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Ma vie ressemble à une tranche de pain de mie moisie. Peut-être que j'ai dépassé ma date de péremption du bonheur.
Afficher en entierElle regarda l'adresse du lien inclus dans le mail et vit immédiatement le mot "porn".
Comme dans porno.
Comme dans : " quand tu auras vu cette vidéo, tu auras envie de mourir".
Afficher en entierPendant sa grossesse, son véritable gynécologue s'appelait Doctissimo. Il avait un énorme avantage sur "l'autre médecin : il pouvait répondre dans la minute à toutes ses interrogations.
Afficher en entierLa vie ce n'est pas une fable de La Fontaine ni Questions pour un champion. Il n'y a pas une bonne et une mauvaise réponse. Chacun fait ses choix.
Afficher en entier"Avouez qu'on a bien rigoler quand même..."
Afficher en entierFace à un tel mur d’incompréhension, Marianne fut anéantie. Elle détacha l’élastique qui retenait son chignon et ses cheveux tombèrent sur ses épaules. Cinq secondes plus tard, Olivier posait la main sur l’épaule de Gauthier et lui disait : « Je crois que ton temps est écoulé, mec. Tu dégages. »
Gauthier le regarda sans comprendre. Olivier resserra un peu la pression sur son épaule.
« Tu dégages. Maintenant. »
Il se leva pendant que Margaux tirait une chaise qui racla le sol et s’installait à côté de Marianne pour la prendre dans ses bras.
Mais debout, les bras ballants face à eux, le regard de Gauthier se voila. Son teint descendit encore d’un ton dans la gamme craie terreuse. Il s’adressa à Marianne avec une intonation désespérée. « Tu veux que je m’excuse ? Je m’excuse Marianne. Je suis désolé de ce que j’ai fait. Même si tu m’as fait beaucoup de mal. Mais je t’en supplie arrête ce truc. C’est en train de me tuer. Dis-leur d’arrêter. Fais-le s’il te plaît. Dis-leur de me laisser tranquille. J’en peux plus. » Olivier le tira par l’épaule pour l’éloigner de la terrasse et Marianne l’entendit répéter « Tu vas le faire hein ? S’il te plaît… »
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