Alain Pâris

La première fois que j'ai lu ce livre, j'ai eu du mal à entrer dedans. Je l'ai relu quelques temps plus tard, et là! J' apprécié! On entre dans une société décadente, sclérosée, une population tenue par un gouvernement despotique et un couple de héros réfractaires. Un thème récurrent, diriez-vous. Oui, en effet mais une invitation à découvrir malgré tout.

Ce n'est pas en citant quelques collègues écrivains, que l'on va améliorer ce petit récit sans grand intérêt. D'autres, on écrit sur le sujet, mais avec plus de réussite.

À éviter sauf si l'on est collectionneur.

Alain Paris c'est contenté de puisé dans le déjà écrit, le déjà imaginé, bref , rien de bien nouveau pour Atlantis

Cette Bd aux couleurs superbes en à mi-chemin entre un polar et un historique. Cette histoire prend place au 16e siècle, sur une île chrétienne près d’Istanbul. Déjà, pour l'amateur d'histoire que je suis, ça me parle. Nous sommes sur une île où apparemment, la violence est de rigueur. C'est pour cela qu'il faut un nouveau Prévôt, en la personne d'Ogier. On tente de l'assassiner sur le bateau qui l'amène sur l'île de Galata, mais il y a erreur sur la personne et un poète est retrouvé mort dans la cabine du prévôt. Commence alors l'enquête sur le commanditaire de ce meutre.

Sans la totalité de l'histoire, c'est dur de ce faire une idée sur le scénario, mais pour le moment, c'est pas mal. On ne peut pas dire qu'il manque d'action. Le dessin m,a intriguée par contre, car on a l'impression que les hommes sont tous sur stéroïde avec une musculature plus ou moins réaliste, limite impossible, à la manière des super-héros de Marvel/DC. Le personnage d'Antonio est un énième stéréotype du "bidouilleur à la Alexandre de Vinci", ce qui de mon point de vue, est déjà-vu. Il y a très peu de femmes! Est-ce parce qu'à cette époque, on cachait les femmes? En tout cas, il y a en a très peu. Comme l'a souligné un autre lecteur dans les critiques, il y a quelques erreurs dans le dessin, notamment le bateau qui fait gicler un tsunami d'eau au bord, dans un revirement trop serré. C'est tout simplement impossible pour une galère de cette époque. Bref. Je n'ai pas détesté, dans l,ensemble.

Le simple fait d'écrire un commentaire sur ce qui n'a aucun intérêt littéraire est déjà beaucoup pour du rien. Bref, pour collectionneur.

Suite d'une série que je ne finirai pas. Ce deuxième volume ne nous apporte pas grand-chose à l'histoire commencée avec le premier volume. Pour collectionneurs

Cette année j'ai décidé de sortir davantage de ma zone de confort et de lire plus de livres de SF. Comme c'est un genre difficile à appréhender pour moi, j'ai trouvé des petits livres, assez courts de la collection anticipation, ils datent des années 1980, mais ça vieillit plutôt bien. A mon grand étonnement, j'ai vraiment apprécié ma lecture, les personnages des traqueurs m'ont vraiment fait penser à la communauté des sorceleurs, pour ceux qui connaissent Gérald De Riv dans the witcher et du coup je me suis beaucoup attachée à eux. Les fans de SF ne crieront pas au génie, mais pour la novice que je suis c'était une lecture réussie, il y a des combats, des sentiments de l'horreur aussi, c'est assez rythmé pour qu'on ne s'ennuie pas.

J'ai bien aimé l'histoire, sympa à découvrir et à lire. J'aime bien le côté historique de la bande dessinée et l'époque à laquelle elle se déroule.

Suite des aventures de Jaemon. Cette histoire d'heroic fantasy se lit assez vite et est plutôt bien faite.

Un bon troisième tome qui reprend les codes des deux premiers. Je n'ai rien de spécial à dire, si ce n'est que la lecture reste sympa et le graphisme intéressant. Hâte de lire le dernier tome de la saga.