Anthony Buckeridge
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Note moyenne : 6.85/10Nombre d'évaluations : 20
3 Citations 11 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Ce livre est plein d'humour, vraiment très original.
Afficher en entierCe livre est excellent, avec une bonne dose d'humour du début à la fin. Le plaisir de lire.
Afficher en entierUn livre que je conseil pour passer le temps!!
Afficher en entierC'est "mignon", comme histoire. Un truc de copains qui ont pleins de petits délires.. Livre de ma grand-mère, que j'ai lu en vacances en plein ennui. C'est plutôt amusant pour les petits garçons, mais aussi pour les petites filles qui aiment ce genre de bouquin !
Afficher en entierUn livre qui se lit facilement, avec un enchaînement de quiproquos, ponctués d'éclats de rire. On dirait presque une pièce de théâtre comique !
On rentre tout de suite dans l'univers de Bennett et de son copain Mortimer, deux garçons ingénieux et jamais à court d'idées. Les autres personnages, hauts en couleurs, ne sont pas en reste, qu'ils soient les camarades de classes de nos héros ou les infortunés professeurs de tous ces garçons turbulents !
La vie du collège privé anglais, typique des années 1900 (et quelques !), est très bien décrite malgré la censure de certain passages jugés "choquants" dans la traduction française (punitions corporelles, passages religieux...).
Un seul regret : en France, personne ne semble connaître cette série, pourtant hilarante et très bien écrite... Alors que c'est un classique en Angleterre.
Afficher en entierL'ayant lu quand j'étais au collège, je me suis dis que j'allais me faire un plaisir en retournant dans mes anciennes lectures.
J'ai été un peu déçu de ce retour en arrière, car si l'histoire est agréable à lire, je n'ai pas retrouvé les émotions que je trouvais avant.
Cela reste tout de même un bon livre, qui est rehaussé par les images Jean Reschofsky.
Afficher en entierBennet et Mortimer sont les meilleurs amis des collégiens, il y à je pense dans chaque cdi des livres qui racontent leurs histoires.
Afficher en entierUn livre sympathique. Je ne me souviens plus de l'histoire mais ça va, c'était un bon moment passé.
Afficher en entierC'est un livre qui m'a fait beaucoup rire ! Les bêtises de Bennett sont vraiment hilarantes ! Je le recommande !
Afficher en entierlu il y a longtemps au college ce livre ne m'a pas laissé de souvenirs impérissables. Je le conseille pour des ados pour une première lecture
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Anthony Buckeridge
et autres évènements
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Editeurs
Hachette Jeunesse : 53 livres
Hachette : 5 livres
Le Livre de Poche Jeunesse : 2 livres
Hachette Litterature : 1 livre
House of Stratus : 1 livre
Biographie
Buckeridge est né à Londres mais suite à la mort de son père durant la Première Guerre mondiale il emménage avec sa mère à Ross-on-Wye pour vivre avec ses grands-parents. Après la fin de la guerre, ils reviennent à Londres où le jeune Buckeridge va développer un goût pour le théâtre et l'écriture. Une bourse d'un fonds pour les orphelins des employés de banque permet à sa mère de l'envoyer au Seaford College boarding school dans le Sussex. Son expérience d'écolier d'alors sera largement réinvestie dans ses futurs récits.
Après la mort du grand-père de Buckeridge, la famille déménage à Welwyn Garden City où sa mère travaillait à la promotion de la nouvelle utopie banlieusarde auprès des Londoniens. En 1930 Buckeridge commence à travailler à la banque de son père, mais il s'en lasse vite. Il se lance alors dans le métier d'acteur, comprenant une apparition non créditée dans le film de 1931 d'Anthony Asquith, Tell England.
Après son premier mariage, avec Sylvia Brown, il s'inscrit à University College London où il s'engage dans des groupes s'inscrivant dans les mouvances socialiste et pacifiste (devenant plus tard un membre actif du CND - Campaign for Nuclear Disarmament) mais il n'obtient pas de diplômes, échouant en Latin. Avec une jeune famille à entretenir, Buckeridge se retrouve à enseigner dans le Suffolk et le Northamptonshire ce qui lui apporte une inspiration supplémentaire pour ses futurs ouvrages. Pendant la Seconde guerre mondiale, Buckeridge est appelé comme pompier, et écrit plusieurs pièces de théâtre avant de revenir au métier d'enseignant à Ramsgate.
Il avait alors coutume de raconter à ses élèves des histoires à propos d'un certain Jennings imaginaire (toutefois inspiré par le personnage de son camarade de classe Diarmid Jennings), un élève interne au collège de Linbury Court Preparatory School, dont le directeur était M. Pemberton-Oakes.
Après la Seconde Guerre mondiale, Buckeridge écrit une série de pièces de théâtre radiophoniques pour l'émission de la BBC', Children's Hour faisant la chronique des exploits de Jennings et de son camarade plus sérieux, Darbishire (Mortimer dans la version française) ; le premier épisode, Jennings Learns the Ropes, est pour la première fois diffusé le 16 octobre 1948.
En 1950, le premier roman d'une série de plus de vingt, Jennings goes to School, (Bennett au collège) paraît. Ces récits font une utilisation très libre du jargon inventif d'écolier de Buckeridge. Ces livres, aussi connus que la série de Frank Richards, Billy Bunter à leur époque, seront traduits en un grand nombre de langues.
En 1962, Buckeridge rencontre sa seconde épouse, Eileen Selby, qu'il reconnaît comme le véritable amour de sa vie. Ils s'installent près de Lewes où Buckeridge continue d'écrire et tient également quelques rôles (non chantant) au Festival d'art lyrique de Glyndebourne.
Buckeridge contribue de manière importante à l'humour britannique d'après-guerre, un fait reconnu notamment par le comédien Stephen Fry. Son sens de la réplique comique et de l'euphémisme délectable a été rapproché du style de P. G. Wodehouse, Ben Hecht et Ben Travers.
Buckeridge a écrit une autobiographie, While I Remember (ISBN 0-9521482-1-8). Il a été récompensé par l'Ordre de l'Empire Britannique en 2003.
Buckeridge est mort le 28 juin 2004 à 92 ans, atteint depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson. Il laisse sa seconde femme Eileen et trois enfants, dont deux de son premier mariage.
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