Univers de la Science-Fiction
On peut définir la Science-Fiction comme la branche de la littérature qui se soucie des réponses de l'être humain aux progrès de la science et de la technologie.
Le livre du moment
Le Terminateur
- 24 Août 2017
- Laurence Suhner
- Science-Fiction, Recueil de nouvelles, Anticipation
Extraits du moment
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A jumble of voices and static blared from the speaker. A hundred voices shouted orders, warnings, and despair. Through the mess, I caught only bits and pieces of their words. “…Supremacy bombers have hit Kirtec. The city is gone… I can’t hold them off… I’m hit, I’m going down…” and then, through it all, sobbing.
My ship had gone silent except for the crying voices and the static. I scanned the empty space before the viewport and the scanners. Both showed nothing.
But I would know those sounds anywhere. I had first heard them when I was a child and the Supremacy reached my home world. “That’s an invasion.”
“Where is it coming from?” Orion said. “There must be a system nearby. We’re… saved… sort of.”
We could reach it once the engines were working. We wouldn’t starve, but we would be walking into a Supremacy invasion force.
Through the static and sobbing came a single clear voice. A woman whose professional tone couldn’t hide her sorrow. “Yeknowa has fallen. If you can escape, you have leave from the generals to do so. May the Ancients save our souls.”
The line went dead, plunging us into deep, cold silence. I shuddered.
“Yeknowa fell three centuries ago,” Polaris said in the quiet.
“What do you mean?” I asked.
“That transmission has been traveling through space for the last three hundred years.”
My blood ran cold. We weren’t near Yeknowa after all.
“It’s the remnants of an old battle, and we just happened to be in the path of the transmission,” Po added.
The Supremacy had murdered those people three hundred years ago. The galactic-wide war had been going on for centuries—and it would keep going if we failed to uncover what Agent Winters knew. She was the key to stopping this cruelty, and we were the only ones who could find her and bring her back safely to The Uprising.
Extrait de Star Pilot, Tome 2 : A Star Pilot's Daring Rogue -
Une grimace douloureuse déforme les traits de Faune, contractant la cicatrice sur sa joue.
«Des hommes libres ! répète-t-il en poussant un rire sans joie. Quelle plaisanterie ! Nous sommes asservis, nous aussi. Peut-être pas par nos machines, nos gadgets et nos robots. Mais par nos croyances, nos tabous et nos règles absurdes. »
Extrait de Cogito -
Comme sur le trajet de retour du Mexique, Ella est recroquevillée sur elle-même, les yeux fermés. Les jambes repliées contre la poitrine, elle les tient bien serrées entre ses bras. Chose étonnante, les Chimæra semblent attirées vers elle et sont toutes deux blotties à ses côtés. Je me demande si c'est à cause de l'énergie loric qui irradie toujours de son corps ou parce qu'elle a l'air d'avoir besoin d'un peu de réconfort.
Depuis l'autre côté du vaisseau, Daniela observe Ella comme pour en percer le mystère. Elle relève les yeux en me voyant approcher et fait un signe de tête en direction de notre jeune amie. Qu'est-ce qui lui arrive? demande-t-elle avec précaution. Elle... »
Ella ouvre un œil et l'interrompt. «Je suis morte, hier, pendant un petit moment.
- Oh, fait Daniela.
- Et ensuite, j'ai fusionné avec une entité divine qui m'habite encore, en quelque sorte.
- OK. Tout est normal.
- Il faut un peu de temps, pour s'y habituer », reconnaît Ella avant de refermer les paupières.
Daniela se tourne vers moi, les yeux écarquillés, comme si elle doutait que tout ça soit bien réel. Je hausse les épaules et Daniela laisse échapper un soupir avant de s'affaisser sur son siège.
«Bon sang, j'aurais dû rester à New York. OK, on avait des aliens. Mais c'étaient pas des aliens zombies, au moins.
- Je ne suis pas un zombie », rectifie Ella sans ouvrir les yeux.
Extrait de Les Loriens, tome 7 : Tous pour Un -
Emmett Fletcher, en plus d’être philanthrope et féministe, possède un certain charme râpeux, un peu rustre, mais indéniablement tendre. Surtout ses prunelles, elles brillent d’une compassion profonde, d’une intelligence saine. Il n’est pas dévoré par l’ambition, le pouvoir ou l’argent, et pourtant il est d’une ténacité et d’un courage incroyable. Il n’est pas beau au sens strict du terme. Il n’a pas la physionomie parfaitement harmonieuse ou sans rides. Il est châtain clair aux yeux bleus. Il a le sourire facile, on le remarque à ses traits joviaux et à ses pattes d’oies. Il possède des canines un peu trop longues et son nez semble avoir connu les poings d’adversaires. Et il n’est pas botoxé comme les citadins d’aujourd’hui, mais naturel, ce qui lui prodigue un charme fou, touchant, attirant. Il vit à la dure dans le bush et, avec peu de moyens, a fondé un sanctuaire immense qui lui prend tout son temps.
C’est pour toutes ces raisons, je pense, que beaucoup de femmes craquent pour ses beaux yeux.
Extrait de New Badass -
Ces pensées venaient au Rull alors qu'il était de retour sur le radeau, maintenant résigné à ce que les humains s'aperçoivent que l'engin avait disparu. Mais cela ne lui apparaissait plus comme un événement menaçant.
Il avait un pressentiment. Ce pressentiment, c'était que personne sur la Terre ne soupçonnerait que de puissant ennemis, les Rulls, étaient venus sur la planète-mère de l'humanité. Avaient observé les humains. Et étaient repartis sans encombre.
Et qu'en temps opportun, les Rulls reviendraient. En force.
Extrait de Le Livre d'Or de la science-fiction : A. E. Van Vogt
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