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Je ne sais pas si ça se mesure
Par le temps que ça dur
Mais l'expérience de son absence
Bouleverse toujours mes sens
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Est-ce que mes écrits auront un jour les feuilles jaunies
Sur le dessus d’elles, les taches de la vieillerie, la vie
Cette odeur de papier blasphémé par la poussière
Ce toucher assouplit par la lourdeur de vos paupières
Si un jour tu tournes toutes ces pages ivoire
Retrouvera tu les heurs échapper de ma mémoire
Qui se sont naufrager dans se livre pour l’éternité
A toi de les libérais pour les faire revivre une soirée.
Je n’espère rien quand j’écris
Je n’entrevois que des pensées
Avec un petit espoir blotti
Qu’elle serve à vous donner des idées.
Juste des petits mots corrigés
Pour ne pas être oublié
Ni pare ma mémoire
Ni dans le fon un tiroir.
Je voudrais, mais
Je voudrais t’écrire avec de la poussière de lune
Mais tout s’efface sous ma plume
Je voudrais te dire tout ce que j’éprouve pour toi
Mais rien ne sort quand je t’entrevois
Je voudrais, mais, mais, Je voudrais
Son des mots qui reviennent souvent
Ils appartiennent à mon emploi du temps
Je voudrais exprimer toute mes pensées
Mais comment faire pour qu’elle ne te fasse pas hallucinée
Je voudrais simplement d’embraser
Mais cela parait complètement dépasser
Je voudrais, Mais
Mais, Je voudrais
Font parti des conditions
Qui stimule mes actions
Je voudrais t’attraper comme un rêve insensé
Mais cela ne veut vraiment pas s’exaucer
Je voudrais te confiner dans mon espace
Mais es-ce que j’ai laissé assez de place
Je voudrais, Mais
Mais, Je voudrais
Son des expressions
Qui manque d’ambition
Je voudrais que tu t’aperçoives que je suis là
Mais je dois être un fantôme pour toi
Je voudrais quand je te vois, croire au cout de foudre
Mais je me dissous dans l’eau telle une poudre
Je voudrais, Mais
Mais, Je voudrais
Font parti de mes prisses de tête
Je les répète et il m’embête
Je voudrais tout ensoleiller
Mais il n’y a pas acer de clarté
Je voudrais que tu sois mon jour férié
Mais ailas il faut que j’aille travailler.
L’amour
Je ne sais pas si çà se mesure
Par le temps que ça dur
Mais expérience son absence
Bouleverse toujours mes sens
J’ignore quel est son poids
En quelle unité il se doit
Mais je ne néglige pas sa lourdeur
Qui écrase et pince mon cœur
J’ai des doutes sur son volume
Qui croie suivant ma plume
Mais aucun doute sur son importance
Qui deviens plus qu’une subsistance
J’ai des incertitudes sur sa densité
Qui n’est qu’une variante de la destiner
Mais personne n’a les bonnes donné
Alor comme juger que l’on en à accès.
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