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Extrait ajouté par Luniversdeslivres85 2018-08-20T03:46:25+02:00

- Tristan ! ris-je doucement. Je ne vais pas te bouffer.

- Je le sais... Mais je suis moins sûr du contraire, lâche-t-il d'une voix profonde, en me fixant intensément.

(Tristan & Liv)

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Extrait ajouté par alexee24 2016-03-22T01:12:16+01:00

« – Si seulement cette foutue famille n’avait jamais existé, soupiré-je en regardant vers le plafond, comme si un dieu quelconque pouvait m’entendre.

– Alors on ne se serait sans doute jamais rencontrés, déduit la voix grave, redevenue sérieuse.

– Je ne sais pas si ça aurait été pire que ça, avoué-je tout bas.

– Ça quoi ? soupire-t-il en tournant son visage vers moi.

– Tu sais très bien quoi, réponds-je en laissant glisser mes yeux sur ses lèvres.

– L’interdit, prononce-t-il enfin, juste avant de m’embrasser. »

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T21:20:20+01:00

vraiment que c’est ce qu’on fait ?

Une foule de larmes afflue dans mes yeux avant que j’aie le temps de déchiffrer son regard bleu.

Soudain, son grand corps tombe à genoux devant moi. Tristan prend mon visage entre ses mains et murmure d’une voix à peine audible :

– Non. Ce n’est pas ça, Liv. Je ne sais pas ce que c’est, mais ce n’est pas ça… On va trouver ce salopard. Je te promets.

Je laisse aller mon front contre le sien. Je ne sais pas si je peux le croire, mais ses mots me rassurent. Et le contact de ses mains brûlantes sur mes joues noyées de larmes m’apaise. Son souffle près de mes lèvres me permet de respirer à nouveau. Et sa bouche sur la mienne me fait tout oublier. Le temps d’une infinie seconde, où le plaisir vient galoper dans mes veines pour chasser l’angoisse.

Pourquoi plus rien n’existe chaque fois que ce garçon m’embrasse ?

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T21:18:23+01:00

– Pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt, putain ?

Il revient s’asseoir à côté de moi sur le lit, sa tête penchée entre ses jambes.

– Parce que…, hésité-je. Parce que ce n’est pas comme si on savait se parler, toi et moi.

– Si, on se parle ! me contredit-il en se redressant.

– Oui, on se parle pour s’envoyer chier. Ou se dire des trucs… qu’on ne devrait pas se dire. C’est tout ce qu’on sait faire !

– Réfléchis ! lance-t-il en se relevant pour faire les cent pas dans sa chambre. Qui était là ? Sur la plage quand on s’est embrassés. Au concert quand on a…, ajoute-t-il sans finir sa phrase.

– Au Wild Motel, il n’y avait que nos meilleurs amis…

– Drake ne ferait jamais ça !

– Bonnie non plus. Et ils étaient bien occupés, tous les deux. Et Fergie a été malade toute la nuit.

– Et au bar ? continue à lister Tristan.

– Il y avait juste la moitié de la ville. Et l’intégralité des gens que je connais ici, soupiré-je, dépitée.

– Fais chier ! jure-t-il en serrant les mâchoires.

– J’ai déjà pensé à tout ça…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T21:17:10+01:00

– Où tu vas ? me retient la voix de Tristan quand je traverse la cour, mes tennis toujours à la main.

– …

– Liv, reste là ! continue-t-il quand j’atteins le portail.

– …

– Ne fuis pas, Sawyer ! me provoque-t-il.

– …

– Pourquoi tu ne te bats pas un peu pour moi ?

Cette fois, je m’arrête, dos à lui, figée de colère.

– Si tu ne dis rien, balance-moi tes pompes à la tête, au moins ! lâche sa voix grave et insolente.

– Tu trouves ça drôle, Quinn ? je lui réponds enfin en me retournant brusquement et en avançant droit sur lui. Ça te fait rire que cette pauvre fille ait fait tous ces kilomètres pour toi et que tu ne saches même pas lui dire oui ou non ? Ça te fait rire que ta mère décide à ta place si Piper va rester ou pas ?

– Pourquoi tu la défends, elle ? Pourquoi tu ne te défends pas toi ? lance-t-il les yeux plissés, l’air sérieux.

– Parce que je ne vais pas me battre contre toutes tes ex alors que je ne suis même pas sur la liste. Parce que moi, je n’existe pas. Je suis censée assister à vos retrouvailles débiles, sans rien dire. La regarder te séduire, te toucher, sans rien avoir le droit de ressentir. Parce que tu as enfin rencontré une fille « bien » et que je devrais être contente pour toi. Voilà pourquoi ! m’écrié-je à voix basse.

– Je meurs d’envie de t’embrasser, Liv Sawyer. Mais ton père nous regarde par la fenêtre, me chuchote Tristan sans bouger.

Il se mord les lèvres. Je flanche à moitié. Incapable de penser. Tristan est toujours torse nu, face à moi. Son regard bleu perdu dans mes yeux au bord des larmes.

– Piper ne compte pas pour moi. J’ai été parfaitement clair avec elle quand j’ai quitté l’internat. Tu sais que je ne joue pas à ça.

– Non, mais tu joues avec moi, bredouillé-je d’une toute petite voix.

– Je vais lui dire de s’en aller. Je ne l’aurais jamais laissée rester. Ni dîner, ni dormir.

– Je m’en fous, mens-je en essayant de me recomposer un visage.

– Tu me détestes ? tente-t-il en penchant la tête.

– Non, je m’en fous.

– Je préfère quand tu me détestes, sourit-il à peine, creusant sa fossette.

– Peut-être, mais tu ne peux pas tout décider. Et tu ne peux pas tout régler avec ton putain de sourire en coin !

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T20:33:05+01:00

Je crève de jalousie.

Je suffoque. Je bouillonne à l’intérieur et je ne dois surtout pas le montrer à mon père. Encore moins à Tristan Quinn, le sex-symbol trop convoité, qui laisse partout où il passe une fille transie d’amour, prête à tout pour le récupérer, une autre à qui il a peut-être pris sa virginité, une autre qui a cru pouvoir le faire changer, ou qu’avec elle, c’était différent. Et il a le culot de trouver ça marrant.

J’ai de plus en plus de mal à respirer. Ou juste à le regarder. Je le hais et je voudrais lui balancer une tarte au potiron en pleine tête. Faire cesser le rire de crécelle de Piper en lui fourrant une dinde entière dans la bouche. Et donner une bonne raison à Sienna de hurler en me ruant sur son fils pour l’embrasser, le serrer, sentir sa peau, enfoncer mes doigts dans ses cheveux encore mouillés, mes ongles dans ses épaules musclées, faire cogner mon cœur contre le sien plutôt que tout seul dans son coin. Et leur montrer à tous qu’il est à moi.

À MOI !

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T20:31:13+01:00

Tous les soirs, Harry nous raconte ce qu’il fait à l’école avec une lueur d’excitation dans ses billes bleues. J’ai l’impression qu’il parle mieux. Et sa présence nous empêche de déraper, Tristan et moi, même si les regards et les soupirs continuent d’en dire long sur la nature de notre relation. On continue à s’interdire de céder à la tentation, avec une persévérance qui me surprend moi-même. Mais je crois qu’on prend presque autant de plaisir à résister, à se chercher, à vérifier que l’autre tient bon, à le surprendre dans ses moments de faiblesse, à jouer avec le feu avant d’éteindre l’incendie avec une vanne cinglante. À rester juste à la frontière de ce qui est permis et de ce qui est interdit.

Pour un peu, on ressemblerait presque à un vieux couple… À force d’éviter à tout prix d’en devenir un.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T20:30:30+01:00

– Peut-être que tu sais pertinemment que tu l’as trouvé…

Ma nuque frissonne sous la voix grave, étouffée. Et mes mains glissent toutes seules vers le visage du petit garçon pour cacher ses yeux sous mes paumes. Je tourne légèrement la tête, découvre les iris bleus remplis de lumière et de rébellion, et les lèvres charnues à quelques millimètres des miennes. Nos souffles s’emmêlent.

– Peut-être, répété-je pendant que mon cœur s’arrête.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T20:29:49+01:00

– Mes enfants à moi ne seront pas surprotégés, annonce-t-il comme s’il y avait réfléchi. Ils auront un cadre pour ne pas faire n’importe quoi, mais ils apprendront aussi à se débrouiller tout seuls.

– « Key West : Le chanteur de rock devenu père au foyer. »

– Ça ne me dérangerait pas, avoue Tristan en haussant les épaules.

– Vraiment ? Rester à la maison toute la journée ? Jouer avec des peluches et changer des couches ?

– Ce sera toujours mieux que rester coincé derrière un bureau à se donner un air important juste parce qu’on vient de vendre une maison de vacances à un millionnaire qui en a déjà quatre, m’envoie-t-il dans les dents.

– Au moins, mon boulot me rendra indépendante. Je n’aurai pas besoin de me trouver un mari que je n’aime pas mais qui m’entretiendra.

– Tu peux aussi te marier par amour, Sawyer. Il y a des femmes un peu moins terre à terre que toi.

– Quand est-ce que tu es devenu un grand romantique, toi ?

– Et quand est-ce que tu m’as volé mon cœur de pierre ? rétorque-t-il, à la fois amusé et perplexe devant ce retournement de situation.

– Mon père s’est marié deux fois, ta mère aussi, on ne sait même pas pourquoi ils se sont choisis et combien de temps ils vont encore pouvoir tenir comme ça, alors excuse-moi de ne pas vouloir reproduire le schéma. S’engueuler sur tout, être d’accord sur rien, se noyer dans le travail pour passer le moins de temps possible ensemble et se retrouver le soir juste parce que la vie est un peu moins difficile à deux que tout seul. Le mariage ne me fait pas vraiment rêver, non.

– Personne ne t’oblige à avoir les mêmes petits rêves étriqués qu’eux, souffle Tristan, amer, comme s’il était déçu de mon discours.

La tristesse de sa voix fait sursauter la pierre dans ma poitrine. C’est comme si je pouvais la sentir se fissurer et l’âme de Tristan Quinn venir s’insinuer tout doucement dans les failles, son sang brûlant envahir mes veines froides et bleutées.

– Peut-être que je n’ai pas encore rencontré celui qui me fera changer d’avis.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-02T20:28:34+01:00

À plusieurs reprises, l’eau salée me recouvre le visage, mais se retire dès la seconde suivante pour m’offrir à nouveau aux rayons du soleil.

C’est un peu l’impression que j’ai avec lui. Avec Tristan. Il est à la fois la mer calme qui m’attire, me berce, me caresse. Et la mer agitée qui me tourmente. Qui me donne la sensation de me noyer.

Et je ne suis pas sûre de vouloir que ça s’arrête.

Comment on dit, déjà ? Maso ?

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