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Don laissa ses doigts remonter le long de la jambe d’Emily alors qu’il passait près d’elle pour attraper un tube de lubrifiant sur la table de chevet, avant de s’assoir sur le lit, entre les jambes écartées d’Emily. Celle-ci ne put se retenir quand elle sentit les doigts de Don remonter le long de ses jambes, elle n’avait pas vraiment conscience de ce qu’elle faisait et jusqu’à ce qu’elle sentisse un frisson de plaisir monter depuis son clito tout gonflé de désir pour se répandre ensuite dans le reste de son corps. Elle baissa le regard pour voir ses propres mains courir vers sa chatte avant même qu’elle puisse en sentir les effets. Don eut un petit rire quand il vit Emily se donner du plaisir sous ses yeux. Cette dernière, pour sa part, ne revenait pas de l’audace dont elle faisait montre sous les yeux de Don. Elle n’avait jamais vraiment apprécié se toucher devant d’autres gens, mais pour une raison ou une autre, elle y prenait maintenant beaucoup de plaisir. Elle pouvait dire que Don appréciait de la voir ainsi et il fut encore plus surpris quand elle lui dit : «Vous appréciez de voir votre esclave se donner du plaisir ? »
Don fut étonné d’entendre Emily parler de la sorte, mais il dissimula sa surprise et répliqua à la place : «Bien évidemment que j’apprécie, mais une bonne petite esclave n’oublie pas de demander la permission avant de se branler.» Sa main frappa la chatte d’Emily, envoyant une décharge de douleur qui se propagea dans son corps, les lèvres de sa chatte demandèrent plus d’attention mais Emily se souvint qu’elle était à lui, et qu’il pouvait user d’elle à sa guise. Elle retira sa main de sa chatte, et, les yeux soudés à ceux de Don, elle articula : «C’est compris, Monsieur. Je suis désolée. »
Afficher en entierComme Emily s’installait dans son siège derrière son bureau, elle était encore surprise d’avoir décroché le poste. La vingtaine et encore étudiante, elle ne pensait pas que quelqu’un voudrait l’embaucher, surtout pas comme l’assistante/secrétaire personnelle d’un homme aussi aisé que Donald ou comme il aimait se faire appeler : Don. Elle avait besoin de cet argent et était plus qu’excitée quand il lui demanda de revenir pour un entretien en tête-à-tête. Elle fut d’autant plus surprise quand elle pénétra dans la pièce, s’attendant à quelque vieux bonhomme bougon, d’être accueillie par Don, un bel homme dans la trentaine. Elle essaya d’ être aussi professionnelle que possible mais ne put empêcher son esprit de remarquer comment ses yeux l’examinèrent, et comme les vêtements sur mesure qu’il portait, dissimulaient mal le fait que bien qu’il soit plus âgé, il passait beaucoup de temps à s’assurer de maintenir son corps dans une excellente condition physique. Lorsqu’Emily s’assit pour l’entretien, elle était persuadée qu’elle allait faire tout foirer et devrait retourner travailler comme serveuse ou envisager de danser pour gagner l’argent dont elle avait besoin pour sa location.
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