Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Né le 19 juillet 1972 à Roche-sur-Yon (Vendée/France)
Sébastien Tessier dessine dès son plus jeune âge, et s’initie à la BD vers neuf ans. Il rejoint Jacques Golly à l’atelier «Ma Gomme», et après un bac C obtenu “malgré lui”, il entre à la section Arts Plastiques de la faculté de Bordeaux, sa ville de résidence, avec l’idée de devenir professeur de dessin.
Il décide cependant de vivre de sa passion pour la BD, et rencontre les Éditions Delcourt au salon d’Angoulême en 1994. Un projet cyber-punk voit alors le jour avec Jean-Pierre Pécau pour le scénario, Vincent Rueda pour le design, Stéphane Rosa et Pierre Schelle réalisant quant à eux les couleurs en numérique. Les aventures de Nash Tulsa, paraissent donc dans la collection Série B d’Olivier Vatine et Fred Blanchard.
Damour y révèle son attirance pour la science-fiction et sa grande prédilection pour l’ambiance des mégalopoles surpeuplées et leur faune interlope. Son esthétique graphique est bien sûr inspirée de Blade Runner, mais aussi d’Eraserhead de David Lynch, ou du baroque Phantom of the Paradise de Brian De Palma.
En BD, ses références vont du tandem Jodorowsky/Moebius à Liberatore, en passant par Bernet. Il choisit de signer ses oeuvres du pseudonyme Damour, le nom de jeune fille de sa mère, preuve que contrairement à Nash Tulsa, c’est un grand sentimental.
Premier tome interessant; Dans le même univers que Travis et Carmen Mc Callum, sont présentés les principaux personnages. (Nash Tulsa ancien des forces spéciale). L'intrigue se dévoile peu à peu et indéniablement le suspense prend.
Les dessins sont très largement perfectibles mais restent agréables. à lire
Biographie
Damour (TESSIER sébastien)
Dessinateur
Né le 19 juillet 1972 à Roche-sur-Yon (Vendée/France)
Sébastien Tessier dessine dès son plus jeune âge, et s’initie à la BD vers neuf ans. Il rejoint Jacques Golly à l’atelier «Ma Gomme», et après un bac C obtenu “malgré lui”, il entre à la section Arts Plastiques de la faculté de Bordeaux, sa ville de résidence, avec l’idée de devenir professeur de dessin.
Il décide cependant de vivre de sa passion pour la BD, et rencontre les Éditions Delcourt au salon d’Angoulême en 1994. Un projet cyber-punk voit alors le jour avec Jean-Pierre Pécau pour le scénario, Vincent Rueda pour le design, Stéphane Rosa et Pierre Schelle réalisant quant à eux les couleurs en numérique. Les aventures de Nash Tulsa, paraissent donc dans la collection Série B d’Olivier Vatine et Fred Blanchard.
Damour y révèle son attirance pour la science-fiction et sa grande prédilection pour l’ambiance des mégalopoles surpeuplées et leur faune interlope. Son esthétique graphique est bien sûr inspirée de Blade Runner, mais aussi d’Eraserhead de David Lynch, ou du baroque Phantom of the Paradise de Brian De Palma.
En BD, ses références vont du tandem Jodorowsky/Moebius à Liberatore, en passant par Bernet. Il choisit de signer ses oeuvres du pseudonyme Damour, le nom de jeune fille de sa mère, preuve que contrairement à Nash Tulsa, c’est un grand sentimental.
Afficher en entier