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C’est drôle, mais je sens que je pourrais écrire un commentaire plus long que cette dernière nouvelle réservée par Mérimée pour ses œuvres posthume ! Je me souviens d’un voyage dans les sables d’Algérie, d’un gué à la frontière Marocaine. Il aurai pu s’agir d’une histoire militaire, de combats, de morts. Non, parce que l’auteur comme à son habitude nous entraîne dans les méandres du mystère, du surnaturel et du symbolique. Alors comme moi, laissez-vous bercer par la beauté mythique des femme orientales, sur le tableau idyllique des hommes fumant la shisha dans un décor architecturale digne des milles et une nuit.. Alors oui comme le marin qui rentre au port, le soldat s’enflamme et rêve d’une femme idéale et l’on pourrait disserté sur la symbolique du serpent, du sang qui coule de la blessure de Djoümane mais je n’en ai pas envie...
Afficher en entierJe n'ai malheureusement pas compris ces histoires...
Afficher en entierPas mal... mais je préfère les contes fantastiques de Théophile Gautier.
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