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— Ton corps !Il s’écarte et m’interroge du regard, les yeux encore alanguis.
— Quoi, mon corps ?
— On l’a oublié dans la voiture !
J’ai déjà entendu parler de personnes oubliant leur bébé ou leur chien dans la voiture, mais là, c’est une première !
Afficher en entier« - Imagine un peu, reprend-il rapidement pour dissimuler son embarras manifeste. Un type qui ne supporte pas qu'on le touche, tombant amoureux. Et moi qui croyais que le fait d'être coincé avec mon père, à la mort de ma mère, était une cruelle ironie, la pire blague que l'univers ait pu me fait... (Il détourne son regard) Tant pis ! Je voulais au moins être auprès de toi, même si je ne pouvais pas te toucher. »
Afficher en entierIl pose la main sur mon visage et fait lentement courir ses doigts de ma tempe à ma pommette. -ça me manque de ne rien pouvoir toucher,murmure-t-il. Puis il effleure le bas de mon visage.Les yeux fermés,je me concentre peu à peu sur la caresse de ses doigts. -C'est vraiment agréable,susurre-t-il. J'esquisse un pas vers lui.Mon visage n'est plus qu'à quelques centimètres du sien. Et soudain nos lèvres se scellent dans un baiser. Enivrée par le le contact de nos bouches,j'ai la tête qui tourne.
Afficher en entierC’est un joli brin de fille, hein ?
Je me fige net. Cette voix artificielle, cette voix qui me met systématiquement à cran… je la reconnaîtrais entre mille. C’est celle du Vieux.
Bonjour, Callie. Je ne t’ai pas trop manqué ?
Je fais mon possible pour garder mon sang-froid et répondre d’une voix calme.
— Non. Pas du tout. Vous savez ce qu’on dit : loin des yeux, loin du cœur.
Songeant soudain qu’il voit à travers mes yeux, je planque mes mains tremblantes dans mon dos pour dissimuler ma nervosité.
Menteuse. Tu n’as pas cessé de penser à moi, avoue. À chaque heure, à chaque minute de chaque jour.
— Ma parole, vous vous prenez vraiment pour le centre du monde !
Afficher en entierPaume en l'air,je tends lentement la main vers lui.Je me demande s'il se souvient de la fois où nous étions séparés par la vitre,au laboratoire de dawson.A son tour,il lève la main.Nos paumes se rencontrent et s'effleurent dans les airs. Nous restons comme ça quelques instants.Hyden ferme les yeux.je me demande s'il a mal.Il rouvre les paupières et me décoche un léger sourire.Et voilà la réponse à ma question. Il entrelace ses doigts aux miens,m'attire près de lui et se penche sur mon visage pour m'embrasser.Nos lèvres se joignent.Il m'embrasse en tant que lui même.Sans l'intermédiaire de Blake oude Jeremy sans porter de masque. C'est le paradis.
Afficher en entier"Récapitulons: je suis prise au piège dans un parking souterrain avec un Starter qui clame être le fils du Vieux et nous sommes pourchassés par des tueurs. Super."
Afficher en entier" Hyden attend que le type soit descendu et qu'il ait rejoins la porte de service pour déverrouiller les portières.
-Vas-y, grimpe
Je m'exécute. Le temps que mes yeux se fassent à l'obscurité, il s'est installé côté conducteur.
-Tu vois ça ? fait Hyden en désignant les parois ultrarenforcées. C'est blindé. (Il cogne dessus.) Doublé de titane.
-Ca a dû te coûter un bras.
-Tout dépend. Tu donnes quel prix à ta vie ? me questionne-t-il, les yeux plantés dans les miens.
-Bonne question..."
P.76-77
Afficher en entierBref, pour faire court : j’ai atterri au paradis des geeks.
Afficher en entier"Ensemble, nous nous dirigeons vers notre destin, un destin dont nous serons désormais les maîtres."
Afficher en entier— Joli travail, Callie, me félicite Dawson.
— Je n’ai fait que remplir ma part du contrat.
— Quel contrat ? demande Beatty, hébétée.
— J’ai accepté de travailler pour lui à condition qu’il me laisse exposer vos crimes au grand jour.— Vous n’avez pas le droit ! Je suis la directrice, et je connais des gens haut placés, croyez-moi ! hurle-t-elle, de rage.
— Plus maintenant, non, lui dis-je, un grand sourire aux lèvres, histoire qu’elle emporte cette image de moi dans sa cellule.
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