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Liste des extraits

-L'un de vous a déjà tué un homme?

-Moi, répondit Tyrion. Je les fais tomber comme des mouches.

-Avec quoi?

-La hache, le poignard, une remarque bien choisie. Mais c'est avec l'arbalète que je tue le mieux."

Fauche se gratta une barbe de trois jours avec la pointe de son crochet. "Une saloperie, l'arbalète. T'en as tué combien, avec ça?

-Neuf." Assurément, son père comptait pour autant, à tout le moins. Seigneur de Castral Roc, Gardien de l'Ouest, Bouclier de Port-Lannis, Main du Roi, mari, frère, père, père, père.

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-Auras-tu également besoin d'une truie à chevaucher? s'enquit Kasporio.

-Diantre, j'ignorais que ta femme fît partie de la compagnie, répliqua Tyrion. C'est fort aimable à toi de me la proposer, mais je préférerais un cheval."

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(Tyrion Lannister et Brun Ben Prünh)

"Vous préférez que je signe Yollo ou Hugor Colline?"

Brun Ben plissa les yeux. "Tu préfères qu'on te restitue aux héritiers de Yezzan, ou simplement qu'on te décapite?"

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(Quentyn Martell et le Prince en Guenilles)

-Yurkhaz zo Ynzak est mort.

-Nouvelles défraîchies. Je l'ai vu périr. Le pauvre homme a vu un dragon et a trébuché en tentant de s'enfuir. Et alors, un millier de ses plus proches amis l'ont piétiné. Je ne doute pas que la Cité Jaune baigne dans les larmes. M'avez-vous fait venir pour boire à sa mémoire?

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Les enfants se rendaient en un lieu où aucun n'était jamais allé, servir un ordre qui était l'ennemi des leurs depuis des millénaires, et pourtant Jon ne voyait pas de larmes, n'entendait aucune mère se lamenter. C'est un peuple de l'hiver, se remémora-t-il. Les larmes vous gèlent sur les joues, au pays d'où ils viennent.

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- On tue des hommes pour les torts qu'ils ont commis, pas pour ceux qu'ils pourront commettre un jour.

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Tous les hommes ne sont pas fait pour danser avec les dragons.

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Les corbeaux blancs de la Citadelle ne transportaient pas de messages, au contraire de leurs cousins sombres. Quand ils sortaient de Villevieille, c’était dans un seul but : annoncer un changement de saison.

« L’hiver », murmura ser Kevan.

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- Je ne crois pas. Certaines compagnies libres ont la réputation d'accepter des femmes, mais...ma foi, ce sont les Puînés, pas les Cadettes, après tout.

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L’homme plein de gentillesse leva sa lanterne et en ouvrit complètement les clapets. La lumière se déversa sur les murs qui les entouraient.

Mille visages la contemplaient.

Ils pendaient aux murs, devant et derrière elle, en haut, en bas, partout où

elle posait les yeux, partout où elle se tournait. Elle vit des visages vieux et des visages jeunes, des pâles et des sombres, lisses et ridés, tachés de son et semés de cicatrices, séduisants et laids, hommes et femmes, garçons et filles, et même des bébés, des visages souriants et des renfrognés, des visages remplis d’avidité, de rage et de concupiscence, des visages glabres et des visages hérissés de poil. Des masques, se reprit-elle, ce ne sont que des masques, mais alors même que cette pensée la traversait, elle sut que ce n’était pas vrai. C’étaient des peaux.

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