Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Martin Solanes est le pseudonyme que Martine Mairial, par ailleurs auteure de romans "littéraires", a adopté pour signer son premier roman policier.
Martine Mairial, d'origine bordelaise, est née en 1956 à Paris. Depuis toujours passionnée de littérature, elle choisit de faire des études qui l'amènent à la maîtrise avec un sujet de thèse très courageux, portant sur l'écrivain, dramaturge et poète complètement méconnu et "maudit": Raymond Roussel. Fin des années 70, son diplôme en poche, elle est sûre d'au moins une chose, c'est qu'elle est faite pour écrire « ce qu'elle sait faire de mieux ». La voilà donc assistante chez l'éditeur Casterman, tout en écrivant des articles pour des magazines, s'improvisant journaliste, puis travaille pour diverses agences de communication. Elle est aussi, un temps le "nègre" d'autres auteurs, et l'idée germe assez vite en elle, d'écrire son propre roman.
Une première tentative avec "Le livre du baiser", publié en 2000 aux Editions N°1, plus un essai qu'un roman, mais en 2003, c'est avec "L'Obèle ou le dernier amour de Montaigne" que les éditions Flammarion acceptent de publier, qu'elle rejoint la famille des romanciers français, confirmant son nouveau statut avec "Loin de moi" en 2005. Au cours de nouvelles vacances sur l'île de Majorque qu'elle fréquente depuis plus de vingt ans, l'idée lui vient d'écrire un roman policier qui aurait pour cadre cette île qu'elle connaît jusque dans ses plus profonds recoins, contrairement à ces millions de touristes qui se contentent des plages ensoleillées et des vacances formatées, ignorant tout des traditions, coutumes, et de ses habitants qui ont pourtant plein d'histoires insolites à raconter.
Le cadre va donc donner son nom à ce qui devrait devenir une série: Les suites majorquines, et le premier opus, Quand la lune sera bleue paraît en 2008 chez Flammarion, dans la nouvelle collection "Noir", sous le pseudonyme de Martin Solanes, patronyme qui sonne bon le catalan, emprunté à son grand-père maternel. L'auteure se plaît à définir elle-même son roman comme « ... un roman noir sous le soleil », y créant deux personnages qu'elle sait rendre attachants, malgré « Leurs complexités, leurs cicatrices » (www.lire.fr).
« Au travers de ce premier polar, Martin Solanes restitue formidablement l'âme, les saveurs, les traditions autant que les contradictions, à commencer par l'appât du gain immobilier et le saccage architectural de certains bords de mer. Elle y parvient sans fausse note grâce à ses personnages... » (Delphine Peras sur www.lire.fr), des personnages auxquels elle restitue des racines majorquines. Déjà l'auteure, qui poursuit sa carrière de conseil en communication et prend le temps de lire en moyenne un livre par jour, a écrit le second opus qui devrait paraître sous peu: le titre qu'elle lui a donné "Par le sang de l'ermite". Quelques autres devraient suivre (il est question d'une trilogie pour le moment), les idées ne lui font pas défaut, les autochtones lui fournissant de nombreuses histoires qui se transmettent ainsi de génération en génération.
Biographie
Martin Solanes est le pseudonyme que Martine Mairial, par ailleurs auteure de romans "littéraires", a adopté pour signer son premier roman policier.
Martine Mairial, d'origine bordelaise, est née en 1956 à Paris. Depuis toujours passionnée de littérature, elle choisit de faire des études qui l'amènent à la maîtrise avec un sujet de thèse très courageux, portant sur l'écrivain, dramaturge et poète complètement méconnu et "maudit": Raymond Roussel. Fin des années 70, son diplôme en poche, elle est sûre d'au moins une chose, c'est qu'elle est faite pour écrire « ce qu'elle sait faire de mieux ». La voilà donc assistante chez l'éditeur Casterman, tout en écrivant des articles pour des magazines, s'improvisant journaliste, puis travaille pour diverses agences de communication. Elle est aussi, un temps le "nègre" d'autres auteurs, et l'idée germe assez vite en elle, d'écrire son propre roman.
Une première tentative avec "Le livre du baiser", publié en 2000 aux Editions N°1, plus un essai qu'un roman, mais en 2003, c'est avec "L'Obèle ou le dernier amour de Montaigne" que les éditions Flammarion acceptent de publier, qu'elle rejoint la famille des romanciers français, confirmant son nouveau statut avec "Loin de moi" en 2005. Au cours de nouvelles vacances sur l'île de Majorque qu'elle fréquente depuis plus de vingt ans, l'idée lui vient d'écrire un roman policier qui aurait pour cadre cette île qu'elle connaît jusque dans ses plus profonds recoins, contrairement à ces millions de touristes qui se contentent des plages ensoleillées et des vacances formatées, ignorant tout des traditions, coutumes, et de ses habitants qui ont pourtant plein d'histoires insolites à raconter.
Le cadre va donc donner son nom à ce qui devrait devenir une série: Les suites majorquines, et le premier opus, Quand la lune sera bleue paraît en 2008 chez Flammarion, dans la nouvelle collection "Noir", sous le pseudonyme de Martin Solanes, patronyme qui sonne bon le catalan, emprunté à son grand-père maternel. L'auteure se plaît à définir elle-même son roman comme « ... un roman noir sous le soleil », y créant deux personnages qu'elle sait rendre attachants, malgré « Leurs complexités, leurs cicatrices » (www.lire.fr).
« Au travers de ce premier polar, Martin Solanes restitue formidablement l'âme, les saveurs, les traditions autant que les contradictions, à commencer par l'appât du gain immobilier et le saccage architectural de certains bords de mer. Elle y parvient sans fausse note grâce à ses personnages... » (Delphine Peras sur www.lire.fr), des personnages auxquels elle restitue des racines majorquines. Déjà l'auteure, qui poursuit sa carrière de conseil en communication et prend le temps de lire en moyenne un livre par jour, a écrit le second opus qui devrait paraître sous peu: le titre qu'elle lui a donné "Par le sang de l'ermite". Quelques autres devraient suivre (il est question d'une trilogie pour le moment), les idées ne lui font pas défaut, les autochtones lui fournissant de nombreuses histoires qui se transmettent ainsi de génération en génération.
Afficher en entier