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À l’époque, Boris ne soupçonnait pas que vivre en URSS était si dur pour l’ensemble de la population, et a fortiori pour les Juifs ; que dans l’enfer soviétique on mourait de faim si l’on n’appartenait pas à la nomenklatura ; que seuls y comptaient le marché noir, les dollars américains, et la vodka qui coulait à flots. Dire que les produits de consommation courante étaient rares était un euphémisme, ils n’existaient pas. Mieux valait oublier la liberté de penser, de pratiquer sa religion, quelle qu’elle fût. Être juif en Russie, c’était comme être juif sous Hitler dans les années trente : c’était inscrit sur votre passeport, il existait un numerus clausus dans les universités, les frontières se fermaient devant vous
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