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Extrait ajouté par lilourose440 2017-02-24T17:18:00+01:00

"Perdu dans une myriade de sensations, John plaqua le corps de Nolwen contre le miroir de la salle de danse. La flamme d'excitation qui brillait dans ses yeux l'incendia littéralement.

- Redoutable enchanteresse, susurra-t-il contre sa bouche.

Grisée par le désir qui s'épanouissait dans ses veines, Nolwen se rapprocha un peu plus de lui et fit naître de tous petits baisers le long de sa mâchoire.

- Depuis le temps que je rêvais de faire ça…

- Tu rêves de moi ? demanda-t-il d'une voix rauque "

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Extrait ajouté par lilourose440 2017-02-24T17:17:35+01:00

"Est-ce que ça va ? s'inquiéta-t-elle soudain.

- Je crois que cela n'ira pas tant que je n'aurai pas fait ça...

Avec précaution, il posa une main malhabile dans le creux de ses reins.

« Oh ! »

- Ne me résiste pas, murmura-t-il doucement."

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Extrait ajouté par anonyme 2015-11-13T15:32:00+01:00

- Quoi ? Tu ne la trouves pas séduisante ? insista Bruno.

- Si… bien sûr que si… s’agaça Dardel. Mais tu parles de mon infirmière et…

Si Dardel avait pu tuer quelqu’un avec ses yeux, Bruno serait étendu raide mort.

- Tu as des vues sur elle ? l’interrogea Bruno.

- Quoi ? Non…

- Arrête de me prendre pour un idiot. J’ai vu comment vous vous mangiez du regard.

- Tu délires...

- Ouais, c’est ça ! Tu as envie de te la pécho mon gars… dégaina Bruno en lui donnant un coup de serviette sur les fesses.

- Arrête de parler comme ça, j’ai l’impression d’entendre mon frère.

- On parle de moi ? s’invita Martin.

- Quand on parle du loup...

- Putain, frangin... Je viens de voir ta copine... Mamamia ! Elle est plutôt canon dans sa petite tenue de sport, enchaîna-t-il en se jetant sur le lit défait de John.

- Ce n’est pas ma copine !

- Pas à moi frangin, se moqua Martin en souriant de toutes ses dents, calant ses bras derrière la tête.

- Martin, grogna Dardel.

- Quoi ? Faudrait penser à faire moins de bruit… Oh oui… prends moi ! mima Martin en soulevant ses hanches.

- Martin !

- Sans déconner, tu pourrais te montrer reconnaissant et nous dire merci, on a été obligé d’emmener le petit jouer dehors, tellement vous étiez expressifs.

- Sérieux ? T’es déjà passé à l’offensive ? s’indigna Bruno.

- Vous me faites chier, tous les deux. Je n’ai rien à vous dire.

- Non, non, non, ne compte pas t’en tirer comme ça... Va falloir tout déballer à tonton Bruno.

- Je suis marié bordel et c’est mon infirmière… On n’aurait pas dû...

- T’es pratiquement divorcé et ta femme se tape ton meilleur pote. Alors ne compte pas sur nous pour t’encourager à te trouver une excuse.

- Je suis d’accord avec ton frère, assura Bruno. Mais si je comprends bien, il faut que je me trouve une autre copine ?

- Il vaudrait mieux, finit par lâcher Dardel en se frottant le front.

- Yeah ! Mon frère est dans la place, s’écria Martin en checkant Bruno d’une tape dans la main.

- Arrête tes conneries et bouge tes fesses de mon lit, veux-tu ?

- Oh oui, vas-y… plus fort !

- Mais dégage !

Dardel saisit un coussin et l’envoya dans la figure de son frère. Martin était sur le point de répliquer quand Marguerite entra.

- On ne frappe pas un handicapé, cria Dardel, avant de se prendre le coussin en pleine tête.

- Handicapé mon cul, oui !

- Les garçons, vous n’avez pas un peu fini ? On dirait des adolescents en pleine crise hormonale, s’indigna-t-elle. Et pour votre information, je refuse de revivre cette période. Rangez-moi cette chambre ! ordonna-t-elle.

- Mais…

- Bruno, viens me rejoindre dans la cuisine, je t’ai préparé une assiette avec un bout de tarte aux myrtilles.

- Et nous ? s’écrièrent Martin et John en même temps.

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Extrait ajouté par MarieclaireP 2014-10-02T17:40:20+02:00

La vie n'est pas d’échapper à la tempête mais de danser sous la pluie...

SUR MA PEAU DE KRIS T.L

Fermant les yeux, elle s’allongea sur son lit sans prendre la peine d’ôter ses vêtements.

La journée avait été riche en émotions. Le matin même, elle avait quitté sa région pour filer vers l’inconnu. Et cet inconnu avait à présent un visage… « Dardel ! »

Un visage taillé à la serpe, agrémenté d’une légère fossette au menton, de cheveux bruns parsemés de mèches en épi.

Sa carrure malgré tout imposante, avait frémi au contact de ses doigts. Elle s’était figée en sentant son corps se tendre quand elle avait touché ses cicatrices.

La greffe était effectivement une réussite et la chirurgie réparatrice avait amélioré incontestablement l’hypertrophie cicatricielle au niveau du cou.

- Il ne devrait plus subir d’interventions, lui avait dit Bruno.

Elle n’avait pas pour habitude de s’épancher sur le sort de ces patients, elle était professionnelle et savait prendre du recul, mais celui-ci avait dû vivre un véritable enfer, songea-t-elle en repensant à ses cicatrices.

L’affection que ressentait son personnel à son encontre n’était pas feinte. Ces gens l’aimaient et le respectaient. Cela ne faisait aucun doute, alors pourquoi tant de colère ? se demanda-t-elle. Sa situation était difficile, mais il avait la chance d’être là… en vie.

« Oh non ! »

Elle ferma les yeux en sentant une pointe de douleur enserrer son cœur, il ne fallait pas qu’elle parte sur ce terrain glissant.

Marcello s’était proposé de l’accompagner pour faire quelques achats le lendemain. Si la fatigue ne l’avait pas assaillie, elle se serait sûrement relevée pour préparer une liste afin de ne rien oublier.

…Mais les bras de Morphée l’accueillirent et l’enveloppèrent avant même qu’elle n'eut le temps de compter jusqu’à dix.

Dardel était assis sur le lit, à l’attendre. Son regard vert émeraude était chaud comme un soleil d’été. Ses cheveux bruns retombaient sagement sur le haut de son front. Son sourire éclatant lui réchauffa instantanément le cœur alors qu’il l’accueillait d’une voix suave.

- Tu viens t’occuper de moi ?

« T’occuper de moi. » Ces mots sonnaient comme une invitation.

Elle s’avança doucement, son regard s’attardant sur sa musculature. Il était divinement beau, le teint hâlé, le pantalon de son pyjama tombant négligemment sur le bas de ses hanches. La cordelette finement attachée ne demandait qu’à céder sous la pression de son sexe tendu.

Elle gémit au contact de sa main sur son poignet, et ne put retenir un cri quand il l’attira et la fit tomber sur le lit.

- Ne me résiste pas, souffla-t-il contre son oreille.

Il passa une main dans sa chevelure soyeuse. L’envie dévorante qu’il lui inspirait eut raison du peu de volonté qu’elle aurait voulu montrer à son égard.

Il la fit pivoter et sans résistance, elle se retrouva coincée entre son corps chaud et le matelas. Elle poussa un long soupir, se cambrant un peu plus pour aller à sa rencontre. Il était fort, viril.

- Je vous en prie, murmura-t-elle. Je vous promets de faire tout ce que vous me demanderez…

- Tout ce que je désire ?

- Absolument tout…

L’éclat de son sourire la fit vaciller.

- Je suis fou de vous.

- Oh… souffla-t-elle en sentant sa main enserrer son sein.

Cette réponse primitive ne fit qu’accentuer l’excitation de Dardel qui, sans préambule, lui retira son chemisier en soie. Elle sentit ses doigts s’immiscer dans le carcan de son soutien-gorge en dentelle pour en caresser l’auréole. Le contact de son pouce provoqua un durcissement instantané de la pointe de ses seins. Avec une infinie douceur, il vint déposer un baiser sur le dessus de cette chair tendue qu’il effleura du bout de sa langue. Quand une onde ardente enflamma ses veines, Dardel baissa ses mains le long de son corps pour remonter sa jupe et ne put retenir un grognement en sentant la chaleur de sa peau sous ses paumes.

Bouleversée, elle plaqua son corps un peu plus contre le sien et ferma les yeux. Sa tête basculée en arrière, ses mains sur les épaules nues de Dardel. Elle put sentir la fermeté de ses muscles lorsque ses doigts entrèrent en contact avec les cicatrices qu’il avait sur le haut du dos.

- Qu’est-ce que vous faites ?

Le ton de sa voix se fit tranchant, sans appel.

- Désolée, balbutia-t-elle.

Elle se réveilla en sursaut, le corps en sueur, la bouche sèche. Son cœur tambourinait si fort, qu’il lui donna l’impression de sortir de sa poitrine.

- Putain ! marmonna-t-elle en se frottant les yeux, assise en tailleur au milieu du lit.

« T’es vraiment pas bien, ma pauvre fille ! »

Elle finit par se lever, sans grand enthousiasme. Il faisait encore nuit, mais la lueur de la pleine lune illuminait la pièce.

- Il faudrait que j’achète des rideaux, se dit-elle en plissant les yeux, tout en se rapprochant de la baie vitrée, où elle se retrouva une nouvelle fois happée par la vue.

- Quelle claque ! murmura-t-elle en relevant la splendeur de cette mer moutonneuse dont l’écume dansait devant ses yeux. La tête posée contre la vitre, elle ferma ses paupières.

L’impact sensuel de ce rêve venait d’éveiller en elle une partie qu’elle croyait morte à jamais. Le désir urgent qui s’était formé au creux de ses reins la bouleversait, car depuis Guindal, Nolwen n’avait plus jamais éprouvé un tel sentiment de désir pour un homme.

« Même pas en rêve... »

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