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Né le 4 février 1937 à Montreuil - 93, il se consacre tout d'abord au cinéma. Après des études à l'IDHEC, il est l'assistant de Jean Cocteau sur Le Testament d'Orphée (1960) et travaillera également avec Nicholas Ray. Il réalisera ensuite plusieurs courts puis long métrages s'inscrivant dans la nouvelle vague. Son premier long-métrage, intitulé successivement "Massacre pour une orgie" et "Orgie pour un massacre", sera totalement interdit en 1966 par la censure française. Il s'agissait d'un polar érotique, pour lequel Jean-Pierre Bastid avait pris le pseudonyme de Jean-Loup Grosdard (référence à Jean-Luc Godard).
Après l'enlèvement de Medhi Ben Barka, il enquète avec Jean-Patrick Manchette. En 1971, il co-écrit avec celui-ci Laissez bronzer les cadavres qui annonce un renouveau du polar et du roman noir français.
Depuis, il alterne l'écriture de romans et de scénarios, la réalisation de films pour le cinéma et la télévision, l'enseignement...
De la Guerre d'Algérie au soutien aux « sans papiers », Jean-Pierre Bastid est également un militant engagé à gauche.
Biographie
Né le 4 février 1937 à Montreuil - 93, il se consacre tout d'abord au cinéma. Après des études à l'IDHEC, il est l'assistant de Jean Cocteau sur Le Testament d'Orphée (1960) et travaillera également avec Nicholas Ray. Il réalisera ensuite plusieurs courts puis long métrages s'inscrivant dans la nouvelle vague. Son premier long-métrage, intitulé successivement "Massacre pour une orgie" et "Orgie pour un massacre", sera totalement interdit en 1966 par la censure française. Il s'agissait d'un polar érotique, pour lequel Jean-Pierre Bastid avait pris le pseudonyme de Jean-Loup Grosdard (référence à Jean-Luc Godard).
Après l'enlèvement de Medhi Ben Barka, il enquète avec Jean-Patrick Manchette. En 1971, il co-écrit avec celui-ci Laissez bronzer les cadavres qui annonce un renouveau du polar et du roman noir français.
Depuis, il alterne l'écriture de romans et de scénarios, la réalisation de films pour le cinéma et la télévision, l'enseignement...
De la Guerre d'Algérie au soutien aux « sans papiers », Jean-Pierre Bastid est également un militant engagé à gauche.
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