† Darkness High School † Changement de jour effectué

[LSGI]

Thomas

Elle m'entraîne vers l'intérieur. Presque tout le monde a déserté. C'est assez compréhensible. Je regarde les flammes montées vers le ciel. Ce feu doit être magique pour être si haut... enfin je suppose.
Je serre sa main dans la mienne. Je suppose qu'elle a perdu des affaires. Personnellement je n'avais rien de vraiment important.

[LSGI]

Thomas

Elle va plus loin et monte sur le rebord de la fenêtre. Je plisse les yeux mais ne la retiens pas.

-Je peux savoir ce que tu fais ?

Elle veut rentrer ok... Mais pourquoi ? Pour voir ses affaires brûler ? Ou parce qu'elle croit qu'il reste des gens à l'intérieur ?

[Moyreen]

Mini je ne pense pas que tu as vu mais je t'ai répondu hier ^^

[MadMinnie]

Mini je ne pense pas que tu as vu mais je t'ai répondu hier ^^

J'ai vu mais le truc, c'est que je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas où mène le portail et je ne vois pas ce que je pourrai dire à part "Nous passons le portail" parce que Blake a dit qu'ils le passaient...

[LSGI]

Thomas

Je la regarde sans répondre puis grimpe aisément jusqu'à la fenêtre.
Lynlia ne semble pas si à l'aise mais elle y arrive quand même. Elle sait se débrouiller.

-Et maintenant on va par où ?

C'est bien jolie d'être rentré mais ensuite.

[LSGI]

Thomas

Je souris quand elle dit que je l'énerve. Je suis un loup donc agile et fort de nature. Ce n'est donc pas vraiment ma faute. Je ne réponds rien et l'attends simplement avec un sourire en coin.

-Je m'en serais douté, chérie.

A moins qu'elle ne veuille être brûlée vive son choix semble logique. Je regarde autour de nous. Bon et bien il n'y a qu'un chemin possible puisque de l'autre côté la fumée est en train de tout envahir. Donc ce sera gauche.

[Sharon-Avalon]

[Le portail se referme tandis que vous débouchez de l'autre côté.]



DE L'AUTRE CÔTÉ DU PORTAIL...





Bienvenue au chalet, l'un des emplacements secondaires de la Darkness High School spécialement aménagés pour les cas d'urgence comme celui-là. Localisé en Islande, il est en tous points semblable à un grand chalet ordinaire de l'extérieur aux yeux des observateurs non avertis, vous y serez donc en sécurité. Pour les touristes environnants, vous êtes en voyage scolaire. En vérité, vous êtes ici en attendant la reconstruction de l'école et à l'abri des êtres néfastes, qui ignorent tout de ce lieu. La principale différence avec l'école, c'est qu'ici, les horaires sont à la normale, pour ne pas éveiller les soupçons de la part des activités humaines alentours. (Donc pour les vampires, utilisez votre bague de jour.) Vous aurez des cours occasionnels, mais pas autant de matières, juste l'essentiel. Vous allez vivre ici un petit moment, alors vous feriez mieux de vous y habituer.




Voici le salon, ou pièce à vivre. Équipé de multiples canapés et fauteuils, c'est aussi le seul endroit dans tout le chalet à disposer d'une télévision. Mais vous comprendrez l'utilité de cette pièce par vous même lorsque vous aurez marre de côtoyer vos voisins de chambre. Vous y avez accès à n'importe quelle heure de la journée et de la nuit.



La cafétéria, là où se prennent tous les repas. Comme à l'école, tous les goûts et régimes alimentaires sont bien évidemment pris en compte dans les plats proposés. Vous pouvez aussi prendre quelque chose de rapide à emporter depuis la table magique si vous souhaitez manger à l'extérieur de la salle : il vous suffit de poser les mains dessus et de demander ce que vous voulez. Ne fonctionne pas avec l'alcool.



Chaque dortoir contient quatre lits superposés, il y aura donc huit personnes par chambre. Filles et garçons sont mélangés, mais vous trouverez au bout du couloir deux salles de douches communes, une pour les filles et une pour les garçons. Comme vous n'avez pas eu le temps de prendre des affaires avec vous, vous trouverez dans les placards de quoi vous vêtir - il y en a pour toutes les tailles et tous les temps. Vous êtes libre de choisir votre lit et vos colocataires.



Chose assez rare dans ce genre d'habitations, elle est dotée d'une bibliothèque avec un large éventail de livres pour pouvoir tuer le temps ou s'instruire. Grimoires, romans, manuels, tout y est. Si vous avez des questions, c'est probablement là que vous y trouverez les réponses. Que ce soit à propos de vos pouvoirs, de vos origines ou de celles du conflit qui fait rage. Elle est fermée entre 22 h à 6 h du matin et est située au sous-sol.



Pour finir, la terrasse. Si vous besoin de sortir prendre l'air, c'est l'endroit idéal. Vous y avez une vue surplombante de la forêt (pour changer) et de ce qu'il y a autour.



La piscine d'intérieur, vestige du temps où le chalet était encore un complexe hôtelier, avant de se transformer en une base secrète d'étudiants surnaturels. Elle donne sur la terrasse. Chauffée en permanence, elle est accessible à toute heure.



☆ Vous avez accès à la station de ski d'à côté et pouvez vous y rendre quand vous voulez pour y pratiquer des sports d'hiver, ou dans la forêt si vous voulez vous entraîner avec vos pouvoirs sans tuer tout le monde pour la prochaine bataille, étant donné que ce refuge ne dispose pas d'une salle de combat.



/!\

• Il vous reste quelques heures avant le lever du soleil lorsque vous arrivez, et vous n'avez d'autre choix que de gagner votre chambre : pas d'exploration avant le petit matin, vous êtes censés récupérer. Vous pouvez faire quelques lignes sur votre arrivée si vous le souhaitez.
• Vos rp commencent donc réellement au lever de votre personnage (peut importe l'heure, qu'il ait dormi ou non) et vous avez quartier libre à partir de là pour faire ce que vous voulez.
• Les élèves qui ont des blessures visibles ont été pris en charge à l'arrivée au chalet.
• Vous ne pouvez pas être plus de 4 par chambre, les autres occupants seront des PNG.
• La destruction de l'école ne tarde pas à faire le tour du monde surnaturel. Les coordonnées géographiques du refuge temporaire sont envoyées aux tuteurs des élèves.

[Sharon-Avalon]

Anastasia



Je manque de m'effondrer dans la neige en arrivant de l'autre côté du portail, épuisée, mon corps encore affaibli par toute la magie qu'il a subi ou exercé cette nuit. Mais au lieu de cela, je lève la tête vers l'imposant chalet qui nous fait face quelques mètres plus loin, portes ouvertes. La file d'élèves qui me précède disparaît petit à petit dans l'entrée. J'essaie de me souvenir de la dernière fois où j'ai mis les pieds dans un chalet et me rend compte que cette époque paisible, ou ma principale préoccupation était de m'assurer d'avoir la combinaison de ski la moins "ski" possible, remonte à des lustres.
Mais peu importe. Cet endroit pourrait aussi bien être un monastère que je ne m'en soucierais pas moins : tant qu'il y a un bon matelas qui m'attend quelque part là-dedans, je ne vais pas faire la fine bouche.
C'est d'ailleurs cette pensée prometteuse qui me pousse à avancer encore un peu, rien qu'un peu, avant de pouvoir enfin m'écrouler de fatigue.
Le plus dur est passé, Anastasia. Tu y es presque, me souffle ma raison, qui l'emporte sur l'avertissement que m'envoie mes jambes qui flanchent.
Je passe la porte.
Je traverse le couloir.
J'en ouvre une autre.
Je me laisse tomber sur le premier lit à ma portée.
Et je sombre dans les bras de Morphée à la seconde où ma tête touche l'oreiller.



Je suis réveillée par une atroce migraine me martelant le crâne, ainsi qu'un sentiment inhabituel, mais je n'arrive à mettre le doigt dessus que lorsque j'ouvre mes yeux.
Le décor a changé, et pas qu'un peu.
La chambre que je partage en temps normal avec Rose n'a rien à voir avec celle dans laquelle je me trouve. Pas de grimoires, bougies et babioles de sorcière dans tous les coins. Pas de bureaux. Plus de lits, et superposés. Plus de personnes, aussi.
Je repousse les couvertures et frotte énergiquement mes paupières, alors que les événements de la veille me reviennent peu à peu en tête.
Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils sont loins de soulager ma migraine. J'extirpe une jambe, puis une autre, mes pieds déchaussés frigorifiés par la température du sol. Je baisse les yeux sur ma tenue, portant toujours ma robe de bal de la veille, quoique complètement brûlée sur les bords et tachée de rouge foncé par endroits.
Je suis prise d'un haut le coeur en sentant l'odeur du sang séché, et mon état ne s'améliore pas lorsque je me rends compte qu'il ne s'agit pas que du mien. Je dois retirer cette chose, et vite.
Je sors de la chambre à pas de loups pour ne pas réveiller les chanceux qui dorment encore, non sans avoir au préalable pris de quoi me vêtir dans l'armoire. Direction la salle de bain commune, une autre réjouissance qu'offre les lieux - autrement dit, les joies de la vie en communauté.
Mais ce n'est que temporaire. Je retrouverai bientôt le luxe de pouvoir prendre une douche sans avoir à me soucier de chanter trop fort.
Du moins, je l'espère.

[Sharon-Avalon]

Taylor




Un bruit assourdissant venant du haut me tire de mon demi-sommeil,
m'arrachant un grognement guttural mécontent. J'ai beau rabattre les draps sur mes oreilles et enfouir ma tête sous l'oreiller, rien n'y fait : le vacarme sonore ne s'interrompt pas pour autant. Peut-être que c'est dans ma tête. Ça m'arrangerait, tiens. Ah, j'y suis.
Alors écoute, J-C, je sais que j'ai pas été très catholique ces derniers temps, mais je crois pas qu'il soit déjà temps pour moi de choisir ma destinée, si ? De toute manière, je suis incapable de prendre la moindre de décision avant mon bol de Lucky Charms matinal, alors pas la peine de sonner les clairons de si bonne heure. Je suis sûre que même au Ciel, y a ce truc de génie appelé grasse mat'.
Quelques secondes s'écoulent. Soit ma prière mentale n'a pas été entendue, soit c'est pas dans ma tête que ça se passe. Et bien que les deux options soit très probables, je pencherai plutôt pour la deuxième.
Ce qui ne peut vouloir dire qu'une chose : ce bruit est bel et bien réel.
Mais qu'est-ce qui a bien pu me passer par la tête quand j'ai choisi le lit du bas ? Note perso : chercher un sac de couchage dans ce bled, histoire de pouvoir fermer l'oeil ce soir.
Je pousse un soupir à réveiller tout le chalet et grimpe l'échelle qui mène à la couchette supérieure, où mon camarade de chambre bave bouche grande ouverte, ronflant si bruyamment que je m'étonne sincèrement que le sol ne se mette pas trembler sous le coup de son expiration.
J'ignorais avoir pour voisin du dessus un éléphant ayant avalé un camion, mais ça ne va pas être possible, ça. Ah non, non, et non.
Me tenant à distance - des fois qu'il aurait gobé une mouche durant les dernières heures, je voudrai pas recevoir un projectile de la sorte en pleine face -, je lui fourre une paire de chaussettes roulée en boule - j'espère vraiment pour lui qu'il l'a prise dans l'armoire - dans la gueule.
Là. Avec ça, j'aurai la paix pour un moment. Bon. Et maintenant ? Si j'essaie de me rendormir, y a de grandes chances pour que je ne me lève plus de la journée. Donc autant profiter que je sois debout pour aller manger quelque chose. Même après tout ce qui s'est passé hier soir, je dois toujours faire face au même dilemme cartésien du réveil : retour au dodo ou bouffe.
J'envisage de regrouper mes cheveux en un chignon vite-fait, consciente de leur état déplorable sans même avoir besoin d'un miroir, et mes doigts effleurent au passage la trace laissée par la morsure de la veille. Je grimace à ce souvenir.
Ok. Écharpe. Il me faut une écharpe. De toute façon, on se les gèle encore plus ici, alors ça va passer crème. J'en enroule une autour de mon cou, ainsi qu'un sweat par-dessus mon jogging de pyjama enfilé à mon arrivée, et me dirige vers la cafétéria d'un pas traînant.
Sauf qu'en passant devant la salle de bain commune, je réalise que j'ai une large trace d'oreiller imprimée sur ma joue en plus des valises sous mes yeux bouffis, et relâche finalement ma tignasse brune.
Avant de reprendre ma route vers le réfectoire, trop affamée pour m'attarder sur mon allure négligée une seconde plus.

[Springbloom]

Quelqu'un voudra de Nebraska dans sa chambre?
Et quelqu'un voudrait Rp'?






NΣBЯΛSKΛ

Lentement, mes paupières se soulèvent, avant de se refermer, surprises par la soudaine luminosité du lieu. Lorsque mes iris s'habituent enfin à la lumière, je me redresse dans un lit. Les draps sont blancs, comme dans les lits d'hôpitaux. Plusieurs autres lits identiques au mien sont disposés dans la pièce, occupée ou non.
Mes souvenirs sont flous. Qu'est ce que j'ai fait avant d'arriver ici? Une affreuse migraine me torture le crâne, et je préfère arrêter de réfléchir. Je ferai mieux d'essayer de dormir en attendant que ça passe.

____________

- Voilà, c'est ça, tu y arrives, tu tiens debout. Essaie d'avancer vers moi maintenant.
La voix m'apparaît lointaine, presque inexistante, comme oubliée dans le temps, un souvenir si lointain qu'il a presque disparu de ma mémoire. Les formes se caractérisent, les contours apparaissent, la brume se lève. Le blanc flou disparaît, laissant place à un paysage enneigé où deux enfants font du patin à glace sur un lac gelé. L'un d'eux est un garçon, l'autre une jeune fille. Ils donnent l'impression de bien s'entendre et de plutôt bien se débrouiller, jusqu'à ce que le garçon tombe à terre, dérapant sur la glace. Il glisse sur une dizaine de mètres avant d'essayer de se relever et de retomber à terre. La fille s'approche de lui et l'aide à se relever, tandis qu'il tremble.
- Je t'ai déjà dit, il ne faut pas que tu aies peur. C'est une question de confiance. Dis-toi que tes pieds et la lame des patins ne font qu'un. Tu avances comme si tu marchais sans lever les pieds.
Il hoche la tête, hésitant. Il ne semble pas convaincu par ce que dit son amie et fixe ses patins d'un air perdu. Ses pieds vont d'avant en arrière, tentant de tenir en équilibre.
- Tu as déjà traîné des pieds, dis-moi? Bah fais pareil. Tu avances en canard en traînant des pieds. Ne t'inquiète pas, je suis à côté de toi.
Il fait quelques "pas", et commence à sourire. Ses bras se baissent le long ses bras. Il commence à trouver son aise. La fille recule un peu, lui laissant plus de place, patinant quelques mètres derrière lui.
-Tu y arrives! Je t'avais dit que tu pouvais y arriver, Jon!

_____________

Je me réveille en sursaut, en sueur, inspirant et expirant avec difficulté. Ce souvenir...Pourquoi m'est-il apparu aujourd'hui, comme un rêve? Serait-ce un message? Non...Je ne dois pas y faire attention. Ca ne devait pas être important.
Je sors de mon lit, d'abord inquiète en voyant le bandage autour de ma cheville, mais, finalement, je ne ressens aucune douleur en posant mon pied à terre. Je fais quelque pas d'essais, mais tout semble être en place.
Je ferais mieux de prendre une douche avant d'essayer de comprendre où je suis. Le dernier souvenir que j'ai est celui de mon passage au travers du portail. Impossible de me rappeler comment je suis arrivée dans ce lit.
Après ma douche, je regagne la pièce où je me trouvais, mes anciens vêtements sales de la veille dans un main, mon corps nu emmitouflé dans un peignoir assez larges qui cache mes ailes noires encre. Une femme s'approche de moi et me tends des vêtements, me disant qu'il faut que je les mette. Elle prends les autres et pars avant que je n'ai pu lui dire un mot.
Une fois habillée, curieuse de savoir quel est cet endroit, et comment j'ai atterri ici, je pars à la découverte des lieux.

[cielle]

Saluuut tout le monde !! Vous allez bien ?
Oh un chalet, c'est une super idée ça Sharon ! En plus il est tout mignon :3
Moi je veux bien rp si tu veux Elodie
Et pour les chambres... Rose ira où on voudra d'elle

Rose



Des flammes. Je suis au milieu d'un cercle de flammes. Seule. Affolée, je regarde autour de moi, cherchant un visage familier. Mais rien. Je suis seule...
Je me réveille en sursaut, le souffle court.
Qu'est ce que...
Je me lève, chancelante. J'ai la tête qui tourne. Je m'appuie contre le mur. Pendant quelques secondes, j'espère voir Anastasia debout, entrain de me sourire, de me réprimander gentiment, parce que je suis en retard.
Mais ce n'est pas ma chambre. Je ne suis pas à la Darkness High School, je suis dans le chalet. Celui du portail.
Les souvenirs de l'incendie me reviennent en bloc, me donnent la migraine.
Je pose une main sur mon front, le temps de reprendre mes esprits. Ça va mieux. Il faut juste que je me lave, que je mange, et que je vérifie si les autres vont bien.
Je me traîne donc jusqu'à la salle de bain commune. Ou plus précisément jusqu'au miroir.
Wow.
Je pourrais passer le casting pour un film de zombies.
Je fais vraiment peur.
Gros cernes noirs, cheveux emmêlés, teint livide.
Robe de bal déchirée.
Et mes jambes... N'ont visiblement pas apprécié la chute du sort de lévitation. Ni mes pieds. D'ailleurs, je n'ai toujours pas de chaussures.
Je prends une grande inspiration. Je dois remédier à tout ça. Si je veux avoir l'impression d'un retour à la normale.
Après une douche rapide, je me débarrasse de ma robe, enfile un jean et un gros pull, avant de nouer mes cheveux en un chignon à moitié défait.
Il me manque l'essentiel : les chaussures. Même si mes pieds me font souffrir. J'attrape une paire de bottes -à talons, évidemment- et me sens enfin grande.
Je m'observe une nouvelle fois dans le miroir. Je suis un peu moins terrifiante.
J'essaie de sourire. Mauvaise idée. Ça se voit que ce n'est pas sincère.
Je libère la salle de bain, et, à la recherche d'un visage ami, m'aventure dans les couloirs. Totalement au hasard, bien entendu. Dire que j'avais à peine commencé à m'habituer à ceux de l'école...

[LSGI]

Thomas

Pourquoi l'Islande ? Sérieux c'est tellement loin. Et puis il fait froid... Non pas vraiment. Je suis un loup donc je m'en fiche un peu du froid.
Et Lynlia fait les cents pas... ça aussi c'est super agaçant.

-Plus qu'à prendre l'avion, alors autant y aller tout de suite, on perdra moins de temps.

Et elle arrêtera de tourner en rond.

[Sharon-Avalon]

Coucouuuuu les filles !!! Moi ça va !
Merci Ciellounette !
Là j'ai pas le temps de rp, c'est mon dernier message ce soir, mais sinon j'aurai bien voulu. ^^
Les gens, pour les chambres, c'est pour ça que j'avais proposé un tirage au sort : tout le monde veut bien de tout le monde

Taylor

J'entre dans la cafétéria, balayant rapidement la salle du regard. Il y a déjà plus de monde que je ne le pensais. Je m'approches des plats, légèrement méfiante envers la nourriture qu'ils proposent ici, mais je me rends vite compte qu'elle est similaire à celle du manoir : à première vue, la plupart des plats m'ont l'air parfaitement normaux et comestibles. Mais je reste quand même sur des aliments ordinaires, pour éviter tomber sur de une omelette aux champignons magiques ou je ne sais quoi. Je place un bol de céréales sur mon plateau, avant de l'arroser de lait généreusement, puis retourne m'assoir. Pas de visages familiers en vue, j'ai donc largement le choix de la table. J'en choisis une vide, près de l'entrée, et m'affale sur une chaise.
C'est pas mes Lucky Charms, mais c'est déjà pas mal pour une situation de crise. Déjà, que je puisse mettre la main sur autre chose que des flocons d'avoine, c'est un pur miracle par les temps qui courent, alors je vais m'estimer heureuse au lieu de chipoter.
Mais au moment où l'image de céréales croustillantes mêlées à des bonbons me traverse l'esprit, un bol bien rempli surgit sur la table.
Comme ça.
Pouf.
Il y a un instant, il n'y avait rien, et puis en un battement de cil, ce truc est apparu.
Évidemment, mon premier réflexe est de faire un bond de trois mètres en arrière comme si quelqu'un avait planque une bombe dans mon petit-déjeuner.
Je louche sur mes mains comme si elles ne m'appartenaient pas.
C'est moi qui ait fait ça ? C'est quoi encore cette histoire ? Je suis une néphilim, ou une sorcière, bon sang ? Faudrait savoir, que je sois fixée.
Est-ce que j'ai bu quelque chose hier soir avant l'attaque qui m'a donné des pouvoirs ? Je savais bien qu'il fallait de se méfier de la nourriture ici. Je le SAVAIS.
C'est alors que mon regard se pose sur une affiche, juste en face du siège ou je suis assise et pile à hauteur de les yeux, sur le mur. "Table magique. Fais un voeu et il se matérialisera devant toi."
D'abord, je me sens débile.
Mais ensuite, je trouve ça hyper cool. Comment ça se fait que je ne connaissais pas l'existence de ce truc ?
Et puis la faim l'emporte sur tout autre réaction et je prends mon tout nouveau petit-déjeuner et commence à le dévorer.

[Hazel0510]

Mais non non non noooooooon !! Oui j'ai hâte ! Il va être épaté mon prof

Nico

Je soulève la fillette pour l'asseoir à côté de moi. Je me lève et prends la main de Raven.

-Désolé. Je suis vraiment désolé. Et je comprends tout à fait.

Puis je ris légèrement.

-Oh non pas une clochette..., me lamentai-je en riant.

Pardon petite guimauve je ne l'avais pas vu!! J'espère ! Et ce sera grâce à moi !


Raven

Je lui souris .

-C'est bon , ce n'est pas grave .

Puis je ris avec lui .

-Ah peut-être que tu préfères une médaille avec ton nom gravé dessus et mon numéro de téléphone ?

[LSGI]

Thomas

Je savais bien que ce serait long et éprouvant. Surtout qu'elle a dit à Zack de dégager... Et maintenant elle veut le voir ? Elle fait bien ce qui lui chante.

-Ok, mais alors allons-y tout de suite.

Au lieu de rester dans ces bois à rien faire.

[LSGI]

T'inquiète c'est rien Oui je te le dirais ! Et je te dirais merci si je réussis !

Nico

Je souris. Et voilà elle ne va pas me tuer une seconde fois !
J'éclate ensuite de rire.

-Laisse-moi réfléchir, je ne vois pas vraiment ce qui est le mieux.

[Hazel0510]

J'espère .

Raven

Je ris .

-Moi j'opterai pour la médaille , c'est plus discret !

[LSGI]

Thomas

On arrive à l'appart et elle entre. Je ne la suis pas. Je préfère la laisser avec ses potes. Et puis comme ça Zach sera plus "normal" si je ne suis pas là. Je le dis à Lynlia avant de descendre au bar.


Nico

Je hausse les sourcils avec un large sourire.

-Ça dépend de la taille de la médaille.

[Hazel0510]

Raven

Je ris face à sa phrase .

-C'est vrai que toi , je devrais te mettre une très grosse médaille.

[LSGI]

Thomas

Une fille, brune, assez sympa, se met à côté de moi. Je prends une bière et elle aussi. Elle n'est pas habillée vulgairement, elle est normale. Et ça fait longtemps que je n'ai pas simplement parlé avec une fille autre qu'une surnaturelle. Alors j'en profite. Une simple discussion. Ça fait du bien d'être un peu normal.



Nico

Je secoue la tête avec un air épouvanté mais un grand sourire.

-Ah non hors de question !

[Hazel0510]

Raven

Je ris devant sa tête affolée puis ajoute en souriant.

-Ou sinon je te garde près de moi comme ça pas de problèmes !

[LSGI]

Thomas

On prend une deuxième bière chacun. On rit tellement que les gens se posent des questions. Mais je m'en fous et elle aussi. Elle s'appelle Héléna. Elle est normale. Mais elle ne mâche pas ses mots sans pour autant être grossière. J'apprécie.



Nico

Là je souris et me redresse.

-Cette solution me convient totalement.