Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 908
Membres
1 014 229

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

— En quoi je ne suis pas poli ? Je ne t’ai pas claqué la porte au nez. On a une discussion tout à fait civilisée. Je suis censé sortir des chiots craquants de mon chapeau, c’est ça ?

Elle fait un pas en avant. Elle est près, tout près. Et puis, parce que Zoé Mackenzie est une dure à cuire inébranlable, ses doigts saisissent l’ourlet de mon T-shirt et le tirent d’un coup sec vers le bas.

— Tu essaies de me distraire, André. Je connais ton petit jeu, et ça ne marchera pas. Laisse-moi entrer.

Son parfum d’agrumes m’envahit les narines, il est si fort et si frais que je suis tenté d’oublier toute prudence et de passer mes bras autour d’elle pour l’enlacer. Mes doigts écrasent le cadre et je la dévisage.

— Tu vas prononcer les mots magiques ? — Abracadabra, réplique-t-elle sèchement, ses doigts toujours agrippés à mon T-shirt. Sésame, ouvre-toi.

Afficher en entier

Il montre du doigt mon plan de Relations Publiques et ancre les yeux dans les miens. — De tous les magazines que tu as approchés, tu as choisi celui-ci, et je suis sûr que c’est pour m’embarrasser.

Il pose les mains à plat sur le bureau et doucement, il se met debout. Je refuse de détourner le regard et relève un peu le menton, c’est un face-à-face que je ne perdrai pas. À mon tour, je pose les mains à plat sur le bureau et me lève. Tout comme lui, je me penche en avant, jusqu’à envahir son espace (ou peut-être est-ce lui qui a envahi le mien ?). Nous sommes proches, très proches, et si je le voulais, si j’osais, je pourrais poser ma bouche sur la sienne.

Est-ce que j’ose ?

Afficher en entier

« -Maintenant, cesse d’être aussi énervée, ma puce. Tu vas récolter des rides.

J’éclate de rire. Fred Mackenzie n’a pas changé. »

Afficher en entier

« Parce que je ne pouvais pas dire non.

Parce que j’avais besoin d’elle comme j’avais besoin d’air pour respirer et d’eau pour boire.

Parce que j’avais besoin d’elle.

Et j’ai toujours besoin d’elle. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par EloLML 2020-05-08T18:31:51+02:00

Les larmes menacent de couler de ses yeux devenus rouges.

Un autre coup de couteau, en plein cœur cette fois.

— Laisse-moi te ramener, Zoé. On peut rester silencieux.

On n’a pas besoin de dire un seul mot. Laisse-moi te ramener chez toi.

Laisse-moi me faire pardonner mes péchés.

Est-ce parce que nous sommes actuellement le centre de l’attention ? En tout cas, elle accepte d’un petit signe de tête. C’est tout ce dont j’ai besoin pour descendre du tabouret et payer la note.

En silence, nous sortons du Box, côte à côte. Aucun de mes coéquipiers n’essaie de me faire ses adieux en me frappant du poing, et pas une seule âme ne me fait ne serait-ce qu’un signe de la main. Ils savent que je suis allé trop loin. Moi aussi, je sais que je suis allé trop loin .

Afficher en entier
Extrait ajouté par EloLML 2020-05-08T18:31:15+02:00

— Oh, mon Dieu, murmuré-je alors que je m’accroche à ses cheveux. André…

Il me jette un coup d’œil rapide, ses yeux luisent de désir. Il ne s’arrête pas. Il écarte encore plus mes jambes, passe les mains sous mon cul et je me cambre.

Oh. Oh, waouh.

Je m’agrippe aux draps. J’ai besoin de lui.

Alors j’agis. Je lève un pied et le plante sur son épaule, le poussant ainsi en arrière. Avec un cri de surprise, il se retrouve de l’autre côté du lit et tombe sur le sol en grognant.

Oups. Ce n’était pas du tout mon intention.

Je m’avance sur le lit pour vérifier que tout va bien, et je vois ses épaules trembler. De rire. Il se moque de moi et un sourire apparaît sur son visage !

C’est la chose la plus sexy que j’ai jamais vue.

Il lève les yeux vers moi et me tend une main.

— Viens là, Zoé. 

Afficher en entier
Extrait ajouté par Grdegirafe 2020-05-05T15:44:59+02:00

Je suis la Reine des Mauvaises Décisions.

Bon, avant que vous ne pensiez que j’exagère, laissez-moi vous dire que j’aurais préféré que ce soit le cas. Mais non... J’ai un problème qui concerne un truc plus communément appelé « self-control ». Voir ci-dessous :

Ma première année à l’université du Michigan, j’étais bourrée et j’ai avoué être amoureuse de mon prof d’anglais dans un mail. Le destinataire de cet email ? Mon prof. Évidemment. Le lendemain, on m’a changée de classe.

Mon ex-petit ami, Mark avait apparemment l’habitude d’aller faire mumuse avec la voisine chaque fois que je faisais des heures supplémentaires. Les prendre en flag’ le jour de notre anniversaire a été le summum du cliché, tout comme la façon dont j’ai crevé ses pneus le lendemain soir, un peu à la Carrie Underwood.

André Beaumont. Désolée, on ne va même pas rentrer sur ce terrain-là. J’ai juste mentionné son nom à cause de mon… imprudence – des muscles saillants, des sourires qui vous font fondre – ma vie a été synonyme de descente aux enfers ces trois cent quarante-deux derniers jours.

Mais tout ça va changer aujourd’hui. Ici. Maintenant.

J’adresse un sourire éclatant au PDG de Golden Lights Media. Golden Lights est le premier empire marketing de Boston. J’espère y travailler très bientôt. Si tu y crois, tu peux le faire. Ça pourrait être mon mojo.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode