Isabel Lavarec

Cet ouvrage vous propose un petit voyage dans le passé avec deux enfants très sympathiques.

Ce livre fait parti d'une collection, mais si vous n'avez pas lu les précédents ne vous inquiétez pas vous ne serez pas embêté.

Naïs et Totoche sont deux ados de 14 ans qui promènent dans le passé, cette fois-ci, ils atterrissent à l'époque Gallo-Romaine.

Cette aventure est vraiment très intéressante, le lecteur est propulsé dans une époque de notre histoire. Il va vivre au rythme des légionnaires, esclaves et autres classes sociales, via les deux adolescents. Entre aventure, complots politiques et religieux, maladies contagieuses, le lecteur ne pourra pas s'ennuyer.

La lecture est facile, mais j'admet que quelques fois, j'ai du relire un mot ou expression de l'époque et essayer de la comprendre ou de la chercher dans le dico, car oui le langage aussi est de cette époque et certains termes sont assez techniques.

Ce récit peut être lu en parallèle quand votre enfant étudie cette période, en plus de le divertir il apprendra des termes, référence qui renforceront sa leçon

C'est une belle découverte!

Et je trouve vraiment original et ludique d'associer un récit d'aventure avec une époque de notre passé

Si votre enfant aime lire, si la période Gallo-Romaine le passionne, ou simplement pour l'aider dans son apprentissage de l'histoire, je vous conseille fortement ce petit livre

Je souligne aussi deux points forts

Le livre est court et les chapitres aussi, ce qui permet à l'enfant de faire de nombreuse pause et de ne pas voir cet ouvrage comme une corvée si celui-ci n'aime pas particulièrement lire

Le second point fort c'est son prix, il est abordable et cela est vraiment bien car actuellement nous faisons tous plus ou moins attention à nos dépenses ''plaisir''

Voici le deuxième volet des aventures de Naïs et Totoche, deux jeunes enfants de 14 ans à qui il arrive des aventures extraordinaires de voyages dans le temps… Mais pas d'inquiétude, vous ne serez pas gêné.e.s pour lire ce second opus si vous n'avez pas lu le précédent.

Après une maladresse de la narratrice Naïs, les deux adolescents sont projetés dans le passé en plein village romain, à l'époque gallo-romaine. A peine quelques minutes pour reprendre leurs esprits qu'ils se retrouvent au beau milieu d'un massacre de Chrétiens orchestré par les Romains qui ne supportent pas cette nouvelle religion. Nos deux protagonistes, apeurés, vont tenter de fuir et de se cacher. Ils sont poursuivis par des légionnaires romains et notamment Cicéro. Ils vont alors faire plusieurs rencontres qui les entraîneront bien plus loin dans leur passé… Et le lecteur voyage avec eux et est embarqué dans leurs tumultes.

Nous laissons nos deux héros à la fin de ce premier tome en quête de leurs ancêtres et à la recherche du tunnel qui les fera rentrer chez eux. Hâte de lire les 3 tomes suivants !

Les + du livre : plume agréable, écriture moderne (référence au Covid par exemple), notions d'Histoire très intéressantes, beaucoup d'humour, personnages attachants.

Les - : j'ai trouvé le vocabulaire parfois un peu complexe pour les très jeunes lecteurs et il y a quelques questionnements qui m'ont interpellée dans ce voyage temporel (les héros ont des tenues de l'époque, de la monnaie également, ils parlent latin sans problème, notamment, mais pas vraiment d'explications sur comment cela a été possible).

Dans le tome précédant, nous nous étions arrêtés à la mort Agricola et à la séparation de Naïs et Totochix.

Dans cet avant dernier tome, nous replongeant dans l’intrigue précédente : maintenant, nos héros doivent échapper à la pendaison. Chacun a une solution pour s’en sortir qui est tout autant compliquée que l’autre, mais ils n’ont pas le choix. Malgré leurs doutes et leur désespoir, lors de leur dernière nuit ensemble, Naïs et Totochix réussissent du mieux qu’ils le peuvent en ayant conscience de l’épée de Damoclès au dessus de leur tête à se donner du courage et se réconforter entre eux.

Heureusement, malgré la distance qui les sépare, ils arrivent à rester en contact grâce à un rituel leur permettant de communiquer par télépathie.

Dans ce tome, nous pouvons constater une nette évolution sur le statut de Naïs et Totochix. Naïs, malgré la misogynie ambiante de l’époque, réussi à se frayer une place afin de guérir ses semblables et sauver leur peau, avec l’aide de son ange gardien, pendant de Totochix semble gagner en rangs et s’imprégner de la mentalité de l’époque. Il semblerait qu’il agit comme les hommes présents, tout en étant défaitiste, ce qui ne manque pas d’énerver encore plus Naïs.

Cette évolution est plutôt intéressante, on en vient à se demander comment vont ils réussir à s’entendre pour rentrer chez eux avec leurs mentalités partant dans des sens opposés.

Comme dans le précédent tome, certains chapitres sont complétées par de belles illustrations rajoutant un peu de gaité à la lecture.

La plume oscille parfaitement entre détails et fluidité, permettant une lecture assez rapide tout en s’évadant.

Encore une suite très intrigante, nous nous rapprochons de la fin de cette aventure avec encore beaucoup de questions : Comment vont-ils rentrer? Naïs sauver a-t-elle tout le monde?

Quelles aventures amusantes Nom de Totochix !

Il s’agit du tome 2 sur 4 des aventures de deux adolescents, Naïs et Totoche, qui sont plongés en l’an 250 ! Ils se retrouvent ainsi chez Pictus, l’ancêtre de Totochix où ils doivent trouver un remède contre la peste et éviter une épidémie !

Au milieu de toutes ces aventures, ils essaient de retrouver un tunnel qui leur permettrait de rejoindre leur époque… mais nous ne saurons pas s’ils y parviendront, car il faudra pour cela lire le prochain tome ! Du coup, j’ai trouvé la fin un peu abrupte, il faut donc lire idéalement tous les épisodes dans l’ordre.

L’histoire est très divertissante et les amateurs d’Astérix et Obélix s’y retrouveront. On suit les deux amis avec beaucoup de plaisir.

On évoque aussi les différences de classes et de genres de l’époque, trop brièvement à mon goût, car sans beaucoup d’explication (mais ce n’est pas le sujet du livre). En effet, la pauvre Anaïs, en tant que jeune femme, subie quelques inégalités par rapport à Totoche, notamment pour les repas… J’ai eu faim pour elle !

On s’amuse beaucoup en lisant cette histoire et, quand le livre se referme, on n’a qu’une envie, lire la suite !!! Je recommande donc la lecture de toute la série sans hésitation !

Nous retrouvons avec plaisir Naïs et Totoche, toujours coincés au temps des Gallo-Romains. Ils se rendent, en compagnie du druide Dumnorix, dans la ferme des ancêtres de Naïs ; elle en est tout émue !

Totoche a un tatouage à la base du cou, dans la communauté des guérisseurs, ils pensent qu’il est le messie annoncé par la sorcière Angéus sur son lit de mort ; il va donc assister le druide guérisseur.

À leur arrivée, tout le monde est en émoi, Agricola, le maître de maison est alité, il a la peste rouge, maladie très contagieuse. Cornélia, son épouse, demande au druide et à Totoche de soigner son mari et d’éviter la propagation du virus dans la population. Comble de malchance, le fils Pictus est blessé et il revient à Naïs de lui donner des soins.

Décidément, de lourdes charges s’abattent sur les frêles épaules des deux adolescents ! Comment faire ? Vont-ils venir à bout de cette peste ? Et puis, ils voudraient bien quand même retrouver le fameux tunnel qui leur permettra de retourner dans notre époque, mais la colline dans laquelle il se trouve probablement semble cacher des mystères. Que d’aventures !

Heureusement, les cours d’Histoire et de Sciences qu’ils ont suivis au collège vont leur être bien utiles. Pour essayer de venir à bout de la peste rouge, ils vont mettre en œuvre les préconisations qui avaient été faites pour la COVID.

Naïs, souvent reléguée au second plan enrage, elle va avoir beaucoup de mal à accepter le rôle mineur réservé aux femmes chez les Gallo-Romains.

Ce n’est pas toujours simple de changer d’époque !

Isabel LAVAREC s’adresse aux enfants de façon intelligente ; elle leur propose une histoire pleine d’entrain et d’aventures, avec de jeunes héros attachants, pour un apprentissage en douceur de la période Gallo-Romaine avec des allers-retours intéressants sur les deux périodes, un vocabulaire enrichissant avec les explications si nécessaire.

Les enfants pourront faire la corrélation entre la peste rouge et la COVID, s’apercevoir que les leçons apprises à l’école peuvent avoir une utilité dans la vie !

Petit bonus, de belles illustrations en couleur de Serge Cecconi qui agrémentent l’histoire.

Bref, une histoire lue rapidement, pleine de rebondissements, une plongée dans le quotidien des Gallo-Romains, des aventures mouvementées qui sauront séduire les enfants ; à lire seul(e) ou en famille.

Lu et apprécié par Esteban dix ans, qui s’est pris pour Totoche et attend la suite avec impatience !

À lire à demi-allongé(e) sur une méridienne avec des coussins ; en buvant de la tisane et en grignotant des biscuits à la lavande ou à l’anis.

Et nous voici à nouveau aux côtés de Naïs et Totoche ! Toujours coincés en l’an 250 avec une épidémie sur les bras !

Oups, la mission confiée à nos jeunes héros est un échec, Agricola est décédé ! Quel sort va leur être réservé ? La peste rouge continue à faire des ravages, ils n’ont pas réussi à l’éradiquer.

Ragius et Pictus ne cessent de se disputer, Dame Cornélia décide de les séparer ! Ragius restera avec elle et Totochix, quant à Pictus, il va partir dans la villa Lupianus !

Naïs qui soigne Pictus, doit l’accompagner, ainsi que six esclaves, dont le fidèle Janix qui a attrapé la peste rouge et souffre toujours.

C’est l’horreur, Naïs et Totoche se trouvent séparés ! Heureusement, ils arrivent à communiquer par télépathie !

Naïs doit s’imposer face à Pictus, ce qui n’est pas facile en tant que femme ! Il est important qu’elle se fasse obéir pour pouvoir soigner et au moins éviter une propagation trop rapide de la peste rouge.

Totochix est désormais seul, il déprime un peu ; mais il faut à tout prix qu’il continue ses investigations pour retrouver ce fameux tunnel et ce n’est pas facile, d’autant que certaines personnes ne semblent pas disposées à lui laisser le champ libre !

De son côté, Naïs convoque ses souvenirs du collège afin de trouver une solution pour soigner les malades ; le vaccin serait-il une solution ? Les moyens mnémotechniques qu’elle avait mis en place pour retenir ses leçons vont lui être d’un grand secours ! Elle va ainsi mettre à profit ses cours et l’expérience de la Covid 19 pour mettre en place un protocole afin d’essayer de juguler l’épidémie.

Une aventure qui ne sera pas de tout repos pour les deux jeunes adolescents !

Isabel LAVAREC continue sur sa lancée ; une histoire qui entraîne les enfants dans des aventures qu’ils peuvent transposer à notre époque. Il y a des rebondissements et nous apprenons toujours mine de rien. Cette fois-ci nous avons même droit à quelques haïkus !

Les chapitres sont courts, ce qui permet aux plus jeunes lecteurs de faire une pause. La lecture est aisée, le vocabulaire bien choisi, et l’histoire pleine de suspense.

Arriveront-ils enfin à retrouver le tunnel pour rejoindre notre époque ? Une chose est certaine, Naïs et Totoche nous attendent pour continuer l’aventure dans le dernier épisode : Tunnel vers l’avenir. Alors, vous êtes prêts ?

Lu et approuvé par Estebanix, qui va pouvoir nous faire un cours sur la vaccination.

En bref, une histoire qui saura captiver les jeunes tout en leur apprenant une foule de choses intéressantes.

À lire en famille ou avec des copains et copines, installé(e)s sur un édredon, en sirotant de la limonade citronnée accompagnée de quelques biscuits ; interro surprise à la fin du dernier chapitre !

Bonne nouvelle ! Les aventures de Naïs et Totoche continuent !

Naïs, qui a été séparée de Totochix et envoyée à Lupianus pour veiller sur Pictus et éradiquer la peste rouge, a rempli sa mission. Les habitants ont été vaccinés et l’épidémie tenue à distance.

Naïs revient en compagnie de l’esclave Janis, à Arelate, elle s’inquiète car Totoche est malade et elle craint de ne pas réussir à le soigner.

À la villa Agricola, elle retrouve son ami, mais également Dame Cornélia, qui n’est pas toujours facile à vivre et s’offusque des manières de Naïs !

Pauvre Naïs, elle a de plus en plus de mal à accepter son sort dans ce monde où les femmes n’ont pas leur mot à dire et sont toujours mises sous l’autorité d’un homme. Elle n’arrive plus à s’adapter et à être traitée comme une esclave. Les deux adolescents ont vraiment hâte de retourner dans notre époque auprès de leur famille. Mais où est donc ce fameux tunnel et comment y accéder ?

Au moment où Totoche se remet de sa maladie, voilà qu’il disparaît ! Naïs est très inquiète et voudrait partir à sa recherche, mais elle a reçu pour mission d’éviter la propagation du virus et de vacciner la population comme à Lupianus ; mais il va être assez difficile de convaincre tout le monde.

Pour compliquer le tout, Ragius continue à vivre une vie de patachon et se conduit comme un bandit, mettant en péril sa mère et son frère Pictus…

Naïs et Totoche arriveront-ils à se sortir de cette situation et surtout pourront-ils retrouver leur famille ?

Isabel LAVAREC nous livre ici la fin des aventures de Naïs et Totoche. Bien qu’elle s’adresse à des enfants, elle emploie un vocabulaire de qualité, quitte à expliquer le mot dans une note de bas de page. Les deux adolescents sont vraiment attachants, et même si l’histoire est improbable, elle nous entraîne dans des aventures drôles et palpitantes. À travers les péripéties de Naïs et Totoche, les enfants apprennent beaucoup de choses, sur les vaccins, la vie chez les Gallo-Romains, les plantes et ils enrichissent leur vocabulaire ; ils comprennent également l’importance des apprentissages.

Bref, un quatrième tome qui tient ses promesses et qui plaira sans nul doute aux enfants qui aiment les aventures et pourront s’imaginer dans la peau des héros ou héroïne.

Lu et approuvé par Estebanix qui a beaucoup ri quand Naïs s’est mise en colère…

À lire installé(e) sur une méridienne, avec des gâteaux au miel accompagnés de vin chaud ou d’un verre de lait frais. Bonne lecture !

Je remercie les éditions Ex Aequo et Isabel Lavarec pour la découverte de l’histoire de Naïs et Totochix.

Ce tome est le deuxième volet de cette série, même sans avoir lu le premier on comprend facilement.

Leurs aventures nous plongent en l’an 250 à l’époque gallo-romaine en pleine épidémie de peste rouge.

Il y a un peu de magie dans cet ouvrage, nos deux trublions sont à la recherche de ce fameux tunnel qui les a expédiés dans le passé, seul hic, ils ne le retrouvent pas !

Totochix va être pris pour un médecin et devenir le second du druide guérisseur, quant à Naïs en tant que femme elle ne sera que esclave de la maison. Naïs va se rendre compte des différences entre les deux époques et va subir directement l’inégalité entre hommes et femmes. Avec eux nous faisons la connaissance d’Agricola, son épouse Dame Cornélia, Favius Dumnorix le fameux médecin, les fils, les esclaves. Que va-t-il se passer si Agricola meurt ? S’ils ne parviennent pas à enrayer la maladie ?

C’est très divertissant et enrichissant, il y a de l’humour, de l’action. La plume est fluide, les dialogues dynamisent le récit. Ça se lit très rapidement et très facilement.

La fin est assez brusque car elle s’arrête d’un seul coup, le seul moyen d’en connaitre la suite est de lire le volet suivant.

Ce sont des livres destinés à un large public, je me suis amusée à en lire une partie à mon filleul qui a 3 ans nous avons beaucoup ri, bien évidemment Totochix lui a beaucoup plu. Les illustrations et la couverture créées par Serge Cecconi sont très jolies et égayent l’ouvrage. C’est coloré, agréable à regarder et fait tout son effet dans une bibliothèque.

Une très belle idée cadeau !

Je remercie les éditions @exaequo pour l'envoi de ce roman jeunesse.

J'ai pris plaisir à le lire, dans cette histoire on suit les péripéthies d'Olympia et Alexis, faux jumeaux qui aiment passer du temps ensembleet surtout faire du sport avec leurs animaux de compagnie, Saucisse le chien et Bengali le chat.

Ensemble ils aiment pratiquer la course à pied mais à chaque fois ils se font battre par leurs animaux.

Les jumeaux décident donc de corser la course en rajoutant des obstacles mais tout ne se passe pas comme prévu, un ours s'est échappé d'un parc animalier et décide de s'inviter parmi eux.

Je trouve le texte d' Isabel LAVAREC très adapté pour un public de 6/8 ans et les illustrations de Serge CECCONI sont très belles et très colorées. J'aime beaucoup le fait que les enfants puissent colorier certains dessins.

C'est une histoire très sympathique que je vais conseiller à ma petite nièce.

Que c'est judicieux de mettre en lumière les JO avec un beau petit livre pour les enfants.

Celui-ci est bien adapté pour les première lecture, destiné à un public entre 6 et 8 ans. Le texte est bien écrit, bien espacé, il n'y a pas de chapitre. Les illustrations simples sont belles et colorées, accompagne très bien le texte.

Le vocabulaire utilisé est simple et si certains mots sont plus compliqués ou plus technique, l'enfant trouvera en marge ( en dessous) l'explication.

Le récit en plus d'être sympathique, et amusant il est très ludique car il aiguille avec finesse vers les Jeux Olympiques.

L'histoire nous montre deux enfants, des jumeaux , qui ont envie de faire une courses avec leurs compagnons à 4 pattes. Mais les enfants râlent ils ne gagnent jamais. Ils décident de mettre des obstacles pour freiner la course de leurs compagnons mais voilà qu'un animal va contrarié leur jeu.

Cette histoire est amusante, les petits lecteurs vont prendre plaisir à la lire.

En plus de ce récit distrayant, l'enfant pourra découvrir des coloriages, pour illustrer à sa manière cette histoire, mais aussi une petite explication sur la course d'obstacles.

C'est un petit livre vraiment sympathique destiné à des enfants aventuriers.