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Très léger. A part la remarque du bon inspecteur Briochin sur la gêne de Doucet à la mention du livre qu'il devait emprunter, tout est très "1er degré". La petite bonne annonce franco de port (porc?) Spoiler(cliquez pour révéler)les attentions que lui portait la victime - jusque sous le nez de la cuisinière (??).

Les policiers parlent d'égal à égal et à bâtons rompus avec ces "notables" qui ne se font guère prier pour déballer leur linge sale sans plus de protestations...

Ayant l'habitude des romans historiques se déroulant dans des époques proches en Angleterre (Granger, Perry), j'émets des réserves sur la vraisemblance historique des relations sociales dans ce contexte. Quoi, aucun faux-fuyant, les policiers balancent sans ménagement leur suppositions dans les dents des témoins/suspects, qui acquiescent comme de gentils écoliers ? De la part de contemporains d'Adolphe Thiers - dans le milieu littéraire, qui plus est - j'attends davantage de caractère, d'esprit et de vocabulaire. Voire des allusions, du second degré. Les scènes entre Eugène et Arlette tireraient avantage d'une mesure de subtilité. C'est brut ! Enfin, les ressorts psychologiques du petit Eugène, à part le fait de vouloir briller... On est loin du Monk d'Anne Perry. Et le contexte historique de la police judiciaire est plus occulté que montré. Nos enquêteurs appartiennent-ils au même corps que l'inspecteur Lecoq imaginé par ... Emile Gaboriau, un des protagonistes de l'enquête ? La mise en abîme est sympathique, mais on reste sur sa faim !

Ne parlons pas de l'accusation lancée par Briochin, sans preuve aucune. Spoiler(cliquez pour révéler)En s'appuyant sur un mobile travaillé à la truelle et balancé à la personne concernée façon Freud de comptoir ; pour un(e) coupable qui aurait vraiment choisi l'arme, le moment et l'endroit les plus saugrenus pour agir.

Et ces (deux ! ) scènes d'explication/accusation avec tous les protagonistes... N'est pas Hercule Poirot qui veut.

Mais bon, j'ai fini en diagonale, il faut dire.

Quelques fautes de temps assez grossières dans les premiers chapitres cassent le rythme de lecture (un indicatif au lieu de subjonctif, un non respect de la concordance des temps).

Bref, c'est bien pour qui veut un en-cas qui ne lui pèsera pas sur l'estomac, un policier à énigme - c'est de plus en plus rare, hélas - vite croqué.

Pour mon goût, à étoffer et à faire mûrir. Merci en tous cas d'avoir attiré mon attention sur Gaboriau; le début de son "Monsieur Lecoq" est sacrément prometteur !

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