Igal Shamir

J'ai placé ce roman dans booknode pour la promesse qu'il représente... et pour la déception qu'il suscite. Pour moi, l'histoire se perd. Elle se dégonfle au fur et à mesure du récit.

Peut-être ne serez-vous pas d'accord avec moi.

Détrompez-moi...

je n'ai pas reussis a accrocher a ce roman.

l'ecriture ne me convient pas.

La musique, et l'art en général, peuvent-ils fonder une civilisation ? Voilà la question posée dans ce thriller historique par Igal Shamir, violoniste virtuose et ancien pilote de l'armée israélienne. Ou comment un musicien du XVIIè siècle aurait pu faire trembler le nazisme sur ses bases. Original.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2012/07/les-sanglots-longs-du-violon-de-gal.html

Début de l'histoire : Un soldat de la Wermarcht, mélomane et spécialiste du violon, est invité dans un chateau de la nièvre en 1940. Il joue devant Ribentropp et Adolf Hitler. Il donne à la fin du concert un papier au Führer et celui ci devient fou et le fait exécuter. Pourquoi ?

Igal Shamir, son ami du vatican "Alphonse de Morillon" et Eve "faisant partie des services secrets Israélien", traquent les Nazis pour savoir ce qui s'est réellement passé. Apparement tout cela est lié à la disparition d'un compositeur vénitien mystérieusement disparu en 1630.

Ce fabuleux thriller outre sa belle écriture et son suspens, nous replonge dans l'enfer du nazisme.

Cet excellent thriller (polar) comme on voudra est absolument excellent.

Vous pouvez le lire de deux façons : 1) comme un très bon thriller, 2) comme un roman qui nous fait réfléchir.

Je le conseille.

Adanson Marco.

J'ai été à fond dans cette chasse au trésor du début à la fin du livre ! Une autre vision de la période nazie à travers un drame musical.

Si la présentation de l'histoire sur la quatrième de couverture semble des plus prometteuses, celle-ci se dégonfle très rapidement au fur et à mesure des pages pour mon plus grand désarroi.

Je suis vraiment perplexe sur cette lecture. Je ne sais pas quoi en penser. Le coeur du scénario, à savoir l'exécution du violoniste allemand par Hitler, me paraît "trop gros" à avaler, trop irréaliste. L'enquête me paraît plus ressembler à une recherche d'un musicologue qu'à une vraie enquête d'espionnage. Un musicologue qui découvre "fortuitement" la suite... Beaucoup de hors-propos, de décalage, de points incongrus, qui m'ont fait un peu lâcher l'intérêt de l'histoire. L'enquête est lente, sans rythme.

Je salue cependant la bonne qualité de l'écriture de l'auteur. Même si j'ai eu du mal à finir le roman par manque d'intérêt.

Le violoniste Gal Knobel est en danger de mort. Sa tête a été mise à prix par le réseau nazi qu'il a découvert (dans « le violon d'Hitler »). Il échappe à une tentative d'assassinat lors d'un concert, mais un homme est retrouvé mort dans sa loge. La victime est un luthier vénitien qui voulait solliciter son aide pour percer le secret des Stradivarius, le secret du son.

Ce roman est la suite directe du Violon d'Hitler, mais il peut être lu indépendamment. Dans ce nouvel opus, l'enquête de Gal est plus ésotérique : le secret du son va le mener à la recherche du trésor volé du Temple de Jérusalem dont les restes se trouveraient dans les coffres du Vatican.

Lorsque ces coffres sont volés par la Mafia sous les ordres d'un riche oligarque avide de pouvoir, une course contre la montre pour le récupérer est lancée. Gal bénéficiera de l'aide d'une société secrète, sans oublier qu'il doit échapper au tueur qui le vise.

Ce tome comporte plus d'action que le précèdent, l'intrigue est plus posée. J'ai aimé les 2, chacun a son charme. J'apprécie toujours autant la sensibilité du héros et son rapport avec la musique. Je pensais que l'histoire se centrerait sur la traque du tueur à gagnes, comme dans un épisode du Bip Bip et Coyote, mais la partie enquête ésotérique à la « Da Vinci Code » a pris plus d'ampleur, rendant l'histoire beaucoup plus palpitante.

J'aime beaucoup le personnage de Gal, intrépide mais réfléchi (parfois), un héros qui ne sait pas tout, mais qui est un sacré tchatcheur.

C'est vraiment dommage qu'Igal Shamir n'a fait que 3 livres, dont 2 aventures de Gal Knobel. J'ose espérer qu'il nous garde quelques brouillons avec ce personnage en or que j'aurais aimé suivre dans toutes ses aventures !

Un soir de 1940, un violoniste de la Wehrmacht est invité à animer une soirée spéciale avec Hitler et un émissaire américain. Enhardi par le succès de son récital, le musicien fait une demande au Fürer qui, fou de rage, le fait exécuter.

Un enfant est témoin de la scène. Devenu adulte et cardinal au Vatican, il n'a rien oublié et veut percer le mystère. Lorsqu'il écoute le violoniste Gal Knobel jouer la même mélodie, il lui demande de l'aider à découvrir la vérité, car il sait que cet ancien agent du Mossad a les moyens de retrouver les survivants du drame.

J'avais lu du même auteur « La cinquième corde » et j'avais beaucoup aimé les aventures de ce violoniste-espion. Une vingtaine d'années plus tard, l'auteur a pris la plume pour nous raconter une fiction tirée des faits réels et de son vécu.

C'est ainsi que se mêlent plusieurs choses dans cette intrigue complexe comme une poupée russe. Ou comment la quête sur l'assassinat d'un violoniste pendant l'Occupation va dévoiler la disparition inquiétante d'un autre violoniste quelques siècles plus tôt, et percer un réseau d'anciens nazis protégés par une filière du Vatican.

Ce roman parle d'une enquête historique, une sorte de chasse au trésor à la « Da Vinci Code », mais avec un fond musical et violonistique. C'est d'ailleurs ce que j'ai apprécié le plus dans ma lecture : les références et surtout le ressenti du héros, Gal Knobel, son rapport à la musique et sa relation avec ces musiciens assassinés. On a droit aussi à une chasse aux nazis avec des méthodes musclées et une fin qui nous laisse présager d'une suite. La suite existe, d'ailleurs, et je vous conseille vivement de la lire dans la foulée : Via Vaticana

Gal Knobel, virtuose du violon et ancien agent spécialisé dans la traque des nazis, est contacté par le cardinal Alphonse de Morillon, pour effectuer des recherches sur un musicien, Salomone Rossi, mort dans des conditions mystérieuses en 1620.

Cette quête va les conduire à débusquer d'anciens nazis, responsables de la mort d'un violoniste allemand en 1940, ainsi qu'une petite frange du Vatican - complices d'avoir aidé des nazis à fuir en Amérique du Sud à la fin de la Seconde Guerre Mondiale - toujours en activité.

L'auteur, Igal Shamir, violoniste lui-même, nous entraîne dans une histoire palpitante du début à la fin.

Malgré un quatrième de couverture fort attractif, j'ai été déçue par cette lecture. Suspense en yoyo, vitesse du récit à la fois trop rapide et parfois trop floue, style général assez monocorde, personnages à la fois très manichéens et assez mous. Néanmoins, j'ai quand même un peu apprécié le postulat de base, le personnage du cardinal de Morillon et l'approche d'une partie de l'histoire de la musique italienne que je ne connaissais pas.