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Elle ne pouvait s'arrêter dans sa course folle vers Haven. Lorsqu'elle s'agenouilla à ses côtés, elle le dégagea des bras de son frère et plaça sa tête sur ses genoux.

Il ouvrit les yeux.

- Je savais que tu viendrais...dit-il faiblement, à voix basse.

- Haven, s'il te plaît. Il faut que tu tiennes le coup.

Elle lui pressa la main contre se blessure à l'estomac afin d'empêcher le sang de couler, mais l'hémorragie était trop importante. L'hémoglobine coulait à flots.

- Je t'aime, murmura-t-il de manière à peine audible, toute force abandonnant son corps.

Son visage était pâle et exsangue, mais ses yeux reflétaient toujours cette même passion.

- Noooon ! N'abandonne pas ! Ne me laisse pas !

Sa fierté lui importait peu, à présent. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle ne pouvait vivre sans lui.

[...]

Il la chercha du regard.

- Aime-moi

- Bon dieu...Pardonne-moi pour ce que je m'apprête à faire.

Elle lui caressa le visage, sentant la froideur moite de sa peau. Il ne lui restait que peu de temps.

- Je t'aime.

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— C’est une gentille chienne que tu as là, bébé. C’est quoi, son nom ?

Elle cligna des yeux, à travers ses larmes.

— Elle n’a pas de nom.

Les vannes s’ouvrirent alors, le stress et la tension des deux dernières semaines s’évacuant enfin. Haven serra Yvette dans ses bras, tout contre lui, alors qu’il l’aidait à s’asseoir sur ses genoux et que le chien lui léchait la cheville.

— Alors il va falloir qu’on en choisisse un, non ?

Il lui caressa la joue et lui souleva la tête, déposant un baiser sur son front.

— Et pour les chiots aussi.

Haven prit l’un des chiots dans sa large main. Il avait les yeux fermés et couina quelque peu.

— Regarde celui-là. La couleur sur sa tête, on dirait qu’il est chauve. Je crois que j’ai un nom parfait pour lui.

Il lui fit un clin d’œil espiègle. Ce qui la fit rire, à travers ses larmes.

— Zane va te tuer s’il t’entend.

Haven caressa la tête du chiot et s’adressa à lui.

— Qu’est-ce que tu en penses, Zane ? Tu n’auras pas peur d’un gros vampire tout chauve, si ?

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— Tu sais quoi, Zane... Si j’avais droit à un souhait, tu sais ce que ce serait ? Hein ? Que tu tombes amoureux de l’ennemi public numéro un. Et tu sais ce que je ferais, après ? Je me ferais péter de rire !

Elle croisa les bras sur sa poitrine et regarda par les vitres teintées.

— Alors, bordel, fous-moi la paix !

— Je ne donne pas dans l’amour ! rétorqua Zane.

— Ah ouais ? Ben moi non plus, mais parfois des trucs merdiques nous tombent dessus.

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— Zane, l’avertit Gabriel.

Un seul mot suffit pour faire entendre la lourde réprimande.

— Quoi ? demanda ce dernier tout en continuant à marcher.

— Mes ordres sont clairs ?

Après une réponse qui s’apparentait plus à un grognement qu’à autre chose, Zane s’arrêta à côté d’Yvette et attrapa la poignée. Yvette fut plus rapide et ouvrit la porte avant de s’arrêter net. Là, sur les marches, se tenait un labrador jaune. Dès qu’il la vit, il se leva et remua la queue.

— Ton chien ? demanda Zane par-dessus son épaule.

— Non. Ça fait quatre mois qu’il me suit. Je ne sais pas ce qu’il veut.

Ce n’était pas tout à fait vrai. Oui, le chien n’avait cessé de la suivre depuis que ses collègues et elle avaient sauvé Maya des griffes d’un mauvais vampire plusieurs mois auparavant. Ce qu’elle ne révélait pas, c’était qu’elle avait commencé à le nourrir.

— On dirait que c’est le tien, fit observer Zane.

Logique. Depuis qu’elle avait laissé le chien entrer dans la maison sur Telegraph Hill, la bête pensait vraiment lui appartenir.

— C’est quoi son nom ? continua Zane, imperturbable et appréciant manifestement le malaise d’Yvette.

— Chien.

En entendant son nom, les oreilles du chien se dressèrent et sa queue se mit à remuer encore plus vite. Mince, il en était même à l'écouter.

— Ouais, il est clairement à toi. Amuse-toi bien.

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- Ça va ? lui demanda-t-elle.

Kimberly lui adressa un regard vide.

- Voyons voir. Je suis enfermée avec deux inconnus, dont mon kidnappeur. Vous trois n'arrêtez pas de vous battre. La pièce est protégée par une sorcière qui a essayé de s'infiltrer dans ma tête. Mon garde du corps est un vampire et maintenant, tu me dis que je sens la sorcière. Non, Yvette, ça ne va pas très fort, finit-elle dans un sanglot.

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- J'ai dit NON ! Tu ne peux pas te rentrer ça dans la tête ? Ça ne te suffit pas de m'avoir fait tourner la tête ? Tu veux faire pareil avec mon frère ?

Avait-il dit m'avoir fait tourner la tête ? Elle avait dû mal comprendre.

- Je ne le permettrai pas, continua-t-il. Je n'arrive même plus à penser clairement à cause de ce que tu m'as fait. Tu devras d'abord me tuer avant de faire la même chose à Wes ?

Que lui avait-elle fait ?

- Tu crois que je te contrôle parce que je t'ai mordu ? Il n'y a aucun effet qui perdure après une morsure. Tout est temporaire. Tout ce que tu as pu ressentir à cause de cette morsure s'est dissipé depuis bien longtemps.

Yvette réprima le sourire qui ne demandait qu'à éclore. S'il était toujours attiré par elle, alors...

- Ce que tu ressens ne dépend que de toi.

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— Qu’est-ce qu’elle a utilisé ? demanda Yvette en passant ses doigts sur les plaies, comme si elle lisait une carte.

— Un fouet.

Il dut faire preuve d’un courage hors du commun pour ne pas gémir. Il serra les dents et tenta d’ignorer l’effet des doigts chauds sur son corps.

Elle explorait ses blessures d’une caresse sensuelle.

— Elles sont profondes.

Yvette se pencha sur son estomac et abaissa la tête vers ses plaies. Sa langue effleura la chair en produisant la même sensation de picotement alors qu’elle léchait le sang. Haven jeta la tête en arrière. Il ne pouvait regarder, non pas parce que ça le dégoûtait, mais parce que de tels agissements l’excitaient bien plus qu’un lap dance. A chaque fois qu’elle le léchait, son érection prenait de l’ampleur. Il espérait simplement que, ni son frère, ni Yvette ne la remarqueraient dans son pantalon, poussant contre sa braguette et menaçant de détruire ce qui restait du costume loué et de lui faire dire adieu une bonne fois pour toutes à sa caution.

Haven ferma les yeux, ne voulant être confronté à l’embarras qui s’ensuivrait si l’un ou l’autre remarquait son excitation. Le manque de discrétion de son frère rendrait la situation on ne peut plus gênante.

— Ça va ? demanda Wesley, visiblement inquiet.

— Je vais bien.

Bien ? De qui se moquait-il ? Il était aux portes du paradis.

Alors qu’Yvette continuait de lui lécher les plaies, elle glissa une main sur le côté comme si elle essayait de se retenir à quelque chose. Ses doigts s’enfoncèrent en lui avec une telle intensité qu’il supposa qu’elle n’était pas consciente de ses agissements.

Haven laissa échapper un souffle court. Pendant combien de temps encore allait-elle le torturer ? Avait-elle la moindre idée de l’effet qu’elle avait sur lui ? Etait-ce sa façon à elle de se venger du kidnapping ?

Lorsqu’elle leva soudain la tête, une vague d’air froid passa sur ses blessures.

— Ça ne marche pas, dit-elle.

Haven ouvrit grand les yeux.

— Pourquoi ? demanda Wesley. Tu es en train de le sucer jusqu’à la moelle ?

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- Ce que tu vois, c'est un ecran de cinéma: des images projetees en lice. Et la lumière est artificielle, mais toutefois proche d’un éclairage naturel. Je l’ai dessinée moi même. Tu ne le trouvera pas chez Casto, dit Thomas en souriant à plein dents.

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