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Lu aussi

Je remercie la maison Gufl stream de nous avoir envoyé ce service de presse en librairie.

Globalement, je suis restée sur ma faim et je trouve qu'on est resté dans les codes très standards pour ce genre de fiction. Je ne lui trouve rien d'innovant ou de différent.

Nous avons Arthur, garçon en apparence ordinaire, mais qui possède d'étranges facultés. En grandissant, ses étranges dons semblent de plus en plus perturbants, cassant et détruisant de plus en plus d'objets, du pantalon réduit en poussière à la vaisselle ébréchée. Avant que les gens découvrent le pot aux roses, on l'envoi dans un hôpital mystérieux qui peuvent retirer les pouvoirs des enfants de moins de 18 ans. Mais quand Arthur s'y retrouve, c'est pour rester enfermé dans une pièce sans fenêtres où le lieu autant que ses infirmières sont froids et impersonnels. Arthur se croirait presque en prison. Quand il perce accidentellement son mur avec son lit ( pouvoir incontrôlables obligent) , Arthur fera la connaissance de son voisin, Zéphyr, et d'une autre patiente, Aurora. Celle-ci navigue dans le réseau électrique grâce à sa taille variable. le discours qu'ils tiennent est tout le contraire de celui d'Arthur: ils ne veulent pas perdre leurs pouvoirs et n'ont pas consenti à être là. Il faut dire qu'avec toutes les restrictions et le comportement terrible des infirmière, il y a anguille sous roche...en fait, l'anguille est si grosse qu'elle déplace la roche.

L'idée de base, à savoir un détenteur de pouvoirs dont les conséquences sont désastreuses, était bonne, même si on comprend mal en quoi consiste son pouvoir. Mais plutôt que de tabler sur cet axe, d'extraopler sur ce drôle de "Contre-Super-Héros", on revient aux traditionnel huis-clos d'enfants avec des pouvoirs enfermés quelque part et cherchant à fuir.

Attention, à partir d'ici, il y aura des divulgâches.

En ce qui concerne le suspense, c'est pour ma part plutôt plat. Il y a avait quand même de très fortes chances qu'un "docteur louche" ne se contente pas de gentiment retirer des pouvoirs encombrants d'enfants magiques, surtout avec un contexte aussi évidemment louche: lieu secret, chambre impersonnelle et infirmière antipathique. le seul suspense consistait à savoir si le méchant employait les pouvoirs récoltés pour alimenter un réseau de riches qui souhaitaient "pimper" leurs enfants ou s'il se les accaparait pour son seul bénéfice. La seconde option fut la bonne. Je vais être lucide sur un point: je suis très difficile à impressionner sur le plan de l'originalité maintenant, avec autant de livres du lectorat Intermédiaire au compteur. Je pense que mes amateurs et amatrices de super-héros seront moins sujet à tout deviner que moi. J'aimerais dire que ce sont de nouveaux pouvoirs observé , mais en fait, j'ai vu la plupart d'entre eux. Ici, on a un gars aux pouvoirs vraiment pas clairs ( je ne sais absolument pas de quels type il s'agit, c'est très confu, entre la téléportation, la désintégration, la télékinésie, l'invisibilité et le sonar destructeur) , une fille qui change de taille et un autre gars qui est capable de camoufler autant son corps que les objets. Il y en a un qui guérit les autres également. Ça m'amuse de voir à quel point les auteurs ont du mal à sortir des pouvoirs déjà employé.

Par ailleurs, il y a un soucis de cohérence dans la construction de cet univers. On ne sait absolument pas d'où viennent les pouvoirs des enfants et on assume que c'est simplement là. Dans le cas d'Arthur, il fut caché, dans un sens, par ses parents, mais pour tous les autres, ils sont arrivés dans cet hôpital sans trop qu'on sache comment et si leurs pouvoirs avaient détecté au préalable par leurs parents. Aurora et Zéphyr se disent "abandonnés", mais on a vu les parents de Arthur subir un état de confusion avant de quitter leur fils sans réactions. Peut-être est-ce aussi le cas des parents des deux enfants? Le mégalomane nous informe qu'il a 118 pouvoirs et un âge très avancé ( quoi, il est immortel en plus?). La question que ça sous-tend, c'est que dès lors, il y a au moins 118 enfants qui ont été dépossédés de leur dons en quelques siècles. Ok, donc, ce n'est donc pas si rare que ça les pouvoirs magiques? Comment expliquer que depuis le temps la CIA et ses organisations similaires n'ont pas déjà sauter sur ces enfants dotés de pouvoirs? Non, c'est un dude qui a bâtit un QG secret dans un reste de maison, avec des infirmières robots, qui siphonne les pouvoirs des enfants pour son seul bénéfice. Il faisait comment il y a 400 ans sans les robots et son bazar techno, d'ailleurs? Toutes ses extrapolations pour questionner le travail de fond, qui est très flou et qui donne l'impression de sauter d'un hôpital vaguement louche à conquête du monde style Terminator en moins de 140 pages.

En outre, il y a cette phrase latine commodément écrite sous la chaise de la chambre d'Arthur. Elle a tout changé, car c'est une phrase nihiliste: elle permet d'annuler toute magie, ce qui, dans un complexe bourrée de magie, est une arme de destruction massive. Je regrette seulement de ne toujours pas savoir d'où elle vient et pourquoi son effet reste extrêmement temporaire parfois et pas à d'autres moments. Ce qui me rappel qu'il y a des sorts en plus dans cette histoire. On a donc autant de magie écrite que de magie de type "pouvoirs".

Je suis également toujours amusée de voir des histoires où des enfants ou des ados mettent à mal des systèmes entiers avec des solutions sommes toutes faciles. Les dictateurs sont très souvent de fieffés imbéciles où leur ego les rend si peu prudents et si mal entourés qu'ils sont mit en échec avec deux trois coups de génies de la part desdits ados et enfants ( comme dans la trilogie Divergente, par exemple). En même temps, c'est le même constat que je formule souvent avec les livres policier du lectorat intermédiaire. Des enquêtes faciles et des antagonistes indubitablement stupides, incapables de penser que les enfants ne sont pas débiles - surtout quand ils ont en plus un éventails de super-pouvoirs. Bref, quand je dis que ce n'est pas simple d'écrire pour le lectorat jeunesse, je le réitère ici. Je dirais que j'ai comme difficulté, avec le présent roman, de déterminer ce qui le rend unique.

Un détail m'asticote beaucoup: Vers la fin, je retrouve cette phrase: " Bien que totalement méritée, cette déclaration suscita une pointe de jalousie d'Aurora. Jusqu'alors elle n'avait pas eu a disputer sa place dans le coeur de Zéphyr avec une autre fille". Je déteste DÉTESTE qu'on continue de parler de la jalousie comme un ingrédient amoureux, parce que c'est faux. La jalousie est une émotion qui traduit surtout un trait possessif et égoïste, encouragé par notre société, qui veut, en plus, que les filles compétitionnent pour les gars. La jalousie ne devrait pas être associé aussi fréquement à quelque chose d'aussi altruiste, complice et respectueux que l'amour. On a ici une petite fille et une ado, et je trouve terriblement stupide que même avec cet écart d'âge, l'ado se sente jalouse d'elle, comme si reconnaitre les qualité de la petite demoiselle était considéré comme de la rivalité et comme si le "coeur" de Zéphyr ne pouvait contenir qu'une fille. Il serait bon de dire que les béguins ne devraient pas monopoliser le coeur de quelqu'un parce que c'est égoïste et puéril, et que les filles peuvent très bien "se partager" ( je déteste cette formulation) un gars de par leurs différents rôles.

Ce qui m'amène à dire que nous avons encore une relation de type "béguin" parce que nous avons minimalement un garçon et une fille. Compte tenu de l'histoire, ce n'était pas nécessaire, surtout que quand je regarde la qualité de leur relation,qui n'est pas franchement harmonieuse. Je n'aurais jamais imaginé que ces deux personnages puissent être amis, alors vaguement amoureux encore moins. Ça ne sait pas communiquer sainement et ça ne sait pas reconnaitre les forces de l'autre, je ne peux pas dire que ça laissait entendre un béguin, c'est même le contraire.

Enfin, la fin était clichée à souhait. On a encore un mégalomane déraisonnable avide de conquérir le monde et qui a détruit des villes avec ses kilos de pouvoirs accumulés. Je n'ai pas bien saisi ce "qu'est" le "collapsum" finalement, ce qui est agaçant. Surtout qu'avec 118 pouvoirs, franchement, il aurait pu prendre le contrôle de l'ONU ou d'un gang mafieux quelconque, je ne sais pas, mais clairement, il n'avait pas tant besoin de tous ces enfants et d'un délais de plusieurs siècles. Il nous sert même un long discours sur ses plans comme les méchants dans les Comics. Ah ben merci, maintenant, on a une idée de l'ampleur de sa stupidité et de ses plans. J'ai trouvé ce méchant ennuyeux et ultra-convenu, sans nuances et sans personnalité.

Donc, je dirais que je trouve rien pour le défendre, avec un scénario trop rapide, des éléments trop peu travaillés, la présence de clichés et les personnages qui sont, je le constate, peu attachants. Je suis consciente que j'analyse beaucoup et que mes jeunes lecteurs ne le feront pas autant. Aussi, l'idée d'être aussi pointilleuse est surtout que je cherche les "meilleurs" livres, puisque c'est un des aspects de mon travail. Je ne vais donc pas en parler, mais pas non plus décourager les jeunes lecteurs de le lire. Disons simplement que je vais sans doute vite l'oublier.

La couverture est sympathique, bravo à l’illustratrice.

Pour un lectorat du 3e cycle primaire, 10-12 ans

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Lu aussi

Arthur a des pouvoirs magiques qu'il ne contrôle pas.

Alors quand un établissement lui propose une solution miracle, le débarrasser de ses pouvoirs, il saute sur l'occasion.

Mais au-delà du fait qu'il va être séparé de ses parents, il va aussi réaliser que cette option n'était pas forcément la meilleure...

Une fois encore je suis conquise par un jeunesse de chez Gulfstream.

Bien qu'il soit, une nouvelle fois, question de magie, l'intrigue ramène un petit quelque chose en plus. Du suspense et de la réflexion.

Ça ferait une parfaite 1ere enquête pour les plus jeunes !

Mention spéciale pour le méchant de l'histoire qui tient très bien son rôle et pour les infirmières qui sont même un peu flippantes ! On ne peut qu'espérer que personne ne se fera prendre.

Nous n'avons pas toutes les réponses à nos questions à la fin de ce premier tome, malgré tout, l'action est présente. Nous avons même droit à un petit plot twist de qualité. Ce que l'on apprend déjà ici est vraiment intriguant et laisse présager de très belles choses pour la suite !

Que ce soit Arthur ou ses nouveaux amis, je les ai trouvés très attachants et drôles. Leur enfance n'est pas la plus simple, leur pouvoir (tous différents c'est un plus) fait "peur", n'est pas bien accepté, personne ne les aident à les gérer et pourtant ils ne se démonteront pas. Pour sortir de cet hôpital particulier, mais aussi pour sauver d'autres enfants. Ils n'ont pas froid aux yeux !

Il y a donc de l'entraide, de l'amitié, de la solidarité.

Mais on aborde aussi la "pression" des parents quand ils ne comprennent pas ce que vivent leur enfant. Arthur ne gère pas ses pouvoirs mais quand en plus ses parents le gronde, tout part en sucette. Il a donc cette envie de bien faire et d'être (enfin) accepté comme un petit garçon normal. C'est donc aussi bien travaillé sur les émotions.

En bref, c'était court mais plein de surprises et j'ai hâte de voir ce que ça va donner la suite, qui arrive dans quelques mois !

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