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« Lorsque les défunts ne sont pas conscients d’être morts, en général, Henry ne les capte pas. On dit qu’ils se trouvent alors dans une sorte de sommeil réparateur. Il est recommandé d’ailleurs d’attendre un peu après un décès avant d’aller voir un médium. Henry préconise un minimum de trois mois. (….). Ce sommeil réparateur correspond à une période nécessaire après la mort pour se débarrasser du corps mental. Ce fameux mental qui nous complique parfois la vie ici, pourquoi de l’autre côté disparaîtrait-il en un clin d’œil ? (…). Nos pensées, nos regrets continuent de tourner en boucle. Du temps est nécessaire afin d’y voir plus clair ».

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« Cette affirmation péremptoire ou les médiums ne doivent pas monnayer un don qui leur est donné, sous peine d’être des charlatans, ne serait-elle pas due plutôt au rapport que notre société entretient avec ces capacités inexpliquées : une sorte de fascination un peu craintive mêlée de suspicion ? Or, il faut bien se rendre compte combien cette attitude nous maintient dans l’ignorance de la réalité de ces phénomènes ».

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"On peut faire un parallèle avec les premières secondes du réveil. A cet instant, il se peut que vous ayez encore en tête le dernier rêve que vous venez de faire. Il est là, vous le sentez, son souvenir est inscrit en vous, avec sa puissance, ses évocations. Mais vous faites un mouvement dans le lit, et avant même que vous ne vous leviez, voilà qu'il s'étiole. Lorsque vous essayez de le noter par écrit, ou de le raconter à votre conjoint, très curieusement les mots que vous employez détruisent une partie du rêve. En le racontant ou le couchant par écrit, vous le réduisez à des mots. Il se recompose. Il devient presque autre chose. En fait, vous venez de passer du cerveau droit, qui rêve, au cerveau gauche, qui essaye de décrire le rêve. Et ça "coince". Pourtant vous conservez la sensation diffuse de fragments de rêves : il y avait plus de....Un point vous échappe...Cette couleur était....Comment dire ? Non, malgré vos efforts, vous ne parvenez pas à trouver les mots. Avez-vous déjà vécu cela ? Et bien pour un médium, comme nous allons nous en rendre compte, c'est un peu pareil : il doit lors d'une séance à la fois demeurer dans le rêve, cet espace subtil de perceptions fragiles ou il est en contact avec les défunts, et vous le raconter avec des mots. La capacité à faire de va-et-vient permanent sans altérer ses perceptions est le secret d'un bon médium ».

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« Il prend conscience physiquement ce jour là combien nous vivons constamment entourés d’esprits. Henry le sait de manière abstraite à l’époque, mais le voir de ses yeux, constater que nous sommes entourés, voire infestés par les âmes de défunts le surprend par son ampleur. Jamais il ne l’aurait imaginé à ce point. Il ignore si ces défunts au supermarché étaient des proches des personnes qui faisaient leurs courses. Il découvrira plus tard qu’il peut arriver que des âmes polluent l’environnement d’une personne vivante, ou d’un lieu. Certaines personnes quant à elles, attirent des énergies particulières, des âmes parasites. Lui-même en tant que médium se sent parfois vidé de son énergie par un défunt ».

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"Mais au delà de vouloir simplement prouver que la vie se poursuit après la mort, j'ai souhaité explorer comment s'établit cette communication entre deux mondes. Entre les vivants et les morts. J'ai questionné les médiums, sans relâche : que devient-on après que son corps s'est évaporé en poussière ? Qu'arrive-t-il à notre individu près la mort ? Parce que l'on continue à être, de cela aujourd'hui je suis certain, je le redis. Mais à être quoi ? Exactement la même personne que du temps de notre vie sur terre ? Ou notre individualité évolue-t-elle ? Que se passe-t-il dans les premières semaines qui suivent notre décès ? Où va-t-on ? Qui rencontre-t-on ? Qui est l'être qu'est devenu mon père après sa mort et qui a communiqué avec moi ?".

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« Lorsqu’elle est petite, Florence entend régulièrement des murmures et des voix qui l’appellent. Son frère, qui a trois ans de plus qu’elle perçoit également des « choses ». Mes les enfants ne parviennent pas à mettre de mots dessus. Ils en parlent peu, les adultes disent toujours que c’est leur imagination. L’éducation religieuse qu’ils reçoivent à l’école parle du paradis, de l’enfer et du purgatoire. Sans doute s’agit-il de fantômes ? Alors la peur s’installe parce que les fantômes « ça fait peur ». Mais Florence nevoit rien, enfin pas tout de suite. Elle raconte que cela a commencé par des ressentis de présences. Avec le temps, effectivement, elle se met à voir des ombres, à sentir des caresses dans ses cheveux, des frôlements. Des voix continuent de l’appeler : « Florence ». Elle en ignore l’origine comme la raison. A l’école, les rares fois où elle tente d’en parler, elle déclenche la moquerie et les blagues de ses camarades ».

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« Il n’y a rien de plus déconcertant que d’être confronté à l’ignorance camouflée derrière des certitudes »

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« Il y a du monde là-haut, il conviendrait d’ailleurs plutôt de dire qu’il y a du monde autour de nous. Si je devais tenter une image, je choisirais ceci : Lorsque le médium se met psychiquement en situation de réception et ouvre ses portes de perception, il se retrouve éclairé par un puissant projecteur dans un monde parallèle, le monde des morts ; il devient visible pour beaucoup de défunts, et attirés par cet être vivant qui semble les voir et les entendre, de nombreux disparus s’approchent, impatients de pouvoir communiquer. Petite remarque en passant : Quand vous faites du spiritisme pour vous amuser, il se produit exactement la même chose ; vous braquez un projecteur sur vous, et devenez visible dans le monde des morts. En général, ceux qui errent à la recherche d’un peu de lumière ne sont pas ceux que vous auriez envie d’inviter à dîner. Mais une fois que vous leur avez fait coucou, ils peuvent trouver la maison accueillante. Alors un conseil : Ne jouez pas à ça, ce n’est pas un jeu ».

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« Pour notre société occidentale, la mort est l’ennemi numéro un. Nous nous sommes attachés à la combattre et ce par tous les moyens. L’inconscient collectif est marqué par cette prise de position et nous influence tous. Plutôt que de chercher à s’informer au sujet de la mort, beaucoup d’entre nous vont préférer l’affronter, la rejeter ou faire comme si elle n’existait pas. C’est bien dommage car en se comportant ainsi, on se coupe d’une partie de soi-même. La mort fait partie de nous. Notre corps est programmé pour mourir ».

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