Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
719 011
Membres
1 034 882

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Extrait

Extrait ajouté par melywen 2018-11-15T09:02:48+01:00

André Gibon attendit que tous soient sortis avant de se laisser choir dans un des fauteuils.

— C’est une sale affaire, avoua-t-il à Barbaluc.

— C’est-à-dire ?

— Samedi matin, quand j’ai appris le décès de Thierry Martin, tout était clair. Le malheureux s’était bel et bien suicidé.

— Comment cela s’est-il passé ?

— Vendredi soir vers 23 heures, il a téléphoné à son fils Guillaume pour lui dire qu’il comptait mettre fin à ses jours. Ce dernier a tout de suite prévenu sa mère qui n’a jamais réussi à joindre à nouveau son mari. Le lendemain matin, on a retrouvé son corps flottant dans le port de La Roche-Bernard et sa voiture abandonnée à proximité des ruines de l’ancien pont qui enjambe la Vilaine.

— Pourquoi était-il en Bretagne ?

— Je n’en sais fichtre rien. Normalement, il devait passer toute la semaine en Dordogne. Mercredi, il nous a d’ailleurs envoyé par mail ses premiers comptes rendus d’inspection sur des restaurants de la région de Sarlat.

— Et que dit la gendarmerie ?

— Elle confirme la thèse du suicide. Martin aurait sauté dans la Vilaine… Il ne savait pas nager.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode