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Livres - Bibliographie

Marie Treps


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Tous les livres de Marie Treps

En Lituanie, napoléon désigne un gâteau... Au Danemark, vous pouvez, par temps de frimas, acheter du grand vin de pinard... En néerlandais, un colbert est une veste... En allemand, salopp veut dire " sympathique " ou " décontracté "..

. En bulgare, sifon qualifie une personne stupide et parashoutiste une personne pistonnée...

Omelette et champagne, déshabillé et blouse, bel étage et chaise longue, garage et garçonnière, rendez-vous et Je m'en fous ! sont en Europe comme à la maison.

Voici le récit allègre du devenir des mots français dans les langues européennes, de l'irlandais au norvégien, du polonais au grec...

Comment le français est-il parvenu à traverser les frontières ? Qu'ont retenu ces autres langues de la nôtre ? Pourquoi certaines se sont-elles montrées plus hospitalières que d'autres ?

Des traces durables laissées par la grande histoire aux hasards des petites rencontres et des modes, la langue française vit d'une autre vie dans une Europe dont la diversité linguistique enchante.

Parfois détournés ou déformés, nos mots de tous les jours résonnent alors d'une tonalité exotique, nourrie de faux amis et de vraies trouvailles, telle cette expression que les Anglais nous prêtent sans qu'elle ait jamais eu cours dans notre langue : " C'est magnifique, mais ce n'est pas la guerre "...

« Mes fromages, Madame ! », « La Chambre des dépités », « Mystère et boum, de Gaulle », « Vieux comme mes robes », « Trèfles de plaisanteries », « Pour vivre heureux, vivons couchés ! »

Le calembour est partout. Il est dans la rue, à la radio et même chez les meilleurs auteurs, de Balzac à Albert Cohen en passant par Marcel Prout. Carence de vocabulaire pour les uns, humour potache et jeu de mot un peu lourdingue pour les autres, vrai ou faux lapsus… Le calembour n’a pas vraiment bonne presse. Et pourtant, à peine proféré, intentionnellement ou non, il déclenche le rire.

Marie Treps entreprend dans ce petit livre irrévérencieux de débusquer les dérapages de notre logique verbale… L’esprit de sérieux en prend un sérieux coup !

" Petit Papa Lionel ", " Bécassine ", " Montebourde ", " Flanby ", " Tonton ", " Méluche ", " Christine La Gaffe ", " La Porsch tranquille ", " Bayroudoudou ", " Courage Fillon ", " Jack Lang de Blois ", " Copé-collé ", " Manuel Valse " : vous les aurez sans doute reconnus. Les politiques sont aujourd'hui aux premières loges quand il s'agit de se faire épingler d'un surnom. Dans ce livre réjouissant mais très documenté, Marie Treps propose un inventaire des surnoms secrétés par la société française, dont l'imaginaire se révèle étonnamment créatif.

Attribués à ceux qui, peu ou prou, pèsent - ou ont pesé - sur notre destin, ces surnoms, des plus aimables aux plus féroces, sont les témoins ambigus de la splendeur comme de la misère de celles et ceux qui ont embrassé la carrière politique. Car tout fantaisiste qu'il paraît, le surnom ne doit rien au hasard. Il peut être inspiré par une particularité physique, un trait de caractère, les origines, sociale ou géographique, du bénéficiaire, il est aussi bien attribué en mémoire de tel ou tel événement marquant d'une vie, d'une carrière - une simple anecdote peut parfois suffire à sceller un sobriquet.

Pour Marie Treps, la pratique universelle du surnom révèle notre besoin, humain trop humain, de ramener ceux que nous avons placés sur le piédestal de la célébrité dans notre petite sphère, celle des gens comme tout le monde.

Les mots sont des oiseaux. Ils ignorent les frontières. Montagnes, fleuves, océans et mers jamais n'arrêteront le vol têtu des mots migrateurs. D'Europe, d'Amérique ou d'Asie, d'Afrique, d'Orient ou du Grand Nord, de tout temps ils se sont envolés, les mots-oiseaux, et sont venus nicher dans notre langue. Linguiste et spécialiste de l'origine des mots, Marie Treps nous raconte leur histoire...

Michèle Brabo n'a jamais cru aux " voleurs de poules " ni aux " voleurs d'enfants ". Son œil de photographe a vu autrement les Roms, les Manouches ou les Gitans. Elle a aimé accompagner les Voyageurs. Acceptée par les familles, elle nous découvre leur intimité : elle a participé à leurs fêtes, suivi leurs pèlerinages, partagé leurs repas. Étameurs, vanniers, maquignons, chaudronniers, rempailleurs, luthiers, fabricants de roulottes, ou peintres et musiciens, tous ont aimé lui révéler leurs savoir-faire. Voyage au cœur des familles, dans les paysages changeants que traversent les roulottes et les caravanes, témoin de leur élégance, de leur vitalité si pleine de dons, ce livre participe à la mémoire d'un peuple. Il est aussi le livre d'une amitié qui a parcouru toute la vie et le travail de Michèle Brabo. (Agnès Brabo)

Aux États-Unis, le French bath c'est : peu d'eau, beaucoup de parfum ! À Naples, un garçon mignard et un peu snob est traité de francioso... Mais en Norvège, on qualifie de « Française » une femme élégante. Et le « baiser français » séduit le monde entier. Ouf !

Ainsi, le Français serait sale, magouilleur et vaniteux. Oui, mais aussi romantique, gourmet et diablement raffiné... Tout de même !

Au fil des siècles, en Europe et bien au-delà, on a taillé aux Français une réputation pour le moins contrastée. Et, pour le faire savoir, on a imaginé une litanie de mots cocasses et de tournures curieuses inspirés de la langue de Molière. Les voici, consensuels ou inattendus, admiratifs ou irrévérencieux, recueillis par Marie Treps avec le talent et l'humour qu'on lui connaît.

MAUDITS MOTS ou l'inventaire raisonné des mots irraisonnables, les insultes racistes. Des plus insignifiantes aux plus outrageantes. Citations à l'appui, puisées dans les textes anciens ou contemporains, elles sont toujours révélatrices de l'esprit du temps. Comment ces désignations injurieuses ont-elles été fabriquées, pour quelles raisons, dans quelles circonstances historiques ont-elles été imaginées ? On le verra, si, en la matière, l'imagination ne fait défaut à personne, les motivations, elles, sont essentielles. On observe depuis peu une "libération de la parole raciste", Maudits mots met en perspective cette logorrhée malsaine. MAUDITS MOTS, un livre d'Histoire et d'histoire.

"Lâche pas la patate !"

s'égosille-t-on au Québec pour dire "Tiens bon !"

Mais saviez-vous qu'à La Réunion un bois de cul est un tabouret ? Qu'aux Antilles on ne pique pas un fard mais un coup de soleil ? Qu'au Cameroun un long-crayon est un intellectuel ?

Du Québec à la Nouvelle-Calédonie, en passant par les Antilles, la Suisse, la Belgique ou l'Afrique, Marie Treps nous présente un français joyeux et déluré, un français qui pète le feu !

Comment parlerions-nous français aujourd’hui si nous n’étions pas tous plus ou moins polyglottes ? Le français s’est enrichi au fil des siècles de quelque trois mille mots empruntés à des langues fort diverses. Par quels hasards sont-ils venus s’implanter dans le jardin de la langue française, ces mots qui ont poussé chez nos voisins, dans de lointaines contrées, ou sur des terres demeurées longtemps inconnues ? Quelles stratégies avons-nous développées pour les faire nôtres ? Voilà ce que relatent ces six voyages. Au fil des pages, ces mots mâchés de bouche en bouche retrouvent leur couleur propre, leur parfum singulier. Ils ont aussi une mémoire, une histoire. Ces mots migrants ont été si bien assimilés qu’ils pourraient avoir l’air de bons vieux mots français. S’ils n’avaient ce petit quelque chose en plus qui fait voyager nos imaginaires…

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