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Je suis une mouette d'aucun pays,
Je n'appelle aucun rivage ma terre natale,
Ni lieu ni place ne me lient;
Je vole de vague en vague.
Hier encore je voyais le plus beau saphir,
Dans le bleu profond il gisait au-dessous de moi,
Couronné d'oliviers et de myrtes
Qu'entouraient le vol léger des papillons.
Aujourd'hui mes ailes frôlent l'écume de la mer.
Ses vagues me bercent et m'invitent au rêve...
Du lointain nébuleux parvient doucement
Venue du fleuve Neckar, une musique;
Et je vois les ruines du château
Qu'enveloppent de fils d'argent
Les riches rayons de la lune de mai,
Ils glissent par le porte et les salles.
Et de l'autre côté, à l'ombre des arbres,
Abîmée dans des rêves olympiens,
A demi couverte de son bouclier,
Repose l'image de marbre du magnifique.
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