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Résumé
Après le poignant "Mauvaises Herbes" (2018), prix spécial Bulles d’Humanité 2019, Keum Suk Gendry-Kim revient avec une libre adaptation de "L’Arbre nu", célèbre roman coréen de Park Wan-seo (1970). Sur fond de guerre de Corée, un album d’une grande sensibilité, à ne pas manquer.
Séoul, 1951. La jeune Kyung travaille dans le Post Exchange (PX), le magasin de fournitures de l’armée américaine, dans lequel les GI’s achètent des produits de consommation courante, mais aussi des souvenirs à ramener à leur famille ou à leur fiancée. Kyung y tient le stand de peintures sur soie : elle reçoit les commandes de soldats qui veulent le portrait de leur petite amie sur « un foulard en soie traditionnel ». Des peintres payés à la pièce réalisent ces portraits sur des carrés de viscose bon marché, à partir de photos que leur laissent les clients. Kyung passe de longues journées à appâter le chaland et à gérer le mécontentement des soldats qui ne trouvent pas le portrait achevé suffisamment ressemblant.
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