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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-03-17T08:31:26+01:00

Il se penche, pose ses lèvres fiévreuses sur les miennes. Au début, c’est doux, lent, tendre, sensuel, comme si nous venions de nous rencontrer et que nous nous cherchions, puis l’atmosphère se réchauffe, jusqu’à devenir quasi électrique. Il m’embrasse alors à pleine bouche. Nos langues s’enroulent désormais dans un long baiser profond, presque violent, qui étouffe nos soupirs de plaisir. J’adore cette sensation d’être en sa possession bienveillante, à la fois soumise et vénérée.

– J’ai si envie de toi, gronde-t-il. Je veux te prendre, je…

– Chuuut…, on a tout notre temps. J’ai prévu quelque chose avant ça.

Il penche la tête sur le côté, m’interroge du regard. Il est renversant de charme et de beauté. Je désire plus que tout sentir sa peau contre la mienne. J’ai besoin de cette chaleur, de ce contact. C’est urgent !

– Laisse-toi faire, ajouté-je en commençant à le déshabiller.

Alexander acquiesce. En quelques secondes, sa chemise s’envole dans les airs pour planer vers le parquet. Oceaán enchaîne sur « To Lose » et, comme si c’était une évidence, je m’agenouille à ses pieds. Visage relevé vers lui, je déboutonne son jean en le provoquant du regard, avant de faire glisser le pantalon jusqu’à ses chevilles. Je me mords la lèvre inférieure. Son boxer blanc est déformé par une érection impressionnante. Sans réfléchir plus longtemps, je débarrasse Alexander de ce sous-vêtement totalement inutile.

À quelques millimètres de mon visage, son sexe se dresse fièrement. Je lève les yeux vers Alexander.

– Il est beau, dis-je en posant l’index à l’extrémité de son sexe.

– Il est à toi, répond-il en frissonnant.

Mmm, bonne réponse…

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-03-17T08:26:17+01:00

C’est très troublant. J’ai déjà posé mes skis lorsqu’Alexander me rejoint devant le chalet, avant de s’arrêter en faisant jaillir un geyser de neige avec ses carres.

Il déchausse, remonte ses lunettes sur son front, retire ses gants, s’approche et me regarde en penchant la tête sur le côté.

– Espèce de petite menteuse, déclare-t-il.

– Quoi, petite menteuse ?

– « Oui, j’aime assez », dit-il en essayant d’imiter ma voix.

– Je parle comme ça, moi ? fais-je faussement vexée.

Il éclate de rire.

– Aileen, tu m’as bluffé ! Qui t’a appris à skier mieux que moi ?

– Le père de Sarah.

– Ta meilleure amie qui vit dans le Colorado ?

– Oui, je vais la rejoindre assez souvent à Keystone.

Il se colle à moi et m’embrasse à pleine bouche.

J’aime de plus en plus cet endroit…

– Tu es une championne, souffle-t-il en abandonnant mes lèvres et en retirant un peu de neige qui fond sur le bout de mon nez. J’ai participé à quelques compétitions, mais tu m’as mis un vrai boulevard. Tu m’as bien eu, tu sais ? Je n’en reviens pas, c’était super beau et impressionnant à voir !

Je ris, je me sens bien. Alexander a l’air réellement subjugué. Il ne cherche pas à prendre l’ascendant, reconnaissant naturellement que je suis douée et qu’il a eu du mal à me suivre. J’aime sa façon de me conférer une supériorité dans cette discipline. Venant d’un grand sportif, c’est un honneur. Tous les hommes ne sont pas capables de faire preuve d’une telle humilité.

– C’est génial que tu aimes le ski et la montagne à ce point, avoue-t-il avant de rire à nouveau.

– Oui, je crois qu’on se ressemble là-dessus : chute libre et escalade pour toi, ski pour moi…

– … on est faits l’un pour l’autre !

À cet instant, je me fais la promesse de trouver beaucoup d’autres ruses pour faire rire Alexander le plus souvent possible, tant c’est un délice de l’entendre. C’est une musique que je pourrais passer ma vie à écouter. Oui c’est ça que j’aimerais. Et je serais comblée.

Alexander regarde sa montre et déclare avec un sourire particulier :

– On a encore un peu de temps.

– Pour skier ? demandé-je.

– Non, pas tout à fait, réplique-t-il en saisissant ma main pour m’entraîner à sa suite dans le chalet.

Il a perdu dans la neige, mais il risque de prendre sa revanche sous les draps.

Si nous arrivons jusqu’aux draps !

À peine dans le salon, Alexander me plaque contre une cloison avec une fermeté qui n’est pas faite pour me déplaire. Je suis une battante dans la vie, je n’aime pas me laisser faire, mais j’adore être dominée par cet homme. Même dans sa virilité, je sens qu’il me respecte et qu’il tient absolument à m’offrir ce que j’attends de recevoir. Il fait glisser la fermeture Éclair de ma combinaison, passe avec empressement une main sous le tissu de mon T-shirt, dégageant mon soutien-gorge. Ses doigts pincent mes tétons. Il me prend la bouche tout en continuant à pétrir mes seins. C’est bon de sentir ces caresses. Je gémis, affolée par l’urgence de son désir. Je sais qu’il va me posséder et me prendre avec fougue, brutalement ; je n’attends que ça. Il cesse un instant de m’embrasser, retient mon visage entre ses mains tremblantes :

– Ça m’a légèrement excité cette descente, gronde-t-il.

– J’avais cru remarquer, dis-je en essayant de reprendre mon souffle.

Son sourire se fait diabolique. D’un commun accord, nous nous débarrassons de nos chaussures de ski, mais dès que c’est fini, mon prédateur revient à la charge. Il réunit mes cheveux dans une de ses mains pour atteindre mon cou, ma nuque. Il parcourt ma peau de sa langue, dégage une de mes épaules qu’il mordille en grognant comme un fauve.

Ne pas oublier de faire beaucoup de ski avec Alexander !

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-03-17T08:24:27+01:00

Je m’observe dans le miroir en pied. C’est la première fois que je suis déstabilisée à l’idée de participer à un shooting.

Quand je me décide enfin à sortir du dressing, mon cœur bat fort, j’ai l’impression d’être nue à un dîner habillé, offerte au regard du monde entier. Et lorsque celui d’Alexander se pose sur moi, une gêne incomparable m’envahit. Poings sur les hanches, il plaisante gentiment :

– Je commençais à me demander si vous comptiez vraiment nous rejoindre.

– J’ai failli me dégonfler, avoué-je d’une voix aussi assurée que possible.

Alexander m’observe un instant, avant de s’approcher. Il est à deux pas de moi et j’ai l’impression de me liquéfier.

– Vous ne vous mettez jamais en maillot sur la plage ?

– Ça n’a rien à voir, avouez-le, répliqué-je en haussant les épaules.

– D’accord, ça manque un peu de sable et on ne voit pas la mer, mais il suffirait… d’imaginer !

Je retiens un sourire.

– Là, j’ai franchement du mal. D’ailleurs, j’aimerais bien vous y voir.

Alexander recule d’un pas, adopte un air songeur, avant d’afficher un sourire inhumain.

– Dans ce cas, je ne vois qu’un moyen de vous mettre à l’aise.

Sur ces paroles, il commence à déboutonner sa chemise sans me quitter des yeux. Je suis hypnotisée. Je l’observe, effarée et troublée à la fois.

– Vous… vous n’allez quand même pas vous… déshabiller, bégayé-je.

– Imaginez la plage, le sable, la mer, s’amuse-t-il avec douceur tout en défaisant le dernier bouton de sa chemise.

Je rêve ou quoi ?

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