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Je me réveillai presque tôt – dans les alentours de sept heures – et ça me prit quelques minutes pour éclaircir les brumes de mon esprit, mais heureusement, je n’avais pas de migraine. Je me rappelai tout ce qui s’était passé la veille avec une panique soudaine. En jurant sur ma stupidité pour avoir bu autant de vin à une session d’étude, je rampai hors du lit, étirai difficilement ma nuque et mon dos et entamai ma routine matinale. Douche, vêtements, petit-déjeuner.

J’ouvris mon ordinateur et naviguai sur la page de mon compte en banque des îles Caïman pour vérifier le solde. Ce n’était pas que je ne lui faisais pas confiance, mais j’étais curieuse. Et ce fut comme il l’avait dit. Transféré de son compte au mien, daté de la veille. La première chose du lundi matin. Je secouai ma tête, essayant de découvrir ce qui se passait et ayant l’étrange impression que je plongeais de plus en plus profondément dans un trou et que j’ignorais si j’aimais ça ou pas.

J’avais reçu la moitié d’avance. Ne devrais-je pas être heureuse ? Mais pour des raisons indéfinies, je ne l’étais pas. Le paiement représentait une barrière entre nous… comme un mur, à moitié construit. L’équilibre de notre transaction compléterait seulement cette barricade, nous séparant l’un de l’autre pour l’éternité. Après sa gentillesse de la nuit précédente, je devais admettre que je le regrettais – même si je ne m’autorisais à m’y complaire qu’un court moment avant de durcir ma résolution ; les choses devaient en être ainsi. C’était pour sa protection tout autant que la mienne. Nous avions tous les deux le pouvoir de blesser l’autre. Avec cette bouée en place, cela n’arriverait jamais. Nous savions tous les deux que cela se terminerait et exactement quand cela se terminerait. Ou du moins je l’espérais. Il y avait toujours l’obscure raison qui lui faisait repousser les choses.

Je penchai ma tête, reposant mon front dans ma paume pendant un long moment, et quand j’ouvris mes yeux, je vis la clé posée sur la table près de mon ordinateur. Ce n’était pas la mienne. Il y avait un post-it collé sur elle d’une écriture soignée que je ne reconnus pas. C’était une adresse – un endroit assez proche, près de la Vieille Ville dans le centre d’Orange. Je la fixai, perplexe, commençant à comprendre la description de Heath sur là où nous étions : un monde bizarre qui a pris un virage rapide à 90° vers un monde tordu. Quand je respirais, ma poitrine était serrée, mon cœur tambourinait. Était-ce la clé de sa maison ? Pourquoi cette adresse à Orange ?

Juste alors, le téléphone sonna. Je vérifiai l’identifiant, relâchai mon souffle, et décrochai le téléphone.

— Salut, maman !

— Mia, où est-ce que tu étais pendant tout le week-end ? J’étais malade d’inquiétude.

Je fis une pause, éclaircissant ma gorge.

— Je suis désolée. J’étais très occupée. Des gardes supplémentaires.

— J’ai appelé à ton travail, dit-elle d’une voix tremblante.

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He moved to stand in front of me and, slowly, carefully, he placed his hands on my shoulders. “I’m going to say something right now that I know is going to scare the shit out of you because it scares the shit out of me. But I have to say it.” He paused, waiting for me to look at him. But I knew what he was going to say. And I didn’t want to hear it. Finally my eyes met his.

“Please, don’t,” I whispered.

He closed his eyes, clearly disappointed. When he spoke, his voice was shaky. “I love you, Emilia. I love you so goddamned much that I can’t breathe when I don’t know where you are or how you are doing. This last month has been torture. I wonder if it’s possible to have room in my heart for anything else but these feelings.”

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“I can’t promise that things will be perfect, Emilia. But I can promise you that I will never give this up. Because I don’t think I knew how to live before you came into my life.”

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“if you love him, don’t choose to be alone.”

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Aimer quelqu'un signifiait lui donner le pouvoir de vous écraser, placer la partie la plus tendre, la plus délicate de vous même dans la main de quelqu'un d'autre.

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Écoute je ne suis pas là pour résoudre tes problèmes de femme hétérosexuelle des pays industrialisés. Lève-toi, maquille-toi et bouge-toi. (Heath)

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Je traversai la semaine suivante comme une automate, subissant le train-train du travail, de mon blog, des choses que j’avais à faire. Je me sentais au bord de quelque chose, quelque chose de grand. Mais je ne voulais pas voir la situation de cette façon. Il fallait que ce soit plus petit que moi. Il fallait que ce soit un moment insignifiant dans le cours de ma vie. Ce serait bientôt terminé et je passerais alors au reste de mon existence.

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J'aidai ma mère à débarrasser la table. Elle avait un étrange sourire sur le visage. Je lui demandai à quoi elle pensait.

- Monsieur Drake est très beau, dit-elle pour réponse.

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Sa bouche se déplaça sur mon cou, il m’embrassa là et une décharge électrique pulsa dans chaque nerf connecté à cet endroit. Cela m’avait tout demandé de l’admettre… parce que j’avais fermement cru pendant toute ma vie jusqu’à cette seconde que je n’avais besoin de personne… surtout pas d’une âme sœur. Que Mia Strong était une île, une forteresse.

Mais j’avais besoin d’Adam Drake. J’avais autant besoin de lui que j’avais besoin de respirer, de manger ou de boire. Et finalement, mon cerveau avait permis à mon cœur de l’admettre.

— J’ai tellement besoin de toi, répétai-je. Je t’aime.

Il prit mon visage entre ses mains, le maintenant tranquille. Il leva ma tête pour qu’il puisse regarder dans mes yeux.

— Je ne peux pas te promettre que les choses seront parfaites, Emilia. Je peux te promettre que je n’abandonnerai jamais ce que nous avons. Parce que je ne pense pas que je savais comment vivre avant que tu entres dans ma vie.

Il écarta une mèche de mon visage, mais n’éloigna jamais ses yeux des miens. Je reniflai, mes larmes coulant toujours, et je secouai la tête dans ses mains.

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Et il n’y avait aucun moyen de le racheter… à n’importe quel prix. Il lui appartenait. Pour toujours.

S’il le voulait toujours après que je l’eus repoussé. Idiote, Mia. Lâche.

Je sanglotai dans mes mains, incapable de trouver la force de suivre mon plan. Ma volonté avait été drainée hors de moi et menaçait de me laisser dans une mare de misère juste là, sur le porche de cette petite cabane. Mes épaules tremblaient et j’étais reconnaissante qu’il n’y ait personne dehors pour m’entendre pleurer comme un bébé.

Et Dieu seul sait combien de temps je me serais permise de rester assise là, comme une masse pathétique et sanglotante si je n’avais pas entendu le bruit de chaussures traverser le porche et s’approcher de moi. Je baissai les yeux vers une paire de grands pieds dans des baskets – les mêmes qu’Adam avait portées quand nous étions allés courir il y avait deux soirs de ça.

Je me figeai, mais gardai mon visage enfoui. Il ne bougea pas pendant un moment, puis il s’agenouilla pour regarder mon visage

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