Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Le chant m'incarna :
Ô, toi, berger des âmes dans le monde sans retour
Mâtin redouté des Hommes niant leur trépas
Ta tâche est si morne et tes maîtres si ingrats
Mes yeux pleurent sur ton existence privée d'amour
Grande est ma honte de te voir ainsi rabaissé
Réduit à l'impuissance, par deux mortels dompté
Ta douleur devient mienne et je ne sais que dire
Si tu exiges ma mort, j'accepterai ton ire
Ici-bas, désormais, c'est mon cœur qui se plaint
Au milieu de ces terres nues, grises et désolées
Là où nul mortel ne devrait poser le pied
Je viens chercher celui à qui il appartient
Loin d'ici, loin là-bas, mon âme-sœur s'est éteinte
Emportant avec elle mon bonheur, mes espoirs
Se sacrifiant pour moi dans une ultime étreinte
M'abandonnant là, misérable dans le noir
Je ne te demande ni ton aide ni ta pitié
Mon impardonnable ruse pèse déjà trop lourd
A mon chagrin, tu es libre de rester sourd
Tout comme à mon insensée demande d'amitié
Devant toi se tiennent deux pauvres âmes égarées
Un amant, un frère en quête d'une zone bénie
Là où se joignent deux mondes aux frontières brouillées
De deux à trois, un peu de temps seuls avec lui
Mon cœur pleure sur ton existence privée d'amour
A mon propre chagrin, tu peux bien rester sourd
Mais devant toi se tiennent deux hommes déterminés
Seule ton aide nous permettra de le retrouver...
Afficher en entier