Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 689
Membres
1 027 490

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par fleurbleue1983 2015-11-30T13:54:33+01:00

(Jenny à Donna)

- Avant toute chose, il faut que tu saches que Ian est un homme très compétent dans son travail.

C'est aussi quelqu'un de correct, sincère, déterminé. Le fait qu'il appartienne à la noblesse n'est, dans une certaine mesure, qu'un inconvénient pour lui, parce que tout le monde croit que ce qu'il obtient n'est qu'un droit alors que, la vérité, c'est qu'il travaille aussi du que nous tous pour gagner sa vie.

(...)

-Je suis vraiment désolé d'avoir gaché ta soirée (Ian)

(...)

-Et si je la pouvais, je t'embrasserais là, tout de suite, déclare-t-il sans cependant s'approcher.

Afficher en entier
Extrait ajouté par fleurbleue1983 2015-11-30T13:52:00+01:00

Je suis dans un milieu qui n'est pas le mien, dans une robe qui n'est pas la mienne, au bras d'un homme qui n'est certainement pas le mien? Rien de tel pour passer une soirée mémorable !

Afficher en entier
Extrait ajouté par Marie-Olivier 2015-03-26T18:51:26+01:00

Un grand classique : vous pouvez tout critiquer chez un homme, sauf sa voiture. Jamais.

Afficher en entier
Extrait ajouté par lourrrie 2016-07-11T00:33:28+02:00

- Je vous prie d'excuser ma franchise, mais, pensez-vous que ce couple va durer? Me demande le duc.

Non, mais, quel goujat!

-C'est vrai, je pourrai trouver un héritier plus intéressant, dis-je d'un air malicieux.

Afficher en entier
Extrait ajouté par lourrrie 2016-07-11T00:24:51+02:00

-Tu me laisse tout seul ici et je te le fais payer, mentionne-t-il d'un ton menaçant que dément la panique de son regard.

Je me dégage et je me lève d'un bond déterminé.

-La prochaine fois, je te conseille de ne pas me menacer, mais plutôt de me supplier. Ça pourrait marcher.

Afficher en entier
Extrait ajouté par fleurbleue1983 2015-11-30T13:53:59+01:00

Voilà qu'il colle sa bouche contre le mienne sans que j'aie le temps de dire ouf.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Rayathea 2014-09-21T19:33:17+02:00

Je me frotte les yeux en demandant d’une voix rauque de sommeil :

— Pas trop. Quelle heure as-tu dit qu’il était ?

— Dix heures, répond-il en me jetant un regard suspicieux.

Je dois avoir l’air complètement déboussolée.

— Quoi ?

Je suis soudain secouée et parfaitement réveillée.

— Il ne peut pas être dix heures ! dis-je. Je n’ai jamais dormi jusqu’à dix heures de toute ma vie.

— Ben, il est quand même dix heures, rétorque Ian en croisant ses bras sur sa poitrine et en profitant du spectacle.

Je n’ose même pas imaginer l’allure que je peux avoir à cet instant. Sans doute les yeux bouffis de sommeil, les cheveux en bataille, pas de maquillage.

Je me demande comment il se fait que Ian ne se soit pas encore enfui en hurlant. Promis, je ne lui en aurais même pas voulu. Mieux, j’aurais pensé qu’il était intelligent.

— Je ne sais pas si je dois être vexé ou amusé, dit-il en éloignant son visage de ma face.

— Pourquoi ? dis-je en marmonnant et en me redressant dans le lit.

— En général, les femmes font tout pour se montrer sous leur meilleur aspect devant moi, notamment le matin lorsqu’elles se retrouvent dans mon lit, susurre-t-il d’un air chafouin tout en fixant avec insistance l’encolure de mon pyjama.

Classique : à peine suis-je réveillée qu’il est déjà en train de m’agresser. Sans compter que je ne supporte rien l’estomac vide.

— Je vais être claire : ceci est mon lit pour le week-end, et l’allure que je peux avoir avant d’avoir mis le premier pied à terre ne m’importe absolument pas !

— Tu es toujours aussi nerveuse au réveil ?

Je lui lance un regard éloquent, mais il se contente de rire et de continuer à me dévisager.

— Ne te méprends pas, c’est un agréable changement. Sans compter que, sans maquillage, tu as un air nettement plus gamine.

Les hommes pensent-ils réellement qu’il s’agit d’un compliment ?

— Tu veux bien te déplacer pour que j’arrive à sortir du lit ?

Je suis furieuse, mais il ne s’écarte qu’à peine pour que je puisse me lever et me précipiter droit vers la salle de bains.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Rayathea 2014-09-21T19:31:54+02:00

— Vraiment, vous n’avez rien de mieux à débattre dans ce maudit bureau ?

Je me rends compte que j’aurais dû tourner l’affaire en dérision et feindre de ne pas m’y intéresser, mais, je ne sais pas pourquoi, je n’y arrive pas.

— Non, c’est parce qu’il ne se passe pas grand-chose en ce moment. Et puis, tu sais bien que vous faites toujours la une ! m’annonce-t-il.

Ça, je l’avais compris moi aussi.

— Bien sûr que nous faisons la une, et depuis au moins cinq ans, mais dans le sens opposé à ce que vous croyez tous. Nous pourrions nous trucider à force de rivaliser et de nous chamailler !

Là, je crois que je réagis un peu trop furieusement pour lui faire croire que je m’en fiche.

— Oui, mais, tu sais : « Qui aime bien, châtie bien », etc., rappelle George, mine de rien.

On dirait que, ce matin, mon assistant s’est levé dans la peau de Sigmund Freud soi-même ! Je lui jette un regard capable de geler sur place les pingouins du pôle Sud (qui, comme chacun sait, sont en fait des manchots) et George capte enfin qu’il est grand temps de changer de sujet.

Afficher en entier
Extrait ajouté par RachelleFaul 2023-07-12T21:15:25+02:00

L'espace d'une seconde, je me retrouve sur le torse nu de Ian en lâchant un gémissement de pure stupeur.

- Que fais-tu ?

Je suis plutôt terrorisé de ma réaction que de sa proximité.

- Chhhuuut, se contente-t-il de dire en me rapprochant de lui.

- Ian, tu dois me prendre pour quelqu'un d'autre, dis-je en essayant de me dégager.

Pour un type dans le coma, il a une poigne de fer.

Afficher en entier
Extrait ajouté par COMETE_LC 2022-07-17T14:57:57+02:00

« Neuf ans.

— Mon Dieu ! Neuf ans, c’est beaucoup ! Si je peux me permettre, quel âge as-tu ?

Elle a l’air bien décidée à me blesser à tous les coups.

— Bien sûr, pas de problème. J’ai trente-trois ans, dis-je d’un ton serein.

Après tout, je n’ai aucun problème avec mon âge.

— Et tu n’es toujours pas mariée ?

Là, l’intonation me paraît un peu trop alarmiste.

Aussitôt, Ian réprime un éclat de rire qui se transforme en toux. Je lui lance un regard furieux tout en constatant qu’il en a les larmes aux yeux.

— Non, jamais mariée.

— À ton âge, j’espère que je serai mariée ou au moins que je l’aurai déjà été une fois, nous explique la future douairière.

— Je ne suis pas du genre à me marier, dis-je sans perdre mon calme.

De toute évidence, la nouvelle bouleverse Elizabeth, au point que son père se sent obligé de s’empresser de la rassurer.

— Bien sûr que tu te marieras, ma chérie, affirme-t-il en réussissant cependant seulement à lui faire reprendre, en partie, ce sourire vide qu’elle avait auparavant »

Extrait de 

Je déteste tellement t’aimer !

Anna Premoli

Ce contenu est peut-être protégé par des droits d’auteur.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode