[Questionnaire] votre avis sur les romances

[COMETE_LC]

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[ZiyouGen]

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Merci pour ton aide

[VampireAcademyTeam]

Ziyou : Maintenant on attend ton compte rendu, les statistiques et tout ça... Quelle est la tendance du marché ? J'ai hâte de voir à quelle sauce doivent être rédigées les romances pour plaire au plus grand nombre...
Peut-être pas ce que l'on s'attend à voir...

[ZiyouGen]

Ziyou : Maintenant on attend ton compte rendu, les statistiques et tout ça... Quelle est la tendance du marché ? J'ai hâte de voir à quelle sauce doivent être rédigées les romances pour plaire au plus grand nombre...
Peut-être pas ce que l'on s'attend à voir...

T'inquiète Lucifer, voici le résumé.

Synthèse des réponses au questionnaire sur les romances contemporaines.


Notre lecteur est donc, sans surprise, une lectrice, elle a 25 ans environ. Elle lit majoritairement des romances avec des personnages hétérosexuels et MM.

Sur les clichés nous avons deux populations irréconciliables. Une moitié ne s'en est pas encore lassée tandis que l'autre dit stop aux clichés. Elle souhaite explorer d’autres milieux que les sempiternelles mafias, campus, milliardaires ou motards, sans trop savoir lesquels.

Notre lectrice plébiscite un climat gris avec tendance secondaire au climat feel-good : pas de trauma trop lourd pour nos personnages.
Par ailleurs la violence dans un roman ce sont plutôt les mots, mais envers les autres personnages pas au sein du couple. Elle préfère une vraie amitié au sex-friends ; mais l’âme sœur dans une romance est plutôt charnelle.
Pas d’intérêt particulier pour le premier amour si ce n'est comme événement fondateur de la personnalité, ni pour l'amour platonique.

Notre lectrice préfère plutôt une romance d’action avec un peu de psychodrames mais pas trop ; aussi que tout le monde souffre à égalité dans le bouquin.

Sa préférence est au slow Burn et enemy-to-lovers, elle n'aime pas vraiment les triangles amoureux ni l’amour à sens unique.
Enfin pas de morts des héros à la fin et plutôt vrai happy end avec amour éternel.

D'ailleurs l'amour pour elle c'est : complicité, soutien partage, complémentarité, vision commune, tendresse et acceptation. À noter quelques "je ne sais pas" et quelques descriptions physiques : le cœur qui bat, se faire des câlins, dire qu'on s'aime, être attirée.

Sur le bonheur elle pense qu'il ne se mérite pas car il est un droit pour tous. Le pardon n'est pas une faiblesse, mais elle pardonne rarement.

Le couple d’amoureux est représenté par : un soutien sincère, honnête sans trahison, des inconditionnels l’un de l’autre. La princesse charmante ou le prince charmant ne sont pas idéalisés ni parfaits. Les hommes comme les femmes peuvent être romantiques, du romantique d'accord mais pas niais. Les hommes peuvent pleurer seulement si c’est cohérent avec le personnage.

Les héros et héroïnes sont plutôt combatifs, virils mentalement, forts et désabusés, quelques romantiques fragiles. L'amoureux ou l'amoureuse doit être : bienveillant, tolérant, gentil, compréhensif, respectueux, il a le sens de l'humour, il est généreux, proactif honnête, fidèle, sincère, patient, intelligent, mature, ambitieux, solide à l'écoute. Il est important que les personnages évoluent psychologiquement.

Leurs traits de personnalité rédhibitoires sont : la niaiserie, la stupidité, l'immaturité, la fausse-timidité, l'inconstance, la soumission (ses réponses concernent les femmes étrangement).

À propos du sexe, la liberté des mœurs c'est : Le libertinage, faire ce qui lui plaît en l'assumant publiquement, s'affranchir des carcans sociaux sans nuire aux autres. D’ailleurs la femme tombeuse est plébiscitée largement versus la fille facile.

Elle ne croit pas au sex-friends. En revanche dans un bouquin les scènes de sexe sont majoritairement de l’amour et une intimité.

Les scènes doivent être plutôt un mix de scènes explicites et édulcorées : oui au piment fort, mais pas vulgaire et dans la norme d’une relation d’amour à deux. Égalité du piment fort et du piment doux. À propos du dirty-talk elle adore avec des réserves "il faut que cela soit bien écrit", mais une autre majorité ne connaît pas et quelques-unes ne le supportent pas. D'ailleurs le tue l'amour ultime : l'hygiène, la niaiserie, les relations toxiques avec en exergue le fait que certains romans agiraient comme une normalisation de ces relations toxiques.

Voilà c'est le compte-rendu brut, qu'en pensez-vous ?

[COMETE_LC]

Notre lecteur est donc, sans surprise, une lectrice, elle a 25 ans environ ( bon je n’ai plus 25ans )

Elle lit majoritairement des romances avec des personnages hétérosexuels et MM (seulement des personnages hétérosexuels, je n’ai pas encore sauté exclusivement sur le MM ils sont secondaires dans mes histoires).

Sur les clichés nous avons deux populations irréconciliables.

L’autre dit stop aux clichés . Elle souhaite explorer d’autres milieux que les sempiternelles mafias, campus, milliardaires ou motards, sans trop savoir lesquels. ( je viens d’attendre un Amen juste après cette phrase )

Notre lectrice plébiscite un climat gris avec tendance secondaire au climat feel-good : pas de trauma trop lourd pour nos personnages. +1


Elle préfère une vraie amitié au sex-friends ( totalement ).

Pas d’intérêt particulier pour le premier amour si ce n'est comme événement fondateur de la personnalité, ni pour l'amour platonique.+1

Notre lectrice préfère plutôt une romance d’action avec un peu de psychodrames mais pas trop ; aussi que tout le monde souffre à égalité dans le bouquin. +1

Sa préférence est au slow Burn et enemy-to-lovers, elle n'aime pas vraiment les triangles amoureux ni l’amour à sens unique. +1

Enfin pas de morts des héros à la fin et plutôt vrai happy end avec amour éternel. ( j’ai un côté fleur bleu et il est exacerbé dans un feel good donc pas de mort, pour ça j’ai les crimes dans les polars ).

D'ailleurs l'amour pour elle c'est : complicité, soutien partage, complémentarité, vision commune, tendresse et acceptation. +1

Le pardon n'est pas une faiblesse, mais elle pardonne rarement. +1

Le couple d’amoureux est représenté par : un soutien sincère, honnête sans trahison, des inconditionnels l’un de l’autre. La princesse charmante ou le prince charmant ne sont pas idéalisés ni parfaits. Les hommes comme les femmes peuvent être romantiques, du romantique d'accord mais pas niais. Les hommes peuvent pleurer seulement si c’est cohérent avec le personnage.+1

Les héros et héroïnes sont plutôt combatifs, virils mentalement, forts et désabusés, quelques romantiques fragiles. L'amoureux ou l'amoureuse doit être : bienveillant, tolérant, gentil, compréhensif, respectueux, il a le sens de l'humour, il est généreux, proactif honnête, fidèle, sincère, patient, intelligent, mature, ambitieux, solide à l'écoute. Il est important que les personnages évoluent psychologiquement.+1 ( j’adore les femmes fortes/puissantes )

Leurs traits de personnalité rédhibitoires sont : la niaiserie, la stupidité, l'immaturité(+100000 coucou le YA, oups désolée je ne veux pas généraliser), la fausse-timidité, l'inconstance, la soumission (ses réponses concernent les femmes étrangement).

À propos du sexe, la liberté des mœurs c'est : Le libertinage, faire ce qui lui plaît en l'assumant publiquement ( +1), s'affranchir des carcans sociaux sans nuire aux autres+100000 . D’ailleurs la femme tombeuse est plébiscitée largement versus la fille facile.

Elle ne croit pas au sex-friends.+1

Les scènes doivent être plutôt un oui au piment fort, mais pas vulgaire et dans la norme d’une relation d’amour à deux. ( je ne supporte même plus les scènes de sexe beaucoup de vulgarité pour pas grand chose, je saute systématiquement ces pages)

À propos du dirty-talk elle adore avec des réserves "il faut que cela soit bien écrit", mais une autre majorité ne connaît pas ( je ne connais pas le dirty-talk).

D'ailleurs le tue l'amour ultime : l'hygiène, la niaiserie, les relations toxiques avec en exergue le fait que certains romans agiraient comme une normalisation de ces relations toxiques.+1 (je m’inquiète de la normalisation de ces relations toxiques pour les plus jeunes).

Merci pour le résumé et le retour ( ça fait un bien fou de partager les mêmes sentiments que beaucoup) où suis-je devenue trop vieille ?

[ZiyouGen]

Notre lecteur est donc, sans surprise, une lectrice, elle a 25 ans environ ( bon je n’ai plus 25ans :lol : )
...
Merci pour le résumé et le retour ( ça fait un bien fou de partager les mêmes sentiments que beaucoup) où suis-je devenue trop vieille :lol : ?

Merci à toi pour tes commentaires,
À propos de l'âge : nous avons eu quelques ados et quelques seniors, le gros du contingent se situe dans la tranche 18 à 35 ans ; quand je dis qu'elle a 25 ans il s'agit de la médiane.
Aussi à propos du genre c'est une majorité écrasante de 90% de femmes qui ont répondues.

[COMETE_LC]

Notre lecteur est donc, sans surprise, une lectrice, elle a 25 ans environ ( bon je n’ai plus 25ans :lol : )
...
Merci pour le résumé et le retour ( ça fait un bien fou de partager les mêmes sentiments que beaucoup) où suis-je devenue trop vieille :lol : ?

Merci à toi pour tes commentaires,
À propos de l'âge : nous avons eu quelques ados et quelques seniors, le gros du contingent se situe dans la tranche 18 à 35 ans ; quand je dis qu'elle a 25 ans il s'agit de la médiane.
Aussi à propos du genre c'est une majorité écrasante de 90% de femmes qui ont répondues.

Je sais mais depuis que j'ai dépassé le cap des 25ans c'est un sujet sensible maintenant j'ai bien compris que c'était une médiane c'était pour le balayer rapidement.

[Jo-36]

Mince j'ai passé largement la tranche 18/ 35 ans

[Jo-36]

Mince j'ai passé largement la tranche 18/ 35 ans

[theyoubot]

Les héros et héroïnes sont plutôt combatifs, virils mentalement
qu'en pensez-vous ?

Je pense que tu as reçu une éducation fortement misogyne et/ou que tu as baigné dans une culture ambiante qui a un demi siècle de retard. La combativité n'a pas de genre. Elle n'est pas plus masculine que féminine.


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Je recherche des romans avec ces 4 qualités / Ma présentation

[ZiyouGen]

Les héros et héroïnes sont plutôt combatifs, virils mentalement
qu'en pensez-vous ?

Je pense que tu as reçu une éducation fortement misogyne et/ou que tu as baigné dans une culture ambiante qui a un demi siècle de retard. La combativité n'a pas de genre. Elle n'est pas plus masculine que féminine.

Mum, il ne s'agit pas de mon avis mais du résumé des réponses reprenant ici les mots les plus cités. Du coup les lectrices de la médiane 25 ans souhaitent des héros et des héroïnes combatifs et combatives. Le mot viril a été repris aussi bien pour les héroïnes que pour les héros.

Je dois dire que lorsque j'ai lu ton message j'ai été un peu blessée, puis je me suis dit qu'il y avait là une aubaine à partager avec la jeune génération quelques éléments sur un sujet qui me tient à cœur. Car sans être une activiste, à titre personnel je me suis battue contre les stéréotypes une grande partie de ma vie et cela n'a pas été sans friction. Alors voici le parcours d'une femme de la génération X d'une grande ville de province. Elle est née dans les années 60, elle était enfant lors des grandes victoires des féministes des années 70.

Ma mère est née lorsque l'égalité entre hommes et femmes a été inscrite dans le Préambule de la Constitution : "La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme." Nous étions 1946. Un an avant les femmes votaient pour la première fois en France.

J'allais naître lorsque ma mère a eu le droit de travailler sans l'accord de son mari en 1965.
J'allais naître lorsqu'elle a eu le droit d'avoir un compte bancaire bien à elle en 1965.

J'étais bébé lorsque la puissance paternelle a été remplacée par l'autorité parentale conjointe en 1970.
J'étais enfant lorsqu'elle a demandé le divorce, forcement pour faute car le consentement mutuel ne sera autorisé qu'en 1975.

J'étais adolescente lorsque j'ai pu avoir 40 euros d'argent de poche que ma mère a pu me donner grâce à la loi de 1982. En effet l'état a récupéré en son nom la pension alimentaire impayée de 40 euros.
C'est aussi à ce moment-là que la notion de chef de famille a été abrogée

À mon adolescence j'ai pu avoir la pilule — accessible depuis moins de vingt ans — en allant simplement dans un centre de planning familial, c'était anonyme et gratuit, mais il fallait tout de même raconter quelques bobards pour se justifier face à la femme du planning.
À mon adolescence j'ai également eu accès à l'avortement, il venait à peine d'être remboursé par la sécu. Il fallait, là aussi, raconter le pourquoi du comment de notre choix. Puis un médecin, s'il n'était pas sympa, jugeait que l'anesthésie n'était pas utile : oui, il fallait que nous mémorisions dans notre corps que l'avortement n'était pas une contraception.
La liberté sexuelle était réelle. Cependant les mentalités, elles, n'avaient pas vraiment évolué, les étiquettes et qualificatifs collaient à la peau.

Je n'étais pas encore sortie de l'adolescence que j'entrais dans le monde de l’emploi. L'égalité professionnelle venait tout juste d'être promulguée, nous étions en 1983. Quant à l'égalité de rémunération elle avait été décrétée depuis une dizaine d'années seulement. Inutile de dire que dans les faits on en était loin.

Devenue une jeune adulte dans les années 90, ma lutte personnelle s'est concrétisée dans l’univers du travail.
Entre 1998 et 1999, je n'avais pas encore la trentaine et j'ai vécu la réforme de la féminisation des métiers et professions car je bossais dans un milieu d'hommes à un poste de cadre. Justifier ma place, assurer de ma valeur en tant que femme — d'autant que j'étais une jolie mère célibataire — a été une lutte aussi bien contre les stéréotypes que contre le harcèlement. Je dois dire que ma personnalité de grande gueule "virile, combative" m'a aidé à assurer la victoire.

Aujourd'hui quand je regarde dans le rétroviseur, j'ai pu imposer et assumer mes choix de vie et de carrière. Sans aucun doute parce que d'autres ont dégagé le chemin, ont fait évoluer les lois de ce pays. Moi j'ai juste lutté quelques années avec les mentalités de réacs ordinaires.

[VampireAcademyTeam]

Les héros et héroïnes sont plutôt combatifs, virils mentalement
qu'en pensez-vous ?

Je pense que tu as reçu une éducation fortement misogyne et/ou que tu as baigné dans une culture ambiante qui a un demi siècle de retard. La combativité n'a pas de genre. Elle n'est pas plus masculine que féminine.

Mum, il ne s'agit pas de mon avis mais du résumé des réponses reprenant ici les mots les plus cités. Du coup les lectrices de la médiane 25 ans souhaitent des héros et des héroïnes combatifs et combatives. Le mot viril a été repris aussi bien pour les héroïnes que pour les héros.

Je dois dire que lorsque j'ai lu ton message j'ai été un peu blessée, puis je me suis dit qu'il y avait là une aubaine à partager avec la jeune génération quelques éléments sur un sujet qui me tient à cœur. Car sans être une activiste, à titre personnel je me suis battue contre les stéréotypes une grande partie de ma vie et cela n'a pas été sans friction. Alors voici le parcours d'une femme de la génération X d'une grande ville de province. Elle est née dans les années 60, elle était enfant lors des grandes victoires des féministes des années 70.

Ma mère est née lorsque l'égalité entre hommes et femmes a été inscrite dans le Préambule de la Constitution : "La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme." Nous étions 1946. Un an avant les femmes votaient pour la première fois en France.

J'allais naître lorsque ma mère a eu le droit de travailler sans l'accord de son mari en 1965.
J'allais naître lorsqu'elle a eu le droit d'avoir un compte bancaire bien à elle en 1965.

J'étais bébé lorsque la puissance paternelle a été remplacée par l'autorité parentale conjointe en 1970.
J'étais enfant lorsqu'elle a demandé le divorce, forcement pour faute car le consentement mutuel ne sera autorisé qu'en 1975.

J'étais adolescente lorsque j'ai pu avoir 40 euros d'argent de poche que ma mère a pu me donner grâce à la loi de 1982. En effet l'état a récupéré en son nom la pension alimentaire impayée de 40 euros.
C'est aussi à ce moment-là que la notion de chef de famille a été abrogée

À mon adolescence j'ai pu avoir la pilule — accessible depuis moins de vingt ans — en allant simplement dans un centre de planning familial, c'était anonyme et gratuit, mais il fallait tout de même raconter quelques bobards pour se justifier face à la femme du planning.
À mon adolescence j'ai également eu accès à l'avortement, il venait à peine d'être remboursé par la sécu. Il fallait, là aussi, raconter le pourquoi du comment de notre choix. Puis un médecin, s'il n'était pas sympa, jugeait que l'anesthésie n'était pas utile : oui, il fallait que nous mémorisions dans notre corps que l'avortement n'était pas une contraception.
La liberté sexuelle était réelle. Cependant les mentalités, elles, n'avaient pas vraiment évolué, les étiquettes et qualificatifs collaient à la peau.

Je n'étais pas encore sortie de l'adolescence que j'entrais dans le monde de l’emploi. L'égalité professionnelle venait tout juste d'être promulguée, nous étions en 1983. Quant à l'égalité de rémunération elle avait été décrétée depuis une dizaine d'années seulement. Inutile de dire que dans les faits on en était loin.

Devenue une jeune adulte dans les années 90, ma lutte personnelle s'est concrétisée dans l’univers du travail.
Entre 1998 et 1999, je n'avais pas encore la trentaine et j'ai vécu la réforme de la féminisation des métiers et professions car je bossais dans un milieu d'hommes à un poste de cadre. Justifier ma place, assurer de ma valeur en tant que femme — d'autant que j'étais une jolie mère célibataire — a été une lutte aussi bien contre les stéréotypes que contre le harcèlement. Je dois dire que ma personnalité de grande gueule "virile, combative" m'a aidé à assurer la victoire.

Aujourd'hui quand je regarde dans le rétroviseur, j'ai pu imposer et assumer mes choix de vie et de carrière. Sans aucun doute parce que d'autres ont dégagé le chemin, ont fait évoluer les lois de ce pays. Moi j'ai juste lutté quelques années avec les mentalités de réacs ordinaires.

Merci pour ce témoignage. Vraiment.

[theyoubot]

les lectrices de la médiane 25 ans souhaitent des héros et des héroïnes combatifs et combatives. Le mot viril a été repris aussi bien pour les héroïnes que pour les héros

Quand on voit des filles d'aujourd'hui continuer de masculiniser une qualité qui n'a aucun genre, on se demande combien de temps il faudra encore avant que les femmes ne se libèrent de modes de pensée aliénants hérités d'époques barbares. Je sais bien que les sociétés sont de grandes dames et que chaque pas leur prend des décennies. Mais putain que c'est déprimant. Dire qu'on en est encore là.

nous étions en 1983. Quant à l'égalité de rémunération elle avait été décrétée depuis une dizaine d'années seulement. Inutile de dire que dans les faits on en était loin.

On l'est toujours. Une partie de chemin est faite. À vue de nez, il faudra, mettons, 50 ans de plus.





Quelques exemples ici de clichés détestables de romance.

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Je recherche des romans avec ces 4 qualités / Ma présentation