune réaction non plus ! :cry: :cry:

Bref, tu as du comprendre que je me languissais de voir la couple Al/Alice se former :D !
Dernière modification par lisagarcia le jeu. 19 juil., 2018 9:45 am, modifié 1 fois.
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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

Pour info, je suis seulement au chapitre 5 d'Alice !
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

DanielPagés a écrit :Je m'aperçois avec deux jours de retard que la suite est là...
J'aime bien l'ambiance de cette ville et de ce coin qui pue la vie !
Car la vie, la vraie ne sent pas la rose où le déo !! :lol:

Voici mes petites remarques, comme d'hab : une belle collection aujourd'hui ! ;) Mais c'est bien parce qu'on apprend beaucoup comme ça (moi qui vérifie si je dis pas de c...., toi, et les autres qui peuvent en profiter aussi 8-) )

la raison de votre voyage ralenti m’avait tout de même intriguée. "notre"

Le Sud avait, bien évidemment, voulu contrôler Ma’an en leur faveur, "en sa faveur" ou mieux "pour son bénéfice" ?

en même temps que les relents du poisson qui séchait sur des étendages au gré des villages. (cherche google : séchage poisson, et séchage poisson portugal/images) pour voir à quoi ça ressemble. le mot étendage me gêne employé comme ça. On peut parler de zones d'étendage à la rigueur, l'étendage du linge... Mais pour le poisson on insistera plus sur l'objet de l'étendage : des zones de séchage du poisson...
On pourrait faire plus précis et écrire : en même temps que les relents du poisson qui séchait sur de vastes zones couvertes de claies inclinées (ou horizontales) aux abords des villages.

L’omniprésence des odeurs me faisaient tourner la tête (c'est l'omniprésence qui est sujet- faisait)
Mais tu pourrais remplacer "odeurs" pour éviter la répétition : L’omniprésence de cette puanteur me faisait tourner la tête

à dos de monture… ça fait un peu pléonasme : une monture c'est un animal qu'on monte sur son dos. en précisant ça passe mieux : à dos de kangourou (par exemple !:D)

dont un de la bouche d’une femme qui m’était complètement inconnu. attention à la ponctuation et dans la bouche serait mieux :
dont un, "dans" la bouche d’une femme, qui m’était complètement inconnu.

Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation. J'adore cette phrase, mais je suis pas sûr de comprendre tout à fait ce que tu veux dire (quel sens pour bazar ? bazar-affrontait ?)

Ils dévisageaient, la bouche béante et les yeux écarquillés, les armes être échangées contre des bijoux faits d’or et d’argent, de fer et de corde, des coquillages roses vendus pour une pièce d’or, des fruits, si colorés et odorants que mon ventre s’en creusa d’envie, échangés contre des poulets.
Là c'est le verbe "dévisageaient" qui semble bizarre : dévisager c'est regarder de manière soutenue un visage, la tête d'un être humain (ou martien, hein !) D'autre part : "dévisager des armes être échangées" ça me semble plutôt limite côté syntaxe. je préconiserais plutôt quelque chose comme ça :
Ils observaient, la bouche béante et les yeux écarquillés, les armes que l'on échangeait contre des bijoux faits d’or et d’argent, de fer et de corde, les coquillages roses vendus pour une pièce d’or, des fruits, si colorés et odorants que mon ventre s’en creusa d’envie, échangés contre des poulets.

L’un comme l’autre me révulsait à cet instant. comme c'est une addition (l'un + l'autre, en même temps) ton verbe doit être au pluriel : "révulsaient"

il n’y qu’une terre infertile où ni faune ni flore n’existent. manque "a" il n'y a

L’auberge 'se gonfla' un peu plus lorsque le soleil se coucha. Mmmmm... c'est quoi qui se gonfle l'auberge ou la foule des clients ?? :D

j’observai les particules de poussière danser dans les 'raies' de lumière. en général on écrit "rais de lumière"

puis nettoyai tant bien que mal mes cheveux avec ce qui restait d’eau
Un bol d'eau : elle se lave le visage, les mains, puis il en reste pour nettoyer les cheveux ? Moi je prends une douche avec une bouteille d'eau champoing compris dans les cas graves... mais avec un bol... elle pourrait se lisser les cheveux ou discipliner ses cheveux...

— Aller, Alice, un peu de courage et de tenue, - "allez" (là il mérite un bon coup de pied où ça fait mal :evil: )

mon père ne répondit rien et se passa une main dans la nuque. (Je me répète) : contrairement à la mode chez les jeunes auteurs on ne dit pas "dans la nuque", mais sur la nuque, en bon français. Un baiser dans le cou mais une caresse sur la nuque, OK ? :D
Oh, je suis contente que la ville te plaise :D C'est vrai que c'est pas une jolie cité mignonne et bien organisée :roll:
C'est bien vrai :lol:

Oula, oui... Merci beaucoup d'avoir tout relevé... :roll: Il y a des corrections qui tiennent plus du style ou du choix de mots, donc, là, c'est vrai que c'est pas les 1ères choses que je corrige... autant les erreurs bêtes d'inattention m'agacent et m'escagassent ! :evil:

- Voilà, typiquement le genre de coquille que je pourrais corriger toute seule :oops: :roll:
- Pour son bénéfice est encore mieux :D
- Oh, j'ai le spécialiste de la mer de mon côté il faut dire :D Je prends ta correction avec plaisir !
- J'avais pas remarqué la répétition, je change, merci ;)
- "A dos de kangourou" : j'aime bien ! :lol:
- Ah oui, on pourrait penser que je parle de la femme...
- Je voulais dire que le manque d'organisation de Ma'an (des habitants qui peuplent la ville) et que ça se confronte en quelque sorte, ça oblige les humains à s'adapter à la ville... Même comme ça, c'est pas bien clair :lol: Tu crois que je devrais enlever la phrase ? :? Ou au moins changer le verbe, peut-être ?
- Oui, dévisager est maladroit ^^ Et la phrase est plus jolie (et plus correct ! :oops: ) avec ta formulation :)
- Ohlala, pour ce genre de règles aussi je suis nulle :shock: x')
- Argh, la relecture inneficace :evil:
- Une auberge extensible, ce serait chouette... :roll: Est-ce que si je fais quelque chose de ce genre : L’auberge se gonfla un peu plus de clients lorsque le soleil se coucha.. Ça passe mieux ?
- Raies manta, rais de lumière... Légère différence, en effet :lol: Merci ^^
- Oui, elle est pas magicienne (pas avec l'eau en tout cas :lol: ), je vais plutôt dire qu'elle passe misérablement des doigts mouillés dans ses cheveux, ce sera plus crédible :roll:
- Je devrais faire la différence entre "aller" et "allez" après cette coupe du monde de foot en plus :lol:
- Oui, en plus tu me l'as dit la dernière fois :o Vilaine moi-même... :evil:

Encore un grand merci pour tes retours ! :D
Profite de tes jours de repos ;)

A bientôt,
Bises
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

lisagarcia a écrit :J'ai lu le premier chapitre et je peux te dire que c'est exactement le genre de livre que j'aime ! j'apprécie déjà les personnages, juste une petite question ? Tu as déjà pensé à mettre ton travail sur wattpad ?
Oh, merci beaucoup ! :mrgreen: Je suis contente que l'histoire te plaise, ainsi que les personnages ;)
Oui, j'ai un compte Wattpad où je poste quelques écrits, dont Oneiris :) Tu peux me retrouver sous le pseudo : louji69

lisagarcia a écrit :Personnellement, j'ADORE le personnage qu'est Alice ! Je comprends la vision qu'elle se fait du monde, elle est naïve sans pour autant être nunuche. Je ne considère pas la naïveté comme un défaut mais plus comme un trait de sa personnalité. Elle est juste gentille, TROP gentille. Je la vois, plutôt, comme une fille qui reste enfermée sur elle-même, qui reste seul dans sa chambre pour étudier, LIRE...qui est mise de côté par ses parents parce qu'elle est différente. Et de ce fait, cela explique pourquoi elle n'est pas habituée aux intrigues et à l'hypocrisie de la cour. Je pense qu'elle a toujours été à part malgré la formation de son père à diriger, plus tard, le royaume.

En ce qui concerne Al, je me demande mais quand est-ce qu'il va passer à l'action avec Alice ??!!! On voit tous qu'ils se rapprochent ! En plus, elle vient d'avouer qu'elle était fiancée ( il n'y a eu aucune réaction de sa part, pas de jalousie, rien qui pouvait suggérer à Alice quelque chose :cry: ). Et quand elle lui dit qu'il est son ami : aucune réaction non plus ! :cry: :cry:

Bref, tu as du comprendre que je me languissais de voir la couple Al/Alice se former :D !
Waouh, c'est rare qu'un lecteur me dise qu'il aime Alice dès le début de l'histoire ! Ravie de l'entendre du coup ;)
Et tu l'as très très bien comprise, d'ailleurs, ça me soulage, j'avais vraiment peur de l'avoir mal retransmise... Mais la description que tu viens de donner d'elle, c'est exactement comme ça que je la vois :D Enfin quelqu'un qui compatit avec elle dès la 1ère partie du roman :lol:

Haha, lui en demande pas au cher Al, il est un peu lent sur certaines choses :roll: (comme Alice, d'ailleurs, d'un certain côté ^^). Après, qu'il ne témoigne pas de jalousie, c'est peut-être un peu tôt pour ça, ils viennent juste de se rencontrer, il n'a aucun droit sur elle, il la connaît à peine et pense qu'ils vont bientôt se séparer... ;)
Bon, pour quand elle dit qu'elle est son amie, il est pas hyper sympa de rien dire, c'est vrai :roll: Mais ça le gêne un peu d'avouer tout de suite qu'il l'aime bien ^^

Oui, je vois ça :lol: Ecoute, j'espère que tu ne seras pas trop frustrée par la suite, je te laisse découvrir :D

Merci beaucoup pour ton commentaire, en tout cas, ça me fait plaisir !
A bientôt ^-^
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

vampiredelivres a écrit :Ça dépend des fois, en fait… mais oui, j'essaie d'être à l'heure ^-^
T'inquiète, le gros avantage de ta description, c'est que justement, comme Daniel le dit, on comprend très vite que les grandes villes médiévales… ben en termes d'hygiène, c'est pas vraiment le top du top… :?
Rhaah, sadique XD

En fait, vu que ça fait deux semaines que je joue régulièrement, je crois que je fais les rapprochements inconsciemment… XD
Ah, j'ai hâte de voir ce que ces dieux réservent à notre petit groupe de psychopathes (Alice et l'Impératrice exclues) :twisted:
C'est vieux, hein ? ^-^

Mais de rien ! Et tu as eu ta réponse, quant au Cycle ;)
Tu es ponctuelle, ne t'inquiète pas ;)

Non, clairement pas :lol:

Oui XD D'ailleurs, j'ose jamais me ramener comme une fraise lors de vos vocal, faut que je prenne un soir le temps de le faire, histoire de :roll:
Haha, tu vas voir :D
(Oui, mais toujours agréable à réentendre de temps en temps ^^)

Yep... Il était sacrément cool ce chapitre... D'ailleurs, pour ceux/celles qui passent par là, allez lire Le Cycle du Serpent, c'est très bien écrit, très bien documenté, et reprend la mythologie Nordique de façon sérieuse et très classe !
lisagarcia

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

J'ai fini le dernier chapitre de la première partie, et ce Wessex Bastelborn joue avec mes nerfs ! j'ai envie de l'égorger :x !!! (oh là là, faut que je me calme sérieusement :lol: ). Je trouve ces derniers chapitres remplient d'action, super bien filés, ils se lisent d'un trait. Je suis tellement prise de court par l’enchainement des événements que je n'arrive pas m'arrêter de pousser des petits cris d'angoisse, de stupéfaction[ et de tristesse ! :o
Spoiler
j'étais sûre que le noble était (je ne sais plus comment il s'appelle :lol: ) le méchant dieu !
vampiredelivres

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par vampiredelivres »

Coline, franchement, la pub, il fallait pas :oops: :) Mais mille mercis, vraiment, c'est adorable de ta part ! (J'ai littéralement fondu sur place, en mode "awwww")
N'hésite pas à venir en vocal, même si tu ne joues pas, on ne mord pas ! ;) La dernière fois, on est restées trois heures avec hida, moi sur Aion et elle sur Jurassic World, c'était assez drôle… Entre moi qui hurlais "Naan, espèce de crétin !" quand un élyos m'attaquait, et elle qui râlait quand ses scientifiques lui coupaient le courant dans son enclos à Raptors :lol:
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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

louji , je peux te poser une question indiscrète ? Toi et vampiredelivres, vous vous connaissez depuis combien de temps ? Vous avez l'air vachement complice !
DanielPagés

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par DanielPagés »

louji a écrit :
DanielPagés a écrit :
Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation. J'adore cette phrase, mais je suis pas sûr de comprendre tout à fait ce que tu veux dire (quel sens pour bazar ? bazar-affrontait ?)

L’auberge 'se gonfla' un peu plus lorsque le soleil se coucha. Mmmmm... c'est quoi qui se gonfle l'auberge ou la foule des clients ?? :D

Oh, je suis contente que la ville te plaise :D C'est vrai que c'est pas une jolie cité mignonne et bien organisée :roll:
C'est bien vrai :lol:

Oula, oui... Merci beaucoup d'avoir tout relevé... :roll: Il y a des corrections qui tiennent plus du style ou du choix de mots, donc, là, c'est vrai que c'est pas les 1ères choses que je corrige... autant les erreurs bêtes d'inattention m'agacent et m'escagassent ! :evil:

- Voilà, typiquement le genre de coquille que je pourrais corriger toute seule :oops: :roll:
- Pour son bénéfice est encore mieux :D
- Oh, j'ai le spécialiste de la mer de mon côté il faut dire :D Je prends ta correction avec plaisir !
- J'avais pas remarqué la répétition, je change, merci ;)
- "A dos de kangourou" : j'aime bien ! :lol:
- Ah oui, on pourrait penser que je parle de la femme...
- Je voulais dire que le manque d'organisation de Ma'an (des habitants qui peuplent la ville) et que ça se confronte en quelque sorte, ça oblige les humains à s'adapter à la ville... Même comme ça, c'est pas bien clair :lol: Tu crois que je devrais enlever la phrase ? :? Ou au moins changer le verbe, peut-être ?
- Oui, dévisager est maladroit ^^ Et la phrase est plus jolie (et plus correct ! :oops: ) avec ta formulation :)
- Ohlala, pour ce genre de règles aussi je suis nulle :shock: x')
- Argh, la relecture inneficace :evil:
- Une auberge extensible, ce serait chouette... :roll: Est-ce que si je fais quelque chose de ce genre : L’auberge se gonfla un peu plus de clients lorsque le soleil se coucha.. Ça passe mieux ?
- Raies manta, rais de lumière... Légère différence, en effet :lol: Merci ^^
- Oui, elle est pas magicienne (pas avec l'eau en tout cas :lol: ), je vais plutôt dire qu'elle passe misérablement des doigts mouillés dans ses cheveux, ce sera plus crédible :roll:
- Je devrais faire la différence entre "aller" et "allez" après cette coupe du monde de foot en plus :lol:
- Oui, en plus tu me l'as dit la dernière fois :o Vilaine moi-même... :evil:

Encore un grand merci pour tes retours ! :D
Profite de tes jours de repos ;)

A bientôt,
Bises
J'adore les raies manta, j'en ai suivi d'énormes dans l'Atlantique et les kangourous qui te portent sur leur dos, ça me rappelle "Les Robinsons suisses" :D
Oui, pour l'auberge qui se gonfle de clients... ;)

Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation.
Le mot bazar est ambigu, il veut dire "marché" en persan, à l'origine. Un marché où il y a des tas de choses dans tous les sens, un peu comme le "souk" dans les pays du Magreb. Et 'désordre' comme un bazar persan pour un œil européen de l'ouest...
Donc je ne savais pas trop dans quel sens tu l'employais.
Si je prends Bazar dans le sens 'désordre' je comprends que la capacité de bazar des humains - va parfois au-delà de, - parfois dépasse***, leur admirable capacité d'adaptation... c'est ça ?

Bisous ;)

***

▼Distancer — devancer, distancer, doubler, gagner de vitesse, lâcher, passer, semer.
•[Familier] griller, larguer.
•[Vieilli] gratter.
•[MARINE] trémater.
▼Franchir — franchir, passer.
•[Vieilli] outrepasser.
▼Supplanter — battre, couper l’herbe sous le pied à, damer le pion à, dégommer, devancer, dominer, éclipser, faucher l’herbe sous le pied à, griller, l’emporter sur, laisser loin derrière, supplanter, surclasser, surpasser.
•[Familier] enfoncer.
•[France] [Familier] faire la pige à.
•[Québec] [Familier] perdre dans la brume.
•[Vieux] surmonter.
▼Excéder — excéder, outrepasser.
•[Soutenu] ou [Vieilli] surpasser.
▼Transcender — surpasser, transcender.
▼Surenchérir — renchérir sur, surenchérir sur.
•[Vieux] [Soutenu] le renvier sur.
▼Saillir — avancer, déborder, faire saillie, ressortir, saillir, se détacher, sortir.
•[Belgique] dessortir.
•[TECHNIQUE] forjeter, surplomber.
▼Empiéter — chevaucher, déborder, empiéter, mordre.
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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par DanielPagés »

lisagarcia a écrit :louji , je peux te poser une question indiscrète ? Toi et vampiredelivres, vous vous connaissez depuis combien de temps ? Vous avez l'air vachement complice !
Lisa, Booknode est une famille, c'est ce qui fait une grosse différence avec Wattpad... la deuxième différence étant la qualité des commentaires !! ;)

Heureux de te rencontrer. J'adore la Corse ! ;)
lisagarcia

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

Oui je l'ai remarqué ! j'apprécie vraiment cette entraide et j'essaye le plus possible d'aider à mon échelle :)

Merci !

Ps : qui n'aime pas l'île de beauté sérieusement ? :lol:
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

lisagarcia a écrit :J'ai fini le dernier chapitre de la première partie, et ce Wessex Bastelborn joue avec mes nerfs ! j'ai envie de l'égorger :x !!! (oh là là, faut que je me calme sérieusement :lol: ). Je trouve ces derniers chapitres remplient d'action, super bien filés, ils se lisent d'un trait. Je suis tellement prise de court par l’enchainement des événements que je n'arrive pas m'arrêter de pousser des petits cris d'angoisse, de stupéfaction[ et de tristesse ! :o
Spoiler
j'étais sûre que le noble était (je ne sais plus comment il s'appelle :lol: ) le méchant dieu !
Waouh, tu es allée vite ! :shock: Bravo :D Et merci beaucoup pour ton enthousiasme et ton commentaire ;)
Oui, je comprends haha XD Courage, il va falloir le supporter encore un moment...
Tant mieux s'ils sont fluides, j'ai peur que ce soit un peu lourd parfois ^^'
XD dis donc, tu es émotive ! Mais ça veut dire que tu arrives un peu à rentrer dans l'histoire, je suis contente ;)

lisagarcia a écrit :louji , je peux te poser une question indiscrète ? Toi et vampiredelivres, vous vous connaissez depuis combien de temps ? Vous avez l'air vachement complice !
On se connait depuis pas très longtemps en fait : depuis un an :lol: Mais, comme l'a dit Daniel, il y a une très bonne ambiance sur Booknode puis le courant est bien passé entre elle et moi, donc on discute sans soucis sur divers sujets :)

lisagarcia a écrit :
Ps : qui n'aime pas l'île de beauté sérieusement ? :lol:
J'y suis jamais allée :o Mais j'aimerais bien ! ^-^
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

vampiredelivres a écrit :Coline, franchement, la pub, il fallait pas :oops: :) Mais mille mercis, vraiment, c'est adorable de ta part ! (J'ai littéralement fondu sur place, en mode "awwww")
N'hésite pas à venir en vocal, même si tu ne joues pas, on ne mord pas ! ;) La dernière fois, on est restées trois heures avec hida, moi sur Aion et elle sur Jurassic World, c'était assez drôle… Entre moi qui hurlais "Naan, espèce de crétin !" quand un élyos m'attaquait, et elle qui râlait quand ses scientifiques lui coupaient le courant dans son enclos à Raptors :lol:
Tu rigoles ? ;) Que tu aies pas grand-monde, au début, je comprends, mais ça fait déjà plusieurs mois, quoi... Puis, franchement, je pense que tu mériterais plus de lecteurs (autres que fantômes du moins), car, même s'il y a pas tant de choses à corriger sur le fond comme sur la forme, les gens pourraient apporter leur avis, ce qu'ils préfèrent aiment moins... Puis tu proposes une histoire qui sort de ce qu'on peut trouver habituellement, surtout que la mythologie nordique a le vent en poupe depuis quelque temps j'ai l'impression... Et pour le coup, tu fais un truc plus sérieux que Magnus Chase ou Thor version Marvel :P (dans le sens : humour en moins et fidélité en plus).
Franchement, même si je suis pas sûre qu'il y ait beaucoup de monde sur Oneiris en plus des gentils Booknautes qui prennent le temps de commenter (encore mille mercis à vous tous ♥), si ces lecteurs et les éventuels fantômes peuvent voir ça et être curieux de ton histoire, ça me ferait vraiment plaisir ^^

Bah j'arrive justement XD
Ohlala, ça devait être sacrément épique !
louji

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par louji »

DanielPagés a écrit :
louji a écrit :
DanielPagés a écrit :
Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation. J'adore cette phrase, mais je suis pas sûr de comprendre tout à fait ce que tu veux dire (quel sens pour bazar ? bazar-affrontait ?)

L’auberge 'se gonfla' un peu plus lorsque le soleil se coucha. Mmmmm... c'est quoi qui se gonfle l'auberge ou la foule des clients ?? :D

Oh, je suis contente que la ville te plaise :D C'est vrai que c'est pas une jolie cité mignonne et bien organisée :roll:
C'est bien vrai :lol:

Oula, oui... Merci beaucoup d'avoir tout relevé... :roll: Il y a des corrections qui tiennent plus du style ou du choix de mots, donc, là, c'est vrai que c'est pas les 1ères choses que je corrige... autant les erreurs bêtes d'inattention m'agacent et m'escagassent ! :evil:

- Voilà, typiquement le genre de coquille que je pourrais corriger toute seule :oops: :roll:
- Pour son bénéfice est encore mieux :D
- Oh, j'ai le spécialiste de la mer de mon côté il faut dire :D Je prends ta correction avec plaisir !
- J'avais pas remarqué la répétition, je change, merci ;)
- "A dos de kangourou" : j'aime bien ! :lol:
- Ah oui, on pourrait penser que je parle de la femme...
- Je voulais dire que le manque d'organisation de Ma'an (des habitants qui peuplent la ville) et que ça se confronte en quelque sorte, ça oblige les humains à s'adapter à la ville... Même comme ça, c'est pas bien clair :lol: Tu crois que je devrais enlever la phrase ? :? Ou au moins changer le verbe, peut-être ?
- Oui, dévisager est maladroit ^^ Et la phrase est plus jolie (et plus correct ! :oops: ) avec ta formulation :)
- Ohlala, pour ce genre de règles aussi je suis nulle :shock: x')
- Argh, la relecture inneficace :evil:
- Une auberge extensible, ce serait chouette... :roll: Est-ce que si je fais quelque chose de ce genre : L’auberge se gonfla un peu plus de clients lorsque le soleil se coucha.. Ça passe mieux ?
- Raies manta, rais de lumière... Légère différence, en effet :lol: Merci ^^
- Oui, elle est pas magicienne (pas avec l'eau en tout cas :lol: ), je vais plutôt dire qu'elle passe misérablement des doigts mouillés dans ses cheveux, ce sera plus crédible :roll:
- Je devrais faire la différence entre "aller" et "allez" après cette coupe du monde de foot en plus :lol:
- Oui, en plus tu me l'as dit la dernière fois :o Vilaine moi-même... :evil:

Encore un grand merci pour tes retours ! :D
Profite de tes jours de repos ;)

A bientôt,
Bises
J'adore les raies manta, j'en ai suivi d'énormes dans l'Atlantique et les kangourous qui te portent sur leur dos, ça me rappelle "Les Robinsons suisses" :D
Oui, pour l'auberge qui se gonfle de clients... ;)

Le bazar de l’humain affrontait son admirable capacité d’adaptation.
Le mot bazar est ambigu, il veut dire "marché" en persan, à l'origine. Un marché où il y a des tas de choses dans tous les sens, un peu comme le "souk" dans les pays du Magreb. Et 'désordre' comme un bazar persan pour un œil européen de l'ouest...
Donc je ne savais pas trop dans quel sens tu l'employais.
Si je prends Bazar dans le sens 'désordre' je comprends que la capacité de bazar des humains - va parfois au-delà de, - parfois dépasse***, leur admirable capacité d'adaptation... c'est ça ?

Bisous ;)

***

▼Distancer — devancer, distancer, doubler, gagner de vitesse, lâcher, passer, semer.
•[Familier] griller, larguer.
•[Vieilli] gratter.
•[MARINE] trémater.
▼Franchir — franchir, passer.
•[Vieilli] outrepasser.
▼Supplanter — battre, couper l’herbe sous le pied à, damer le pion à, dégommer, devancer, dominer, éclipser, faucher l’herbe sous le pied à, griller, l’emporter sur, laisser loin derrière, supplanter, surclasser, surpasser.
•[Familier] enfoncer.
•[France] [Familier] faire la pige à.
•[Québec] [Familier] perdre dans la brume.
•[Vieux] surmonter.
▼Excéder — excéder, outrepasser.
•[Soutenu] ou [Vieilli] surpasser.
▼Transcender — surpasser, transcender.
▼Surenchérir — renchérir sur, surenchérir sur.
•[Vieux] [Soutenu] le renvier sur.
▼Saillir — avancer, déborder, faire saillie, ressortir, saillir, se détacher, sortir.
•[Belgique] dessortir.
•[TECHNIQUE] forjeter, surplomber.
▼Empiéter — chevaucher, déborder, empiéter, mordre.
Waouh, ça devait être chouette... Connais pas les "Robinsons suisses"... BD, roman ?
Super, je mets ça alors ;)

Ah oui, pas bête, j'y avais pas pensé... En effet, je pensais plutôt à désordre pour le coup !
Oui, c'est un peu ça, on va dire que le manque d'organisation de l'Homme est pallié par sa capacité d'adaptation... Je vais trouver un autre verbe dans la liste (magnifique !) que tu m'as dressée ;) Merci !
lisagarcia

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

J'y suis jamais allée :o Mais j'aimerais bien ! ^-^
Si tu a l'occasion d'y aller, n'hésite pas à me contacter sur booknaude, je pourrais te donner des coins sympas ;) !
lisagarcia

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Re: Oneiris, Tome 1 : La Revanche d'Aion [Fantasy médiévale]

Message par lisagarcia »

Désolée pour les quelques jours d'absence :roll:, le premier chapitre de la deuxième partie nous met vite dans le bain ! j'ai beaucoup aimé en savoir plus sur l'Histoire d'Achalmy, ainsi que sur sa mère. Quant à Connor, il était intéressant de découvrir ses sentiments, lui qui paraissait mystérieux et tellement dur au début ! Enfin, je me languis de découvrir la personnalité, je parie, haute en couleur de Vanä et j'ai l'impression qu'elle n'est pas prête de mous quitter dans cette merveilleuse aventure !!!
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