Valère Staraselski
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7/10Nombre d'évaluations : 4
0 Citations 8 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Jamais je n'avais imaginé que la vie de la Fontaine avait pu ressembler à ce que nous narre Valère Staraselski ici. J'ai été emballé par ce roman, plein de détails parfois amusants (l'enterrement de la fourmi) ou plus graves ("l'auto-critique" du poète à la fin de sa vie). Instructif et divertissant.
http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2012/08/son-ame-se-maintint-toujours-libre-et.html
Afficher en entierJe m'attendais pas à recevoir le livre. A midi, je vais chercher le courrier et je vois une enveloppe qui contient un livre à mon nom. Je ne comprends pas, je n’ai pas commandé de livre à Amazon. En rentrant à l’appart, j’ouvre et regarde le livre. Et quel fut ma surprise de reconnaitre l’auteur, Valère Staraselski, que j’avais rencontré à Blois au Rendez-vous de l’histoire 2016. Je fus très contente qu’il est pensé à moi avec une dédicace. La nuit même, je me mis à lire le livre. Et je fus plus que satisfaite.
Mon avis entier sur mon site.
http://lecholitteraire.e-monsite.com/blog/voyages/le-parlement-des-cygognes.html
Afficher en entierUn groupe de jeunes Français découvre la ville de Cracovie. Ce qui ne devait être qu'une promenade touristique va se révéler être une poignante leçon d'histoire grâce à un tableau représentant des cigognes et surtout grâce à la rencontre avec un vieux monsieur, rescapé de la Shoah. Un livre très important sur le devoir de mémoire. A lire.
Afficher en entierUn groupe de jeunes Français est en voyage à Cracovie. Ils découvrent la ville et son histoire au hasard des foulées d'un footing matinal, mais leur plongée dans l'Histoire se poursuit plus tangiblement lors d'une discussion avec un vieux monsieur qui a beaucoup à dire...
C'est un roman très court d'une centaine de pages. Les anecdotes de Zygmunt ressemblent à un diaporama : quelques images-éclair qui sont autant de témoignages d'une époque.
Cependant, le revers de la médaille de cette fugacité est un certain manque d'approfondissement qui empêche une réelle immersion, des sentiments forts qui marqueraient le lecteur...
D'ailleurs, la première partie du roman s'attache particulièrement à la personnalité des jeunes adultes, leurs relations, et on peut se demander quel est le réel intérêt de cette longue entrée en matière... qui, d'autant plus, manque de réalisme : par exemple, le jeune David emmène ses camarades dans les rues de Cracovie en les édifiant d'une érudition d'historien assez étrange qui ne sera pas expliquée…
Les mots sont choisis par l'auteur avec un soin agréable, mais parfois un peu artificiel légèrement agaçant et en utilisant des mots... inusités, notamment « ordiphone » (un « smartphone » francisé ? Mais pourquoi l'évoque-t-il à chaque fois dans le groupe de mots « téléphones et ordiphones » ? Un smartphone n'est-il pas un téléphone ?! Ce n'est qu'un détail que je voulais mettre en exergue).
La vision de la Pologne de l'après-guerre que nous donne ici l'auteur fait froid dans le dos et la dernière histoire narrée me marquera sans doute longtemps...
J'aurais du mal à conseiller ce roman, mais si vous aimez les témoignages historiques ou vous intéressez à la Pologne, n'hésitez pas !
Afficher en entierUne promenade touristique dans la ville ancienne de Cracovie d'un groupe de jeunes Français va se transformer en leçon d'histoire. Un ouvrage essentiel sur la transmission, sur l'apprentissage de l'histoire, sur l'oubli, sur le déni.
Afficher en entierLe Parlement des cigognes a reçu le Prix 2018 de la Licra
Afficher en entierJe suis un peu déçue, parce qu'au vu de la couverture, je m'attendais à un album sur la peinture, ou sur Vermeer. Alors sur la peinture, ouais, relativement, si on s'arrête à la fin de l'album, mais ça reste quand même super secondaire.
Au niveau des illustrations, elles sont pas mal, ça fait vraiment penser à la peinture classique flamande. Donc utiliser ce type de graphisme pour un album, c'est plutôt intéressant, même si à mon avis, j'ai dû passer à côté des clins d'oeil et références.
Quant à l'histoire...eh bien grosse déception pour ma part. Alors je veux bien que l'histoire dans un album jeunesse soit toujours très brève et simpliste, parce qu'il faut qu'elle soit accessible aux plus jeunes, et tout le reste. Malheureusement, là, le scénario était bien trop vide pour me convaincre. Sans parler d'approfondissement des personnages ou de l'intrigue en elle-même ne semble mener nulle part, si ce n'est à une fin attendue et prévisible.
Enfin, peut-être que le but était purement contemplatif, mais dans tous les cas, il manque quelque chose, et c'est bien dommage.
Afficher en entierOn parle de Valère Staraselski ici :
2011-08-29T23:10:29+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Valère Staraselski
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Le Cherche Midi : 8 livres
Le passe du vent : 2 livres
De Borée : 1 livre
L'Harmattan : 1 livre
Seuil Jeunesse : 1 livre
Les Editions Aden : 1 livre
Biographie
Docteur ès Lettres, Valère Staraselski est membre du Comité d’Honneur de la Société des Amis d’Elsa Triolet et Aragon et membre du Conseil Scientifique de la Fondation gabriel Péri.
Valère Staraselski est né le 18 janvier 1957 à Créteil et grandit au sein d’une famille d’accueil dans un village d’Ile de France puis travaille tôt tout en suivant des études qu’il mènera jusqu’à une licence d’histoire et un doctorat de lettres. Il sera serveur, agent hospitalier, documentaliste, maître d’internat, attaché parlementaire au sénat, chargé de cours à l’université, chef de cabinet dans une mairie, rédacteur en chef de CCASInfos ; il est actuellement directeur de la Culture de la CCAS.
Valère Staraselski est membre du Conseil scientifique de la Fondation Gabriel Péri, du Comité d’Honneur de la Société des amis d’Elsa Triolet et Aragon, du Conseil de rédaction de la revue en ligne lafauteadiderot.net dont il est le co-fondateur avec Eric Le Lann.
Dès son premier roman publié en 1990, avec son titre emprunté à un motet de Vivaldi, Dans la folie d’une colère très juste, il affirme une vraie personnalité littéraire. « Staraselski sait mener avec finesse ses personnages ; il possède aussi l’art du portrait. On songe souvent au Roger Vailland des Mauvais coups ou du Jeune homme seul » assure Philippe Lacoche du Magazine Littéraire. Puis vient Le Hammam, un recueil de nouvelles, Exigence, rythme et précision, salué par Alain Bosquet dans Le Quotidien de Paris.
La suite est consacrée à une biographie de Louis Aragon qui fait autorité. Aragon, la liaison délibérée. Considéré comme un « livre indispensable pour qui veut dévisager le véritable Aragon », cet ouvrage « rejetant l’option récurrente du clivage pour aller au-delà des apparentes contradictions et explorer les zones obscures, traque cette "liaison délibérée" entre l’écriture et l’acte politique dans les faits, dans les écrits, dans les relations, dans les actes de Louis Aragon, et balaie au passage les contrevérités et les médiocres commentaires des censeurs de tous bords. Il dévoile cette pure volonté qui anime Aragon, d’éveiller, de libérer, bien moins des folies meurtrières des hommes que de l’hypocrisie, de la lâcheté, de la bassesse, de la haine ordinaires qui les nourrissent » écrit Rémi Boyer dans Faites entre l’infini.
Suivront deux essais : Aragon, l’inclassable et Aragon, l’invention contre l’utopie, puis viendra un roman, Un homme inutile qui selon Patrick Kechichian du Monde « appartient à la tradition du roman réaliste et social, dont les grands ancêtres sont Zola et bien sûr Vallès ». « Ce récit au thèmes céliniens, sans complaisance face aux réalités sociales de notre fin de siècle » (Nouvel observateur) « est un roman noir social d’une rare efficacité » selon Pierre Drachline dans l’Humanité. Un recueil de nouvelles La revanche de Michel Ange paraîtra ensuite ainsi qu’un roman Monsieur le Député, « Roman-réalité dans les couloirs de l’Assemblée » selon Didier Jacob du Nouvel Observateur.
Il faut savoir désobéir, Garder son âme reprendront pour partie des chroniques parues dans Libération, l’Humanité, Témoignage-Chrétien, Vendémiaire....
Voyage à Assise relatera les impressions de l’écrivain lors de l’assemblée de prières pour la paix dans le monde à Assise, convoquée par le Pape Jean-Paul II, le 24 janvier 2002.
Paraîtra par la suite Une histoire française, Paris janvier 1789 qui selon François Eychart, dans Les Lettres françaises, « est le récit des vingt-cinq années qui précèdent le choc de 1789 telles que les revoit l’avocat Doudeauville qui se croit à l’article de la mort. Ce roman touche à un problème capital : comment appréhender le futur ? C’est en cela qu’il est un des plus ambitieux de Valère Staraselski »
Afficher en entier