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Vitellius attendit une réponse, mais Vespasien avait le regard baissé, absorbé par un désespoir grandissant ; il n’avait même pas prêté attention à la fin de la tirade du tribun. Il posa la tête sur une de ses mains, bouleversé par ces révélations.

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Macro s’aperçut soudain qu’il fixait toujours la sentinelle en silence. Celle-ci, gênée par son regard scrutateur, s’agitait nerveusement. Une réaction parfaitement compréhensible, tant les officiers peuvent se révéler imprévisibles. Dès qu’ils ont goûté au pouvoir, se dit le légionnaire, ils ne savent pas quoi en faire ou se mettent à donner des ordres complètement idiots à tort et à travers.

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La nuit était sombre, obscurcie par les nuages bas qui masquaient complètement le ciel – un signe annonciateur de neige. Dans les ténèbres environnantes, Macro entendait les bruits caractéristiques de la vie d’un fort, une existence qui était la sienne depuis plus de quatorze ans à présent. Le braiment des mules dans les écuries répondait aux conversations et aux cris des soldats qui s’échappaient par les fenêtres où vacillait la lumière des bougies. Un éclat de rire tonitruant salua son passage, suivi par un autre, plus léger, indubitablement féminin. Il s’immobilisa et tendit l’oreille. Quelqu’un était parvenu à introduire une femme.

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— Ces hommes appartiennent à la deuxième légion – la Legio II Augusta, la plus coriace de toute l’armée romaine –, ne l’oubliez jamais. Toutes les tribus barbares, même les plus lointaines, la connaissent de réputation ; elle leur inspire une peur mortelle. La deuxième légion a tué plus de ces vermines et fait plus de conquêtes que n’importe quelle autre unité. Si nous y sommes parvenus, c’est parce que nous formons des hommes pour qu’ils deviennent les combattants les plus vicieux, les plus féroces et les plus résistants du monde civilisé…

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Macro sourit. Ce changement de statut lui semblait un marché de dupes : le confort du palais contre les rigueurs de la vie militaire – sans oublier le risque de mourir ou de perdre un membre sur le champ de bataille. Macro avait entendu dire que certains des hommes les plus riches et les plus puissants de Rome comptaient parmi les esclaves, affranchis ou non, employés dans la fonction publique impériale.

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«  Au bout du compte, les troupes obéissent au plus offrant. Les ancêtres, la sagesse et l’intégrité ne signifient plus rien. C’est le règne du pouvoir de l’argent. Si tu en as, alors le monde tourne pour toi ; dans le cas contraire, tu es impuissant. »

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