Gill Sanderson

Un livre moyen, non passionnant.

Moi j'ai adoré les deux derniers histoires: Une famille pour Samantha/ Grand patron et papa. Dans l'un on a un papa dépassé par les événements et dans le deuxième on a un ancien couple séparé par une personne secondaire. L'un croit qu'il est mort l'autre qu'elle est partie avec un autre mec et le père de son enfant. Surprise: c'est lui le père.

je suis tres mitigée l'histoire se passe par radio interposé au fond d'une mine je suis du genre face a face n'empeche que je l'ai terminé quand meme ayant acheté 4 romans de cette auteure j'espere que les autres ne sont pas du meme acabit

Deux livres sympas, pas grand chose a dire dessus lol plan habituel 1 homme 1 femme tombent amoureux finisse ensemble voilà voilà mais c'est bien raconté et les personnages sont attachants

Deux histoires divertissantes chacune a leur manière , une bonne lecture

Si vous êtes à la recherche d’une romance médicale qui vous fasse vibrer, évitez ce roman ! Il rassemble en lui tous les clichés et poncifs attachés au genre. Ecrit 1997, il semble tout droit sorti des années 80 voire 70. Tout y est de la romance entre un beau médecin et une infirmière (vierge, si, si), si parfaits l’un et l’autre qu’on se demande s’ils sont encore humains, tous deux à l’écoute de leurs patients, beaux et talentueux bien sûr. Quant à l’intrigue, elle est cousue de fil blanc. Dès le début le lecteur a compris qui a ruiné le rêve de l’héroïne de devenir médecin. Elle mettra plus de 200 pages à deviner ce que le lecteur sait depuis la page 20 ! Entre temps, elle aura soigné des ampoules, des entorses, dispensé conseils et cachets ah et aidé à un accouchement qui ne présentait ni risque pour la mère ou l’enfant. Entre pansements et cachets, l’héroïne aura eu le temps de s’interroger sur les sentiments qu’elle porte au beau médecin alpiniste pour finir par s’avouer qu’elle l’aime. Chose que le lecteur sait déjà depuis la page 50 !

Vous l’avez compris, aussi intelligente qu’elle soit (elle a eu son bac avec mention Très Bien, c’est dit au moins 2 ou 3 fois), Suzanne Ripley met du temps à comprendre les évidences. Quant au beau docteur, Neil Calder, qui essuie rebuffade sur rebuffade, on se demande bien pourquoi il continue à poursuivre la belle infirmière.

Je ne parlerai pas de leur nuit d’amour qui tient en moins de 5 lignes (si vous recherchez des scènes sensuelles, passez votre chemin, circulez, y a rien à voir) et quant à la grande scène où chacun se déclare, elle aussi est réduite à sa plus simple expression (une page, grand maximum).

De l’autre côté de la montagne ferait sourire et même rire un bon coup si ce genre de roman ne venait ternir un peu plus l’image calamiteuse que traîne le roman sentimental. Si la guimauve à haute dose ne vous effraie pas (attention tout de même aux caries), qu’une lecture au 2ème ou 3ème degré vous amuse et que vous avez quelques euros à dépenser (3,99 euros qu’hélas je regrette amèrement) lisez donc De l’autre côté de la montagne, mais vous ne pourrez pas dire que vous n’aviez pas été prévenus. Dans le cas contraire, la lecture du Vidal sera autrement plus excitante !

Que de déceptions !!!

Pour rester dans le domaine médicale, ce livre est parfait car il me fait plus penser à un compte rendu de médecin qu'à une romance.

J'ai vraiment eu l'impression de lire un récit clinique, froid et cliché.

L'histoire de fond n'était pas mal bien qu'on devine très vite l'intrigue principale et que du coup il n'y as pas vraiment de suspense.

Le couple Neil/Suzanne ne m'as fait ressentir aucune émotion, encore une fois je qualifierais le tout de clinique, je ne vois pas d'autre terme plus approprié. La romance n'est pas crédible et même ridicule parfois. Quand aux émotions ou sentiments, pour moi c'est le néant avec ce livre.