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Extrait

Accusées, à tort et sans preuves, d’être nécessairement des sorcières par la simple couleur de leurs cheveux roux, d’être irréligieuses, d’aimer l’amour charnel – associé au Diable ! – ou d’user d’une médecine nouvelle et réprouvée par l’Église, des milliers de femmes innocentes et de tous âges – dont des fillettes ! – étaient injustement condamnées à mort sans aucun jugement après des jours de torture. Lorsqu’on ne les attachait pas à des pierres pour les jeter vivantes telles des ordures dans les profondeurs des lacs, elles étaient généralement brûlées vives sur un bûcher après y avoir été étouffées à la corde.

Gabriel connaissait la cause et l’origine réelles de ce décret abject, mais les dénoncer ouvertement lui serait sans nul doute fatal. Et voir perdurer pareille pratique dans certains territoires l’avait toujours très indigné, particulièrement lorsqu’il ne pouvait rien faire pour secourir ces malheureuses quand il assistait à de telles horreurs. Les hurlements – assourdis par l’eau ou la corde –, la chaleur brûlante des bûchers, l’odeur de la chair calcinée…

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