Elyse Charbonneau

Un excellent livre. A lire!

Un excellent suspens! Avec une fi à couper le souffle! Je le recommande grandement !

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Souvent, nous lisons les livres d'un auteur de façon chronologique. Avec Elyse Charbonneau c'est plutôt le contraire qui s'est produit pour moi.

J'étais fébrile d'entamer cette lecture dès le moment où le livre s'est retrouvée entre mes mains. Pourquoi ? Parce qu'imaginez-vous donc que derrière chaque porte de ce long couloir blanc, se trouve différents univers cauchemardesques inspirés des rêves de l'auteure. Un accès VIP dans la tête d'un auteur endormi ... c'est clair que mon intérêt est suscité ici. Mon emballement fut encore plus grand après avoir refermé Un pied dans chaque tombe.

Laissez-moi vous dire que cette chère Elyse a des rêves assez troublants. Ouf!

J'ai bien aimé se recceuil.

Je ne suis pas familière avec les recceuil de nouvelle j'ai voulu le lire d'une traité mais je trouver sa lourd a la longue toujours se remette dans une ambiance d histoire différente j'ai fait une pause avec une autre lecture et est revenu le terminer après plusieurs jour .. très bon livre j'y découvre plusieurs auteur super intéressant que me donne le goût d'explorer un peu plus leur écriture

Fuyant son passé, Hugo se retrouve transféré sur une île-prison au beau milieu de nul part. Or, sa nouvelle affectation est loin d’être le dépaysement souhaité. Entre de nouveaux collègues aussi aimables que des portes de prison (hé hé), d’étranges détenus et une cave interdite d'entrée à tous, l'atmosphère se veut étouffante. Atmosphère qui se veut d'ailleurs bien servie par un sens de la description physique chez Élyse Charbonneau qui participe à l'instauration de cette ambiance lourde.

La prison nous réserve quelques surprises, notamment un virage brutal vers le fantastique, qui sera également l’occasion de nous offrir un panel de flashbacks (donnant au roman un aspect “anthologie horrifique” appréciable) aux atrocités certes inspirées, mais pêchant en revanche sur la forme. Un relâchement au niveau du style qui se poursuivra malheureusement (à mon humble opinion) jusqu’aux toutes dernières lignes.

C’est dommage.

D’autant plus que niveau fond, La prison cachait encore quelques belles surprises dans sa manche, avec des ambitions qui se voulaient clairement jusqu'au-boutiste pour clôturer cette histoire comme il se doit.

Il était une fois… non, non. Il était… sept fois, sept auteurs qui ont écrit sept nouvelles basées sur sept histoires vraies. Sérieusement, j’en ai eu des frissons dans le dos!

C’est lors du dernier Salon du livre clandestin que je me suis procurée ce bouquin à l’entrée. J’étais curieuse et puisque j’aime bien encourager les auteurs de mon petit coin de pays, je n’ai pas hésité longtemps avant de l’acheter.

Et puis, je savais que j’allais sortir de ma zone de confort en lisant ce livre et je peux vous confirmer que ce fut effectivement le cas. Certaines nouvelles m’ont laissé voir une telle noirceur de l’être humain que ça fait peur. J’ai de la difficulté à imaginer que de tels événements ont eu lieu. J’ai bien aimé retrouver à la fin de chaque nouvelle, les liens et les preuves que les événements ont bien eu lieu.

Malgré le côté sombre et glauque de ce recueil, je dois saluer le talent des auteurs pour avoir su mettre ces événements véridiques sous un angle aussi réalistes et qui m’a permis de ressentir une panoplie d’émotions. J’écris cette chronique et je revois dans ma tête toutes les images qui me sont venus en lisant le bouquin.

Je suis bien heureuse d’être sortie de ma zone de confort. J’ai découvert des auteurs de talent et qui m’ont donné le goût d’aller voir ce qu’ils ont écrit en dehors de ce recueil. Voilà une des raisons pour lesquelles j’adore lire des recueils de nouvelles. On y découvre toujours de jolies pépites d’or!

J’ai acheté ce livre afin de connaître cette auteure que j’avais vue sur les réseaux. Je n’étais donc pas sûre de ce que j’allais découvrir, mais le résumé m’inspirait. Je dois dire que j’ai terminé le roman avec une grosse exclamation de stupéfaction, je ne m’attendais pas du tout à ça et j’ai été agréablement surprise. Je te lève mon chapeau Élise, c’est mission accomplie, je suis conquise. J'ai eu un coup de coeur pour ce livre.

On apprend à connaître Caroline, la protagoniste de l’histoire tout au long de sa mésaventure dans ce corridor de l’enfer. J’ai été hypnotisée dès les premières pages et je n’ai pu m’arrêter avant la fin. L’intrigue est très soutenue et je voulais savoir où tout cela allait nous mener. J’ai aussi adoré voir l’évolution du personnage, nous avons droit à un remarquable cheminement personnel.

Je termine en disant que généralement j’aime moins les livres courts puisque souvent il manque un petit quelque chose, mais ici ce n’est vraiment pas le cas, tout est là et c’est juste excellent. J’ai bien hâte de lire le deuxième tome.

Après avoir lu deux nouvelles d’Elyse Charbonneau (Le voleur de jouets et La maison des naissances) et l’avoir rencontré lors des salons du livre, j’étais curieuse de découvrir sa plume plus en profondeur et surtout de découvrir un livre d’horreur écrit par une femme. Je ne sais pas pourquoi j’associe ce genre littéraire aux hommes. Bref, laissez-moi vous dire que j’en ressors à la fois surprise et conquise.

En premier lieu, si vous me suivez sur mon blogue depuis quelque temps, vous savez que je suis une grande froussarde. J’ai peur de mon ombre ou presque! Malgré ma peur, elle ne m’empêche pas d’oser sortir de ma zone de confort. Eh bien, là je suis vraiment sortie de ma zone doudou et pas qu’un peu!

Évidemment, étant un livre d’horreur, je m’attendais à certaines scènes un peu glauques. À ce point? Pas vraiment, mais en même temps je dois avouer que la description des scènes m’a parfois donné des frissons dans le dos et pourtant, je trouve que l’auteure a su inclure ces scènes aux bons endroits au sein de l’intrigue. De plus, malgré certains détails assez morbides, je trouve que le tout était bien dosé et avait amplement sa place.

Qu’en est-il des personnages? J’ai pris plaisir à détester la plupart d’entre eux. Ce n’est pas des prisonniers au sein d’une prison à sécurité maximale qui vont venir me charmer! Quant à notre protagoniste, ce cher Hugo, je l’ai trouvé sympathique dès le début du roman et je ressentais une certaine empathie pour la perte de sa fiancée. Pourquoi se retrouve-t-il sur cette île au sein de cette prison morbide et singulière? Faudra lire le livre pour le découvrir!

J’ai terminé le roman avec pleins d’interrogations et je dois avouer que je regrette de l’avoir lu aussi rapidement. Il était trop court ce roman. J’en aurais pris encore un peu plus. Heureusement, j’ai en ma possession la suite! Finalement, je peux affirmer que j’ai bien aimé ce roman d’horreur. Oui, oui! La plume de l’auteur et la structure du roman cadrait à merveille avec l’intrigue et les personnages. Je suis bien heureuse d’avoir une nouvelle auteure chouchou dans mon répertoire québécois!

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La grande froussarde que je suis est sortie de sa zone de confort avec ce roman, mais pas qu’un peu! Déjà j’étais surprise par son roman La Prison, voici donc la suite. Et disons que cette fois-ci, l’auteure a pris énormément de plaisir à faire tomber ses personnages dans la pure folie.

Afin de mieux comprendre le personnage d’Hugo et de ses multiples personnalités qui vivent au sein de sa tête, l’auteure revient sur le passé de notre protagoniste. Nous avons la chance de le connaître dès l’enfance et de pouvoir constater l’évolution de sa personnalité.

Au cours du récit, j’ai pu constater qu’Hugo a réussi à enfermer ces multiples personnalités et à vivre une vie complètement normale pendant une certaine période. Jusqu’au point de rencontrer la femme de sa vie et de vouloir la marier. C’était trop beau pour continuer ainsi. Il a fallu un événement hors norme pour que les multiples personnalités réussissent à démolir le mur qu’Hugo avait réussi à construire pour les enfermer dans un petit coin de sa tête.

Après tant d’années enfermées, les personnalités ont bien envie de s’en donner à cœur joie pour reprendre le temps perdu et ce n’est pas long que Carl décide de prendre toute la place. Et sérieusement, je ne me souviens pas d’avoir rencontré un personnage aussi cynique, narcissique et psychopathe au cours de mes lectures. J’en reviens pas à quel point, Carl perd totalement le contrôle et va embarquer autant dans cette folie qu’il a en lui. Je ne verrai plus le jeu Battleship sous le même angle. Je crois qu’il est maintenant associé à Carl!

Certaines scènes ne sont carrément pas conseillées pour les cœurs sensibles. J’ai dû reposer le livre à quelques reprises. Cette fois-ci, Élyse Charbonneau semble avoir tout donné pour que nous soyons envahis par la folie et l’horreur. Il n’y a aucune limite ou presque. C’est un livre parfait pour ce mois d’octobre où l’horreur et le fantastique sont mis en valeur en raison de l’Halloween. Malgré mes frissons de dégoût, je ne regrette pas du tout cette lecture.

Finalement, je vais rester marqué par ce roman et l’écriture de l’auteure qui est très imagée, ce qui rend cela encore plus difficile pour la froussarde que je suis. J’avais l’impression de voir les événements devant moi. Ce roman-ci étant le dernier que l’auteure a sorti, je suis curieuse de voir si elle pourra pousser l’horreur et la folie à un autre niveau. Donc à suivre au prochain roman!

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