Michelle Freeman

Bien que cela reste lisible, on sent qu'il y a un problème avec la traduction. Mais pas seulement.

Si le style et surtout le récit avaient été bons en VO, cela transparaîtrait un minimum en VF, même avec une version médiocre.

Ce n'est pas le cas ici, confirmant que c'est bien l'écriture de Michelle Freeman qui est en cause.

L'histoire n'a pas grand intérêt, l'érotisme y est inexistant car décrit de manière clinique, vulgaire et lourde.

Que l'auteur se contente de vendre en VO et évite de faire perdre leur temps et leur argent aux lecteurs de la VF !

Archétype de la nouvelle érotique mal traduite, bien que cela reste à peu près compréhensible.

Et encore, je pense que la lourdeur du récit doit aussi se retrouver en VO.

L'histoire est tirée par les cheveux, et cette idée d'y mêler très souvent les moutons... Bof.

Mais malmener la syntaxe, le vocabulaire et toute la construction de la langue française sur un format aussi court, c'est carrément n'importe quoi.

Que l'auteur se contente de vendre en VO et évite de faire perdre leur temps et leur argent aux lecteurs de la VF !

Apparemment beaucoup de femmes fantasment sur les cow-boys, personnellement ce serait plutôt les indiens, l'auteur quant à elle semble préférer la douce odeur virile et sans doute rassurante de la laine de moutons! Pourtant d'après ce qu'elle décrit le musc que les hommes dégagent au contact de ces ovins n'a rien de bien excitant. Affaire de goûts sans doute. Toujours est-il qu'il doit falloir pas mal de muscles pour enfourcher la bête, la coincer entre ses cuisses puissantes pour la tonte de printemps! Quant à la douche obligatoire après une dure journée de labeur, en plus d'être nécessaire au beau mâle elle sert formidablement bien l'intrigue!

Ann Franklin possède un beau cheptel, pas mal de têtes de moutons, elle est en instance de divorce et craque sur le jeune Jason qui doit reprendre l'affaire de son oncle futur retraité. Pour un coup d'essai il réussit un coup de maitre en finissant dans le lit de sa future cliente, mais où le bât blesse c'est le style vraiment enfantin de l'écriture, sans doute du à une mauvaise traduction et une faiblesse flagrante au niveau de la relecture. Cette nouvelle érotique au lieu d'échauffer les sens a plutôt tendance à les endormir, le manque évident de vocabulaire engendre des répétitions lassantes de mauvais goût, qui ont surtout le pouvoir de faire ressortir les faiblesses d'un scénario déjà maigre. A éviter!

Très mal écrit, si c'est une traduction, j'espère qu'elle va se donner la peine de changer de traducteur pour ses prochains livres car c'est vraiment très mal écrit. Je ne l'ai pas fini.

La traduction est déplorable ! C'est à penser que c'est passé par un logiciel de trad sans plus.

Quand à l'histoire, elle perd beaucoup à cause du style de l'écriture... c'est très moyen, voir pas bon. On a du mal à entrer dans l'histoire qui est pourtant courte.

Dommage...

Cette nouvelle est juste un peu moins pire que "Plaisir coupable" en ce qui concerne la traduction. Par contre le style est déplorable...

Si vous aimez le style de littérature porno, cette nouvelle est pour vous, mais attention aux répétitions et une incohérence dans les mesures... oui un god large de un centimètre et demi... et de longueur vingt centimètres... un tube à essais quoi... J'en ris encore !