Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 805
Membres
1 013 902

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Extrait

Extrait ajouté par alwayssarcastic 2018-06-20T21:43:18+02:00

— Puisqu’elle dort, tu peux y aller si tu veux. Je ne veux pas t’obliger à rester.

On était vendredi et Braden avait probablement quelque chose de prévu pour sa soirée.

— Non. J’ai promis à la petite que je lui ferais du bouillon de poulet, alors je vais le faire. C’était l’arme secrète de ma mère quand on était malades. À moins que tu ne veuilles que je m’en aille ?

Braden le regarda, un sourcil levé. Il faisait tout le temps ça. Ça n’aurait pas dû être aussi sexy, mais ça l’était.

Il aurait dû dire à Braden de partir. Il n’avait pas à se retrouver ainsi mêlé à leurs vies. Il ne voulait pas que Jessie s’attache à quelqu’un qui n’avait pas de raison de rester dans son entourage.

— Écoute…

Wes jeta un oeil dans le salon pour vérifier qu’elle dormait toujours.

— Je vais passer pour un connard en disant ça, ce qui, je pense, ne devrait pas trop te surprendre puisque j’en ai fait une habitude, mais c’est pas facile pour nous en ce moment. Elle a perdu sa maman. Je sais pas du tout comment élever un gamin. Je n’ai pas de temps dans ma vie pour quoi que ce soit d’autre.

Tout ça était vrai, mais ce que Braden ne savait pas, c’était qu’il n’avait jamais eu le temps pour quoi que ce soit d’autre. Lydia avait raison là-dessus.

Braden prit une minute pour répondre. Il se rapprocha de Wes et attrapa sa cravate. Et aussi simplement que ça, il se sentit brûler. Maudits soit ce type et la réaction physique qu’il avait sur lui.

— Je sais que je t’en ai fait baver, mais je comprends. Ça ne m’était encore jamais arrivé, mais tu as visiblement des choses plus importantes à faire que de me sauter.

Wes rit :

— Jamais sérieux.

— Sauf quand c’est important. Je sais faire la différence. Juste amis.

Il leva deux doigts.

— Parole d’honneur de scout.

— Ce n’est pas trois doigts ?

— Je sais pas. Je n’ai jamais été scout.

Il attrapa à nouveau la cravate de Wes et tira. Wes se laissa faire tout en se maudissant intérieurement. Son corps se retrouva collé contre celui de Braden. L’odeur de son savon le frappa à nouveau, et il sentit la chaleur du corps de Braden le contaminer.

Braden amena ses lèvres juste contre son oreille, et putain, son sexe se mit à frémir.

— Désolé. Cette satanée cravate était en train de me rendre dingue. Je voulais juste le faire au moins une fois. À partir de maintenant, on est juste amis. Parole d’honneur de scout.

Il le lâcha et recula.

Une petite pointe de colère se manifesta chez Wes, mais elle ne surpassa pas son amusement.

— Tu aurais fait un très mauvais scout.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode