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Extrait

Extrait ajouté par theo-kosma 2016-06-04T10:23:02+02:00

Vera, désormais aussi soumise et docile qu’une fille résignée puisse l’être, se leva et s'approcha, son joli corps entièrement nu se dessinant lui aussi à la lumière. Les rayons du jour passaient à travers les fentes des volets, heureusement trop étroites pour qu'on puisse voir quoi que ce soit de l'extérieur. C'était du moins à espérer. Si la situation n'avait pas été celle de prédateurs envers des victimes, ce corps fendant la lumière aurait pu ressembler à une apparition angélique. Il était triste de voir tant de beauté au cœur d’une situation si malsaine.

Naïve, Vera l'avait toujours été, mais pas à ce point. C’est en tout cas ce que je constatai à ce moment-là, ce qui me frappa de surprise et d’effroi. Que se passait-il donc ? Non, je ne rêvais pas : ma petite sœur venait bien de se mettre à genoux devant Nicolas, le visage à hauteur de son sexe, ayant visiblement deviné l’exigence de l’aînée. Je tentai un instant, de façon très absurde je le reconnais, de la prendre par le bras pour la relever.

– Tasia, arrête. Tu sais très bien ce que je vais devoir faire.

Nicolas fixait toujours son aîné, déboussolé, on aurait même dit qu'il avait peur.

– C'est pas vrai mais arrête de me regarder, dit l’aîné. Mate-là plutôt elle. Tout à l'heure tu me remercieras de t’avoir arrêté pour mettre ça en place.

Il baissa les yeux et porta son attention sur elle. Il n’était pas incrédule, il avait seulement fait mine de ne pas savoir, comme s’il n’avait osé y croire lors des premiers instants. De nos jours, même les plus prudes, garçons comme filles, étaient parfaitement au courant de cette pratique, et en quelle position les mâles préféraient qu’on leur fasse cela. Même celles et ceux qui n’avaient jamais vu de scène X (ils étaient bien rares) avaient maintes fois entendu les dires salaces se racontant en classe ou dans la cour.

Vera baissa les yeux à son tour, elle en direction de la moquette. Elle paraissait perdue, soudain presque paniquée. Le seul élément qu'elle figurait savoir c'est que cet acte existait et se pratiquait généralement en cette posture, ou tout du moins qu’avec le garçon debout, c’était cette posture-là qui lui serait ordonnée. Elle ne savait strictement rien de plus. Nos regards se croisèrent. Elle semblait attendre que je la rejoigne. Plus encore, je crois bien que ses yeux imploraient ma présence à ses côtés. Restée assise sur le lit, je me levai.

– Oh ma belle ! Qu'est-ce que tu fais ? Je t'ai pas autorisé à te lever.

– Elle a besoin d'aide, murmurai-je. Je peux pas la laisser seule. Je dois… lui montrer.

– Toi décidément, ta sœur tu l'aimes plus que tout. Et tu fais bien d’avoir de la suite dans les idées, parce qu'il est pas question que mon frangin n'ait pas un cadeau d'anniversaire à la hauteur. Tu t’en es rendu compte, apparemment. Eh bien, je t'en prie ! Tu as ma permission.

Je m'agenouillai à côté de ma sœur, et passai un instant ma main dans ses si beaux cheveux.

– Vera, je suis avec toi. Tu n'as pas à te faire de souci.

Le petit frère continuait de contempler Vera. Il s’avérait incapable du moindre acte. Ses jambes tremblaient. Seul son sexe était actif malgré lui, bougeant tout seul d’excitation, au point qu’une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire venait de perler au bout du gland et de s’échouer au sol. J’entrevoyais que l’aîné observait et que lui serait intraitable. Ce flic savait bien évidemment comment cette réjouissance s’offrait, en connaissait les subtilités, et sans doute les différences entre une douée et une maladroite. Il exigerait d’elle adresse et prouesse. Peu lui importe que Vera soit une totale novice. Il devait compter sur ma personne depuis le début. Il avait feint l’étonnement… juste pour m’humilier encore un peu plus, juste pour que je lui laisse entendre oralement que j’allais apprendre à ma petite sœur à…

Une fois de plus, Nicolas marqua quelques poignées de secondes pour considérer la situation en silence. Juste regarder… regarder ces deux belles jeunes filles entièrement nues à genoux devant lui, lèvres devant son gland, prêtes à lui offrir mille plaisirs divins. L’une dépucelée par lui, l’autre experte avec de nombreux amants à son actifs.

Après avoir mis mes cheveux bien en arrière, j'avançai ma tête et, tout en saisissant la base de sa verge d'une main, j'ouvris la bouche et y enfonçai le gland. Mes lèvres se refermèrent dessus, et j'entendis Nicolas pousser un profond soupir. Sans doute n'imaginait-il pas jusqu'alors les sensations qu'un tel acte pouvait donner. Vera avait toujours les yeux baissés, et j'étais décidée à user de tous mes atouts afin de faire venir Nicolas maintenant, d’un coup, et que ce soit enfin terminé. Qu'il prenne son pied un bon coup puisqu'il aimait ça, qu'il vienne où bon lui semblerait, et que l'on puisse enfin partir.

Ma tête recula donc légèrement en arrière afin d'éloigner le gland, mes lèvres y restant collées, puis posées dessus comme pour y déposer un baiser. Je revins ainsi, repartis, revins… Nicolas restait là à me mater, bouche ouverte. Ma main suivit le mouvement et j’enchaînai sur plusieurs techniques que je savais faire pour donner du bonheur à mes différents partenaires. Je sentais le petit frère sous mon pouvoir, et qu'en peu de temps je parviendrai à en venir à bout. J’étais soulagée que la partie sexe passe à moi et que Vera soit dégagée de Nicolas, en espérant avoir une chance pour que cela demeure ainsi, que Nicolas s’accapare de ma personne et ne touche plus ma petite sœur. Cela tenait pourtant encore davantage du sacrifice qu’entre les bras du vieux ou du jeune flic. Agiter dans ma bouche un sexe aussi juvénile me donnait l’impression d’être une pédophile. Comme si je faisais cela à un enfant… ce n’était d’ailleurs pas loin d’être cela. Le jeune me fit comprendre qu'il n'était pas question que je termine avec son frère.

– Eh, Vera. Tu cherches à voir quoi dans les pieds de mon frère ? Relève la tête et tourne-là, ta sœur est en train de te montrer ses astuces. Allez allez, je veux que ça s'alterne, je veux du rythme !

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