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« — On n’est pas dans la merde. Il vient de nous donner vingt-quatre heures pour nous préparer. Utilisons-les bien.

— Du sexe !

— Non ! En tout cas, pas avant que ma famille soit en sécurité.

— Oh. Tu n’as pas à t’en faire pour ta mère, il a dit qu’il allait seulement tuer les gens que j’aime bien, lui assuré-je.

Il me fixe du regard, et je hausse les épaules innocemment.

— Quoi ? Tu as demandé.

— Non, j’ai rien demandé. Appelons Henry pour lui dire ce qu’on a en tête.

— Vendu. »

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— À quoi ressemble-t-il, déjà ?

— Il est moche. Sa tête ressemble à une paire de testicules avec des poils pubiens sur le visage.

Il fait son sourire espiègle qui rend impossible de ne pas rire.

Je secoue la tête, incrédule.

— Parfois, tu es la pire des personnes. Comment veux-tu que je le reconnaisse avec ce genre de description ?

Et pile à ce moment-là, un homme passe devant nous, le front tout fripé, quelques poils sur le crâne, mais des poils bouclés sur le visage, et je sais exactement qui il est. Je refuse de le dire à Leland, pourtant.

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Je sors mon arme sur ma hanche, mon autre flingue de l’autre côté, celui dans la poche spéciale de mon manteau, le couteau sur ma cheville, puis j’attrape la paille dans le verre posé dans le porte-gobelet.

Je ne pensais pas que les yeux de Jackson pouvaient s’ouvrir aussi grand, mais ils tombent presque quand il regarde mon arsenal.

— Pourquoi as-tu autant d’armes sur toi à la fois ? s’écrie-t-il.

— Pour qu’elles ne se sentent pas seules. Je change tous les jours celles que je prends avec moi au boulot. 

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Je passe mon après-midi à regarder mon téléphone, mais ni Leland ni ma mère ne m’ont envoyé de message.

Ma seule conclusion, c’est que Leland a tué ma mère et qu’il est en train de cacher son corps.

Avec prudence, j’ouvre la porte au moment où le Roomba et Cayenne arrivent dans l’entrée. Le truc, cependant, c’est que Cayenne a peur du Roomba, donc elle dérape sur le tapis, ce qui la rapproche de l’aspirateur, ce qui fait qu’elle fonce contre mes genoux. Terrifiée, elle détale, mais sa patte se prend dans le Roomba et elle le cogne, le faisant foncer dans le mur tandis qu’elle part en courant.

- Qu’est-ce qui se passe, bordel ? s’écrie Leland qui déboule, couteau de boucher en main.

- Tu l’as tuée, n’est-ce pas ? demandé-je, horrifié.

Son visage montre qu’il est clairement confus, mais je n’y crois pas.

- Qui ? Je coupe une tomate.

- Avec un couteau de boucher ?

Il me sourit.

- Ce n’est pas la taille qui compte, c’est la façon de s’en servir, ronronne-t-il.

- C’est ce qu’on dit des hommes avec des petits pénis.

Il hausse les épaules.

- C’est vrai. Tu pensais que j’avais tué qui ?

- Ma mère.

Ses sourcils se lèvent d’un coup, comme si ce que je venais de dire était parfaitement ridicule.

- Oh, non, on est comme les doigts de la main.

- Comme… les doigts de la main ? répété-je, sceptique. Avec… ma mère ?

- Eh bien, je ne l’ai pas tuée, et je dois te dire que c’est déjà pas mal.

Il me raconte leur déjeuner, qui semble s’être bien déroulé jusqu’à ce qu’ils rejoignent leurs voitures.

- Et c’est là que c’est arrivé, dit-il en attendant, de manière dramatique, que je réagisse d’une façon ou d’une autre.

- Tu l’as tuée ? Qu’est-ce que je t’ai dit à propos de tuer ma mère ?

Leland penche sa tête sur le côté.

- Tu veux que je le fasse ?

Je glousse.

- Plus maintenant. Je suis content que tu ne me l’aies pas demandé lors de la réunion de famille, pourtant, plaisanté-je. Très bien, balance tout.

- J’ai peut-être fait l’erreur de lui dire que toi et moi devrions un jour nous marier, et ouah, tu aurais dû voir sa tête. Boom.

Il mime une tête qui explose.

- Je n’ai pas eu besoin de la tuer. Mes mots l’ont fait. On dit toujours que les mots sont plus blessants que des couteaux. À partir de maintenant, je combattrai mes ennemis avec mes seules paroles !

- Oh mon Dieu. Je n’arrive pas à croire qu’elle ne m’ait pas encore appelé.

- Je crois qu’elle est trop en colère pour le faire. Je veux dire, c’était horrible. Elle est devenue toute rouge, et quand je lui ai dit à quel point elle devenait rouge, elle l’est devenue encore plus. Clairement, il ne faut pas dire à une personne en colère qu’elle ressemble aux fesses d’un babouin.

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- Très bien. J’avais un truc à te dire, moi aussi.

- Donc… Je parlais à Tucker, et il a un boulot…

Il secoue la tête.

- Non.

Je lui jette un regard noir.

- Très bien. À toi alors.

- O.K., donc ma mère a appelé…

- Non, rétorqué-je, et il commence à rire. Ça paraît dix fois pire que ce que Tucker veut.

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« — Le temps a été agréable, ces derniers temps.

— La tornade de la nuit dernière a laissé mon amie sans abri, dit Ava.

— Oh…

Tuez-moi maintenant. »

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-Tu as une pipe ? Tous les vieux détectives auraient une pipe pour avoir l'air sophistiqué. Tu penses que ça aiderait ?

-J'étais confus, car je pensais que tu parlais d'une pipe en métal pour taper quelqu'un avec.

-Ça serait une bien meilleure pipe à avoir. Tu en as une ?

-Non.

-Mon Dieu, tu es la honte de tous les détectives privés ! Pourquoi n'avance-t-on pas ? On devrait déjà y être.

Les yeux de Jackson s'agrandissent.

-Tu es mon copilote, alors copilote ! dit-il en sortant du parking.

-J'ai déjà utilisé toutes mes réserves en sens de l'orientation pour trouver le chemin jusqu'à ton cœur.

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Je souris.

- Je sais.

J’attrape son poignet avant qu’il ne puisse se retourner puisque j’ai ruiné l’instant.

- J’apprécie vraiment les choses comme ça. Même si j’en fais des blagues… J’apprécie plus que tu ne l’imagines.

Il porte ma main à sa bouche et l’embrasse.

- Je sais. Et je sais aussi que les émotions et les sentiments te font te sentir bizarre, donc tu les chasses d’une blague. Je connais tous tes stratagèmes. Je sais tout de toi.

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Et le voici. L’homme de mes rêves qui n’écoute jamais. Leland se tient au-dessus d’un homme en boule avec une foule de curieux, collés à la vitre d’un café, essayant de comprendre ce qu’il se passe.

Et pourtant, je sais que je l’aimerai toujours quoi qu’il arrive.

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« Cet homme m’offre tellement d’amour, de protection et d’attention. Je ne sais même plus comment je fonctionnais avant de l’avoir. Je sais simplement que je ne peux pas le perdre. »

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