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Extrait ajouté par anonyme 2023-05-16T06:41:15+02:00

"Je pense que vous avez choisi de ne pas comprendre. Les communistes n'avaient pas vraiment tort,. Pas sur ce point, en tout cas. Leur problème, comme le vôtre, d'ailleurs, était l'hypocrisie. Mais en ce qui concerne la souffrance et l'injustice, ils avaient raison. Ce que nous faisons aujourd'hui est une injustice... destinée à en masquer une autre. En termes de vraies valeur, l'Ouest aussi est en faillite. Vous être cupides, égoïstes ; seuls vous intéressent le pouvoir et l'argent, et vos hommes politiques encouragent vos vices. toute la beauté de votre civilisation appartient au passé. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Des chanteurs rock, des hamburgers et des boissons gazeuses. Il y a plus de visiteurs à Disneyworld qu'au Louvre. Et maintenant, vous n'avez plus d'ennemi pour vous aiguillonner. Attendez un peu, et vous verrez. Rosewicz n'est pas le dernier des barbares. Il y en a d'autres. Tapis dans leur coins... pour le moment..."

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-07T14:56:39+02:00

Il ne revécut pas sa vie en éclaire. Il ne songeait pas aux êtres qu'il avait aimés - Caitlin, Siobahan, Maria. Seules des pensées triviales l'habitaient : des aliments auxquels il n'avait pas goûté, des films qu'il n'avait pas vus, des livres qu'il n'avait pas rendus à la bibliothèque. Une main saisit la sienne. De Galais l'invitait à garder son calme.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-06T13:35:31+02:00

Jack alla directement à la Deutsche Bank. Quarante minutes plus tard, après avoir satisfait au exigences du sous-directeur de la succursale, il en ressortait plus riche de dix mille livres.

Muni de son pactole, il entra dans un magasin et s'acheta l'indispensable : du linge de rechange, un anorak, une ceinture portefeuille pour mettre sa petite fortune à l'abri et un sac à dos. Un coursier se chargea de rapporter le manteau, les dix livres et une lettre de remerciement à l'employé de l'ambassade tandis que Jack prenait le premier train pour le sud.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-05T13:29:39+02:00

"Je pense que vous avez choisi de ne pas comprendre. Les communistes n'avaient pas vraiment tort,. Pas sur ce point, en tout cas. Leur problème, comme le vôtre, d'ailleurs, était l'hypocrisie. Mais en ce qui concerne la souffrance et l'injustice, ils avaient raison. Ce que nous faisons aujourd'hui est une injustice... destinée à en masquer une autre. En termes de vraies valeur, l'Ouest aussi est en faillite. Vous être cupides, égoïstes ; seuls vous intéressent le pouvoir et l'argent, et vos hommes politiques encouragent vos vices. toute la beauté de votre civilisation appartient au passé. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Des chanteurs rock, des hamburgers et des boissons gazeuses. Il y a plus de visiteurs à Disneyworld qu'au Louvre. Et maintenant, vous n'avez plus d'ennemi pour vous aiguillonner. Attendez un peu, et vous verrez. Rosewicz n'est pas le dernier des barbares. Il y en a d'autres. Tapis dans leur coins... pour le moment..."

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-04T11:48:19+02:00

Puis, lorsque je suis allée à Rome pour la première fois, j'ai été contactée par un agent des services secrets britanniques. Quand je l'ai rencontré, je ne savais pas qui il était, bien entendu. Ces gens ne se présentent pas, en général. Personne ne s'approche de toi dans la rue en te disant : "Salut, j'appartiens au MI 6, je m'appelle Brown". Nous nous sommes rencontrés apparemment au hasard, et nous avons sympathisé. Je ne me rappelle pas comment nous en sommes venus à aborder le sujet de la Ligue. Il a semblé surgir par hasard, lui aussi. Mais je suis certaine que tout avait été soigneusement préparé. Mon ami m'a raconté des choses que j'ignorais, sur les agissements de la Ligue pendant la guerre. Comme je refusais de le croire, il m'a proposé de me présenter quelqu'un qui m'en dirait plus, et qui me prouverait ce qu'il avançait. Ils ont fini par me convaincre, mais j'ai refusé de travailler pour eux. Ils voulaient des renseignements sur mon père, sur ses activités au sein de la Ligue. Ils m'ont affirmé que mon père était l'un des principaux pourvoyeurs de fonds de la Ligue. Ca non plus, tout d'abord, je ne l'ai pas cru. Comment mon père aurait-il pu être si intimement mêlé à une organisation aussi monstrueuse ?... C'est alors, poursuivit-elle après avoir marqué une pause, que j'ai épousé Karl".

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-03T14:03:13+02:00

Rosewicz était déjà un amateur éclairé en matière d'études bibliques. Son frère l'envoya en Pologne, pour examiner le manuscrit avec Gierek. Il le considéra, lui aussi, comme authentique, et l'évêque en parla avec ses amis du Vatican. Vous pouvez imaginer leur excitation. Mais, bien vite, quelqu'un fit remarquer qu'une telle découverte était à double tranchant. Il fallait gagner du temps, et garder la maîtrise du manuscrit. Ils ordonnèrent au frère de Rosewicz de s'assurer le silence de Gierek et de rapporter le document à Rome aussi rapidement que possible.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-03T04:46:43+02:00

Jack n'essayait même pas de comprendre ce qui lui arrivait. Il ne savait qu'une chose : il allait faire un bon dans l'inconnu, pour y trouver soit la mort, soit la liberté. Ils savaient presque atteint la grille lorsqu'une pensée effroyable lui vint à l'esprit ; et si maria, même en toute innocence, travaillait pour Irina Kossenkova ?

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-02T16:44:49+02:00

Le repas était excellent. Mme Nagle, qui se débrouillait déjà très bien à Baltimore, se surpassait à Paris. Elle disposait d'un budget illimité, adorait fureter dans les magasins du quartier, et dénicher des produits rares qu'elle accommodait à sa façon. Elle réussissait ainsi de petits miracles de grâce et d'équilibre, qui n'auraient pas déparé dans les meilleurs restaurants de la capitale.

Etant donné la qualité des mets, des vins - choisis dans la cave de Philip Thustrup, rue Laugier : un romanée-conti très rare, un lafite-rothchilds 1922 et enfin un château-yquem 1937 - et l'esprit malicieux du cardinal, la soirée ne pouvait être que cordiale. Jack mangea peu et s'autorisa un seul verre de romanée-conti. Le porto qui fut ensuite servi datait de 1871, et Jack eu du mal à refuser d'y goûter.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-04-01T09:40:10+02:00

Personne n'a envie de s'en souvenir. Proposez vos histoires à la Soviethish Heymland, ils vous publieront. Et quand je leur réponds que j'écris en russe, pas en yiddish, ils font les étonnés. Et puis, il y a l'objection majeur : "La Russie à surtout besoin d'unité. Tout a éclaté, les Républiques ont fait sécession, cette désintégration ne peut pas continuer. Le séparatisme juif menace l'unité russe. Vos romans sont trop cosmopolites. "Je leur réponds que je n'écris pas sur le séparatisme, que je suis Russe, comme eux, un patriote. Mais ils secourent la tête d'une air navré et me disent : "Regardez le nombre de juifs qui quittent la Russie pour Israël".

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Extrait ajouté par anonyme 2018-03-31T17:45:56+02:00

Le soir même, Jack essaya de téléphoner à Summerlawn. La ligne ne fonctionnait apparemment pas. Il demanda le numéro par les réclamations, mais on lui signala qu'il n'était plus attribué. On ne pouvait lui dire depuis quand.

Cette nuit-là, Jack rêva de Maria, et décida, sans en comprendre la raison, d'aller à Summelawn. Peut-être apprendrait-il quelque chose sur place. Son père commençait à récupérer, et des amis à lui venaient déjeuner. Jack promit d'être de retour le lendemain au plus tard.

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