Commentaires

Très fort et très bien écrit, ce livre dépeint un monde que je pense fantasmagorique... encore que,il existe peut-être... Au regard d'un quotidien tellement triste, ce livre a le grand mérite de nous faire rêver à une vie qui ne serait peut-être pas meilleure mais en tout cas plus saine, contrairement à ce qu'on nous enseigne. Cochon certes, ce livre n'est pas à mettre entre toutes les mains mais, après tout, où est le problème ? Pas de surprise avec cet auteur toujours truculent et (trop) réaliste, j'aime l' érotisme mais ses livres ne rehaussent pas le genre "littérature érotique"

J'ai les livres de cet auteur: ce n'est pas son meilleur ! Nous sommes fin des années trente, les femmes sont très vite sans culotte dans ce roman et s'offrent à n'importe quel homme bien monté ou dominateur - en fait le « propre » d'un scénario de film porno- mais un « Esparbec » c'est beaucoup plus que cela car l'auteur a des qualités d'écriture, des réflexions existentielles et beaucoup d'humour. Evidemment, le sexe féminin est « étudié » en long et en large car l'auteur est un descriptif qui plaint fortement les « culs bénis » car pour lui « le goût du péché » est délicieux.

"Le péché de chair n'existe pas pour les mécréants et c'est pour cela qu'ils sont heureux !"dixit Esparbec.

Ecrit sous forme de journal: ce "roman" mélange sexe crade et amusements variés avec de l'humour et des "réflexions" assez pertinentes.

Je dois dire que c'est une histoire passionnante de vacances en été.

Je ne me lasserai jamais de la plume d'Esparbec, ce monsieur est un génie.

C'est cependant un roman destiné à un public averti, âmes sensibles s'abstenir.

Une histoire très coquine à ne pas mettre entre toutes les mains.

On suit la découverte des plaisirs charnelle d'une jeune fille de 16 ans et de sa mère très très cochonne.

On reconnaît la narration très crue d'Esparbec.

C'est un concours entre une mère et sa fille qui tue le temps d'une fin de saison dans un hôtel de la cote normande. Laquelle des deux sera la plus salope?