Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 908
Membres
1 014 229

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Finie la culpabilité, terminée la retenue ! Jusqu’alors, nous misions sur notre intelligence, notre mental, notre capacité à jouer avec les concepts pour nous dégager de notre “animalité”. Et si nous faisions un peu machine arrière pour retrouver un équilibre, puisque c’est dans cet excès que nous nous sommes perdus ? La voie de la paix, du calme et de la joie n’en passerait-elle pas par l’amour et l’une de ses manifestations les plus belles que sont les câlins ? Notre cerveau, fascinant, ne nous a pas encore livré tous ses secrets. Mais nous savons qu’il peut nous duper. Il ne croit que ce qu’il voit, les messages qu’il reçoit. Partir justement de ces messages est l’inversion nécessaire pour retourner à l’équilibre.

Lorsque j’ai commencé à parler du sujet de ce livre autour de moi, cela a d’abord intrigué. Puis certains sont venus me livrer spontanément leurs expériences les plus fortes. Il a fallu un temps, celui du retour en eux et, avec beaucoup d’émotion, j’ai écouté ces moments marquants de leur vie. Entre traumatisme et bien-être absolu, les câlins ne sont pas un sujet quelconque. En manquer n’est pas anodin, cela fait souffrir, beaucoup. Dans une sécurité affective, un état d’esprit apaisé, un corps touché tombe moins malade. Le système immunitaire s’en trouve renforcé.

Afficher en entier

La câlinothérapie nous propose de réparer ces manques et de nous faire revivre la sécurité du petit enfant. Retrouver ces barrières chaleureuses que nous cherchons parfois dans une errance, une quête d’absolu et de perfection. Retrouver nos émotions et notre respiration dans la simplicité d’un contact. Nous libérer du poids de nos vies, le temps d’une parenthèse, et en ressortir plus forts, mieux dans notre corps et dans notre tête. Renouer avec l’envie, qui nous fait croire à nouveau en nous, nous redonne le sourire, libère nos hormones du bonheur. Redevenir humains en nous laissant aller à nos émotions dans une chaleur réparatrice autorisant nos faiblesses. Écouter nos messages, ceux qui circulent entre le cœur et le cerveau. Entrer en résonance avec l’autre pour atteindre l’harmonie. Et remercier la science qui vient, à point nommé, nous donner raison. Les études scientifiques confirment en effet les bienfaits des câlins. Au carrefour de différentes disciplines scientifiques, toutes en pleine effervescence, vous allez vous rendre compte, dans ce voyage inattendu et surprenant, que tout changement commence par vous.

Afficher en entier

Dans mon quotidien de psychologue, lorsque je vois une personne en souffrance, je dois brider le réflexe instinctif de la prendre dans mes bras. Quoi de plus naturel, quoi de plus spontané pour accueillir la souffrance ? Depuis l’enfance, on nous enseigne à aller contre nos pulsions premières, à les maîtriser jusqu’à les faire disparaître. L’éducation a appris à notre corps à se cadenasser. Cet élan, nous le réfrénons par crainte du jugement, par peur du ridicule, de la méprise ou par respect d’une certaine morale. Le toucher est devenu aseptisé.

Et si c’était une erreur ? Et si nous étions devenus malades de ne pas suivre nos pulsions bienveillantes ? Devenus adultes, le toucher n’est plus si simple.

Il a ses codes. Sociétaux d’abord. La sphère intime est différente selon les cultures et les pays. Aux États-Unis, par exemple, à l’annonce de la perte d’un être cher, on voit postés sur les réseaux sociaux des messages « big hugs », témoins dans ces moments d’effondrement que les invitations aux gestes chaleureux sont plus fortes que de simples mots. La solidarité et le réconfort, voire la compassion, viennent de ce toucher virtuel. Une autre version des hugs, les câlins proposés en pleine rue, devenus une mode, nous rappellent la version “soft” du mouvement hippie, « faites l’amour pas la guerre ».

Afficher en entier

Le câlin nous renvoie à des images de douceur, de chaleur, de confort et de tendresse. Des images d’enfance. Des bras enveloppants pour venir réparer les petits et les gros chagrins. Un lieu rassurant, un rempart contre la peur. Comment alors ne pas ressentir le besoin d’y retourner lorsque la vie nous met à l’épreuve, lorsqu’elle nous confronte à nos limites, à notre solitude, à nos manques ? Revenir à l’enfant, qui peut s’abandonner à ses émotions sans être jugé, qui croit en ses rêves.

Nous nous trouvons mille raisons d’aller mal, souvent par habitude. La plainte et la colère nous font oublier notre vraie richesse. Nous ne sommes pas suffisamment reconnaissants, entravés dans la peur et la solitude, freins majeurs à notre bonheur.

N’avez-vous jamais éprouvé l’envie de prendre celui qui souffre dans vos bras pour le consoler ? N’avez-vous pas déjà ressenti le besoin à certains moments de votre vie d’être réconforté par un contact, un toucher bienveillant ?

Afficher en entier

De l’infiniment petit à l’infiniment grand, jamais la science ne nous avait apporté autant de raisons de nous recentrer sur nous. Les preuves que nous avons tous d’inestimables pouvoirs sur notre santé s’accumulent. Les applications thérapeutiques s’enrichissent de ces diverses avancées scientifiques qui transforment notre rapport à la santé. Pourquoi ? Parce qu’il nous faut refaire le chemin vers nous. Que le corps et l’esprit travaillent de concert pour notre bien-être est une idée à laquelle nous adhérons encore peu dans notre quotidien. Pourtant, ce mouvement qui nous ramène à l’essentiel, à l’originel, à la simplicité, nous recentre sur nos besoins fondamentaux. Et quoi de plus essentiel que le câlin ? L’objet de ce livre est de redonner aux câlins la place qu’ils méritent et de montrer scientifiquement leurs innombrables bienfaits.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode