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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:09:15+02:00

– Ce processus, dis-je, est basé sur l'hypothèse que lorsque vous avez éliminé tout ce qui est impossible, il ne reste plus que la vérité, quelque improbable qu'elle paraisse. Il arrive que plusieurs explications s'offrent encore à l'esprit ; dans ce cas on les met successivement à l'épreuve jusqu'à ce que l'une ou l'autre s'impose irrésistiblement. Appliquons ce principe à l'affaire en cours. Dès le départ, je distinguai trois explications possibles de la réclusion ou de la ségrégation de ce gentleman dans un pavillon du domaine paternel. Il y avait l'explication qu'il se cachait en raison d'un crime commis, il y avait aussi l'explication qu'il était devenu fou et que l'on cherchait à lui épargner l'asile ; il y avait enfin l'explication qu'il était atteint d'une certaine maladie qui l'obligeait à vivre à part. Je ne pouvais pas envisager d'autres solutions possibles. J'avais donc à les examiner de près et à les peser l'une après l'autre.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:09:04+02:00

« As-tu besoin que je t'en dise davantage, Jimmie ? Je crois qu'en prévision de la bataille, tous ces pauvres diables avaient été évacués la veille. Puis, comme les Anglais avançaient, ils avaient été emmenés encore plus loin par leur médecin-chef. Celui-ci m'assura que, bien qu'il se crût immunisé contre la lèpre, il n'aurait jamais osé faire ce que j'avais fait. Il m'installa dans une chambre particulière, me traita avec bonté ; huit jours après j'étais évacué sur l'hôpital général de Pretoria.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:08:53+02:00

– Voilà pourquoi je ne vais pas au-devant des visiteurs, reprit-il. Je ne t'en veux pas, Jimmie, mais j'aurais préféré te voir sans ton ami. Je suppose que tu avais une bonne raison ; seulement tu me prends au dépourvu.

– Je voulais être sûr que tout se passait bien pour toi, Godfrey. Je t'ai reconnu, la nuit où tu es venu regarder par la fenêtre, et je ne pouvais pas rester en paix avant d'avoir éclairci le mystère.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:08:42+02:00

Le colonel Emsworth n'était pas dans sa chambre, mais au reçu du message de Ralph il ne tarda pas à arriver. Nous entendîmes son pas vif et pesant dans le couloir. Il ouvrit la porte brusquement et il se rua dans son bureau avec la barbe en bataille et le visage tordu de passion : jamais je n'avais vu de vieillard si terrible ! Il tenait à la main nos cartes de visite ; il les déchira en mille morceaux.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:08:33+02:00

Les récits de Watson ont sans doute accoutumé le lecteur au fait que je ne gaspille pas mes mots et que je ne dévoile pas mes plans tant qu'une affaire n'est pas réglée. Dodd parut surpris, mais ne dit rien, et tous trois nous poursuivîmes ensemble notre voyage. Dans le train, je posai à Dodd une question dont je désirais qu'elle fût entendue par notre compagnon.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:08:14+02:00

« Le vieux bonhomme m'a lancé un regard diabolique, et j'ai cru qu'il allait me sauter dessus. Je vous l'ai dépeint comme un vieux géant tout en os ; bien que je ne sois pas une mauviette, j'aurais eu du mal à lui tenir tête. Après un dernier regard furieux, il a pivoté sur ses talons et il a quitté ma chambre. Pour ma part, j'ai pris le train de huit heures et demie, avec l'intention d'aller tout droit chez vous et de solliciter conseils et assistance.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:08:06+02:00

– Maintenant que vous m'y faites penser, il n'était pas d'un grand format. C'était peut-être le Spectator. Mais j'ai eu peu de temps à perdre pour de tels détails, car un deuxième homme était assis le dos à la fenêtre, et j'aurais juré que ce deuxième homme était Godfrey. Je ne distinguais pas son visage, mais je connaissais suffisamment la courbure de ses épaules. Il s'appuyait sur son coude dans une attitude de grande mélancolie, le corps tourné vers le feu. J'étais en train de me demander ce que je devais faire quand on m'a tapé brusquement sur l'épaule : le colonel Emsworth était à côté de moi.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:07:51+02:00

« Il y avait plusieurs petites dépendances ; mais au bout du jardin se dressait un bâtiment isolé assez important, assez grand pour servir de résidence à un jardinier ou à un garde-chasse. Ne serait-ce pas sa porte que j'avais entendue ? Je me suis approché d'un air désinvolte comme si je faisais le tour du domaine. Sur ces entrefaites, un petit homme barbu et alerte en habit noir et chapeau melon (pas du tout le type jardinier) est apparu sur la porte. A mon étonnement, il l'a refermée derrière lui, à clé, et il a mis la clé dans sa poche. Puis il m'a dévisagé non sans surprise.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:06:03+02:00

« Vous devinez, monsieur Holmes, dans quel état d'esprit je suis retourné à mon fauteuil. La phrase du vieillard ne me semblait pas offrir beaucoup d'explications. D'évidence, mon pauvre ami avait été impliqué dans une affaire criminelle, ou du moins infamante, qui mettait en cause l'honneur de la famille. Le colonel avait fait partir son fils pour le cacher au reste du monde de peur qu'un scandale n'éclatât. Godfrey était assez aventureux. Il se laissait facilement influencer par son entourage. Sans doute était-il tombé entre de mauvaises mains qui l'avaient entraîné. Sale affaire dans ce cas ! Néanmoins, mon devoir me commandait de le retrouver, de l'aider. J'étais en train de réfléchir quand j'ai tourné la tête : Godfrey Emsworth est apparu devant moi…

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-23T17:05:53+02:00

« J'étais donc dans une impasse, monsieur Holmes. Il n'y avait pas moyen d'en sortir. Je ne pouvais qu'accepter la situation et faire en mon âme et conscience le serment que je n'aurais pas un moment de repos avant que ne soit éclairci le mystère relatif au destin de mon ami. La soirée a été terne. Nous avons dîné tous les trois tranquillement dans une vieille pièce lugubre, mal éclairée. La dame m'a avidement questionné au sujet de son fils, mais le colonel semblait morose, triste. Cette discussion m'avait tellement contrarié que je me suis excusé dès que la décence me l'a permis, et je me suis retiré dans ma chambre. C'était une grande chambre nue au rez-de-chaussée, aussi sinistre que le reste de la maison ; mais quand on a dormi une année sur le veldt, monsieur Holmes, on n'est pas trop chatouilleux pour son billet de logement. J'ai ouvert les rideaux et j'ai contemplé le jardin : la nuit était magnifique avec une demi-lune bien nette. Puis, je me suis assis auprès du feu, la lampe à côté de moi, et je me suis efforcé de me distraire avec un roman. Ma lecture a été toutefois interrompue par le vieux Ralph qui venait me porter une provision de charbon.

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