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La perception de l’avenir de la relation peut-être certes différente pour un homme que pour une femme, celle-ci voyant l’acte sexuel comme le début d’une relation alors que l’homme le voit comme la consécration ou l’aboutissement de ses désirs…
… La peur de l’abandon commence après l’acte de chair chez une femme comme si donner son corps était plus important que tout le reste alors que pour un homme la peur de l’abandon commence dès lors qu’il ressent de l’affection. Il est par conséquent beaucoup plus difficile pour un homme de s’ouvrir aux sentiments que pour une femme
Afficher en entier— C’est la situation, Jamie, et puis les mots, ils sont un puissant aphrodisiaque, bien plus puissants que n’importe quelle caresse. Les préliminaires commencent dans la tête dans l’imaginaire, avec le bon contexte et les bons mots on peut faire jouir une femme sans la toucher.
Afficher en entierLe désir et la frustration, les deux mamelles de notre société de consommation autour desquelles tourne notre monde. Ce sont des réactions primaires simples basiques. Le désir est une chose inéluctable presque aussi puissante que sont la honte et la peur, qui surpassent de loin la joie au niveau émotionnel. Et si vous voulez vous amuser à jouer le jeu pour vérifier vous vous rendrez très vite compte que parmi vos souvenirs les plus récurrents, les choses que vous n’oublierez jamais arrivent dans cet ordre : en premier, la honte, personne n’oubliera jamais toutes les fois où il a ressenti ce sentiment. En second, la peur, rien n’est plus puissant et la plupart de nos frayeurs resteront en mémoire à vie. Et, enfin la joie, qui arrive malgré tout en troisième position, mais l’intensité d’un moment de joie n’égalera jamais une décharge d’adrénaline provoquée par la peur ou un trouble aussi puissant que la honte qui restera pour toujours gravée au fer rouge.
Afficher en entier(...) Vivre pour séduire n’est qu’un leurre, juste plaire aux autres et en tirer une certaine satisfaction, la satisfaction d’oublier qui on est et pourquoi on fait ce qu’on fait. On vend du rêve auquel on finit par croire, on se sent tout puissant lorsque tout le monde succombe au charme qu’on veut bien leur vendre, mais tout ceci n’est qu’une immense supercherie. Une fois qu’on a fini de vanter ses mérites illusoires pour finaliser la transaction, on se retrouve face à soi-même, un escroc, un vendeur de rêve qui a oublié ce que c’est que de rêver.
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