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Extrait ajouté par RayaSaphir 2013-08-04T16:56:22+02:00

A force de courir, je me suis essoufflée,

A force de crier, je n'avais plus de voix,

A force d'oublier l'essentiel, je me suis oubliée moi-même.

A force de courir dans tous les sens, ma vie n'en avait plus aucun.

A force de ne pas regarder le ciel, j'ai oublié qu'il existait.

A force d’être en haut sur l'estrade, j'ai oublié ma vraie taille.

A force de me plaindre, je n'entendais plus les cris des autres...

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Extrait ajouté par Lena22 2013-06-14T21:40:49+02:00

Attention, je ne veux pas donner l'impression que j'étais une victime aux mains de manipulateurs, mais plutôt une fille parmi tant d'autres à qui on a proposé d'être Cendrillon et qui n'a pas dit non.

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Extrait ajouté par Melanyy 2012-10-03T19:18:10+02:00

"Si ce livre peut vous faire entrer dans ma vie comme si vous entriiez chez moi...alors, soyez les bienvenus." Mélanie Georgiades.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-09-05T22:14:16+02:00

10 juillet 2012, plume à la main, me voilà sur le point d'achever mon autobiographie.

En l'écrivant et, donc, en me replongeant dans ma vie, je me rends compte qu'elle a été une aventure hors du commun, tant ce qui m'a liée à mon public était fort.

Quoi que l'on ait dit de moi, et même lorsqu'on m'a traînée dans la boue, des milliers de personnes n'ont jamais cessé de m'aimer et de me témoigner leur soutien. Mon public était ce que j'avais de plus cher. Sur scène, à travers mes textes, je passais des messages, je me livrais.

J'ai toujours considéré cette foule comme une addition de coeurs, des êtres à part entière avec qui j'aimais partager, et non comme un simple miroir dans lequel j'aurais pu m'admirer.

Nous étions si proches, si proches...

Puis, un jour, je me suis tue, et je suis partie sans dire au revoir.

Ce n'était pas du dédain, croyez-moi, ce n'était pas non plus de l'arrogance ni de l'ingratitude, mais j'avais tellement de choses à dire qu'il m'aurait fallu bien plus de cinq minutes sur scène ou d'une simple vidéo postée sur Internet.

C'était tellement long à expliquer, mais pourtant si beau à partager, si merveilleux à raconter.

Pendant des années, les gens m'ont vue courir, décrocher des trophées et devenir célèbre, mais ils n'ont vu de moi qu'une enveloppe derrière laquelle se cachait un coeur meurtri.

J'ai longtemps couru sans me questionner sur le but que je visais, mais cette course haletante, trépidante m'a finalement usée et déçue.

Ce livre, je l'ai voulu sincère et honnête envers celles et ceux qui aimaient ces qualités dans mes textes. Il est aussi l'ultime moyen de rétablir des vérités, mes vérités, car, depuis trois ans, j'écoute...

On a dit de moi que je me suis transformée et je pense au plus profond de mon coeur que c'est faux, en tout cas ce n'est pas là ma réalité.

Toute ma vie a été une école, j'y ai appris qui je suis et qui je ne suis pas, ce que sont les autres, ce qu'ils ne sont pas. Qu'ils peuvent être des amis mais pas des refuges, qu'ils peuvent donner la main mais pas décider à ta place.

À cette école, j'ai aussi compris qu'il n'est pas bon d'être une idole et que, plaquée sur des murs, enfermée dans des images, j'ai manqué d'étouffer.

On a dit de moi que j'ai renié celle que j'étais. L'âme humaine est plus complexe et plus profonde que cela. Je dirais plutôt que je me suis cherchée, que je me suis découverte, que j'ai appris à m'aimer et qu'aujourd'hui, je suis en paix.

On a dit de moi que, perdue, je me suis réfugiée dans la religion. Dans cette parole, j'ai ressenti comme du mépris face à celui qui sombre, puis trouve sa voie. Parfois, toucher le fond donne beaucoup d'ardeur à vivre, à aimer, à donner, à méditer et surtout à choisir de ne plus être un consommateur de la vie mais un cultivateur du bonheur.

(...)

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Extrait ajouté par Laurie67 2013-11-20T16:10:03+01:00

"Avant on interviewait Diam's. À la clinique, on interrogeait Mélanie".

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Extrait ajouté par Laurie67 2013-11-20T16:05:33+01:00

"On vit comme si on n'allait jamais mourir, on planifie, on se projette, comme si nous étions éternels. À vouloir faire de notre vie un rêve, pas surprenant que la mort soit un véritable cauchemar."

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Extrait ajouté par JaneEyreBronte 2024-01-09T15:57:46+01:00

À l’heure où je rédige les dernières lignes de ce livre, ma petite fille dort paisiblement à mes côtés… Nous l’avons appelée Maryam en hommage à la mère de Jésus.

Maryam a deux mois, et chaque jour qui passe je remercie Dieu pour son immense grâce. La regarder grandir et s’éveiller au monde qui l’entoure m’émeut énormément.

J’espère être pour elle une maman aimante mais aussi une maman qui saura la préserver des voies obscures que j’ai foulées. Je suis heureuse qu’elle ait vu le jour loin des photographes et que sa vie soit épargnée du tourbillon dans lequel j’ai vécu auparavant.

J’ai quitté Paris pour m’installer en pleine nature… La forêt au bout de ma rue, les chevaux de la voisine et le coq qui nous réveille à l’aube m’ont aidée à retrouver une vie simple et belle. Voilà les paysages qui s’offrent à moi chaque jour, et je souhaite de tout mon cœur que cette visite dans mon « chez moi », dans mon univers vous ait plu et qu’elle vous ait permis de me comprendre.

Si tel est le cas, merci à vous d’être revenus avec moi sur les chemins de ma vie

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Extrait ajouté par JaneEyreBronte 2024-01-09T15:51:31+01:00

J’étais assez connue pour me permettre de prendre un tel risque. La moindre vidéo de moi, le moindre morceau se propageait à une vitesse phénoménale. Et puis, en vérité, je me disais que, même si je vendais un peu moins et perdais en notoriété, cela n’était plus très grave, tant que j’étais heureuse.

Ensuite, j’ai songé à ma fondation et j’ai eu une idée soudaine.

Moi qui avais tant aimé être au contact du peuple africain et qui m’étais sentie si mal de ne rien pouvoir faire pour tous ces enfants que j’avais vus mendier, j’allais aider des orphelinats en Afrique !

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Extrait ajouté par JaneEyreBronte 2024-01-09T15:49:27+01:00

Il y a deux ans, je suis descendue de l’estrade et j’ai repris ma place auprès du peuple. J’aimerais lui dire que personne n’a le droit d’être au-dessus des autres pour vendre du rêve, un rêve qui ne changera jamais la vie de l’affamé ou du jeune qui erre dans cette société sans savoir où il va. Un rêve qui ne changera jamais la vie du père de famille qui galère à la fin de chaque mois ou d’une mère détruite à petit feu par son travail à la chaîne, et qui préférerait peut-être rester chez elle, auprès de ses enfants.

En lisant ces pages, vous découvrirez que ce qui m’a touchée a

également touché des millions de gens et que l’étrange n’est pas celui qui met un genou à terre et qui se relève, non, l’étrange, c’est celui qui tombe sans chercher à comprendre pourquoi.

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Extrait ajouté par Lucifera999 2021-05-09T12:15:37+02:00

A cette période, c'était l'effervescence autour de moi, je pressentais que le lancement du disque serait plus difficile que les autres du fait de mon silence médiatique. D'un autre côté, les retours que j'avais reçus étaient énormes, tous s'accordaient à dire qu'il s'agissait de mon meilleur album. D'autant plus que j'allais livrer le morceau qui mettrait tout le monde d'accord : "Si c'était le dernier".

Plus je travaillais sur ce titre, et plus je sentais que ce serait sûrement ma dernière chanson. Comme un cri du cœur, un besoin de me défaire de mes chaînes, il sonnait comme un hymne à ma nouvelle vie. Je pensais que mon silence rendrait sceptiques les gens mais qu'après l'écoute de mon album ils adhéreraient à ma cause. J'ai mis un point d'honneur à ne pas parler de religion dans mon disque, je ne voulais pas tout mélanger. Je n'ai jamais caché que j'avais la foi, que l'on me sache spirituelle ne me posait aucun problème, mais je ne voulais pas alors m'en expliquer davantage.

Dans ma dernière chanson, sans m'attarder sur mes nouveaux engagements, j'explique que j'avais besoin de tourner la page, que les paillettes et les aspirations à la reconnaissance ne sont qu'un vulgaire manège dans lequel les artistes sont tentés de monter, qu'un cache-misère censé camoufler le néant de nos existences.

Vendre du rêve, de la pacotille, des fausses voitures, des faux ongles, des faux cheveux, des fausses filles, des faux mannequins, des fausses maisons, des faux couples, des fausses voix, des faux sourires... De faux bonheur. Tout est souvent retouché, trafiqué, fabriqué.

Et malheureusement, nous avons engrené toute une génération, dont les rêves se sont réduits à être riches et célèbres - même brièvement. Sauf que nous les avons engrenés dans ce qui n'est que mirage et illusion. Ce qui deviendra un jour source de frustrations et de retour parfois violent à la réalité. Aujourd'hui, on le voit aussi à travers les nombreuses émissions qui ne poussent les gens qu'à "devenir quelqu'un".

P.290/291

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